Histoires de sexe

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Cul explosé par 21cm de bite de rebeu
Histoire gay publiée le 22/06/2017
Le train, quand on a rien à foutre, c'est relou. Mais justement, j'ai trouvé de quoi? foutre, au sens propre. C'est en rentrant du taf. Ce jour-là, il fait particulièrement chaud. Par chance, la clim est pétée. Par chance, parce que bon, dans les trains, ils la mettent toujours trop fort et on se les gèle. Et par chance, parce que ça permet de mater encore mieux. Je choisis ma place en fonction de la vue, c'est-à-dire des mecs. Dans ce train-là, il n'y a pas grand-monde, pas d'excuse pour se mettre juste en face? Mais dans le carré voisin? Le wagon est presque vide, à deux mecs près : une espèce de vieux, et un rebeu de max 25 ans. Je choisi le rebeu. Je le mate, mais, discrètement. Fait chaud. Et là, le train s'arrête, en pleine voie. Au bout de trois minutes, le rebeu de presque en face enlève sa chemise pour se retrouver en petit marcel bien sympa. Le kiff : des épaules larges et impressionnantes, et des pecs bien gonflés, en dessous ça perd en V? Je fais pareil : me retrouve en t-shirt, moins rempli que le sien, mais je me défends : 1m80, 67kg, dessiné par les deux séances de natation hebdomadaires. Il sourit, je souris aussi et je lui fais un commentaire : « Bah, si on doit rester à attendre, autant être un peu à l'aise? ? C'est clair, me répond-il. D'autant qu'on est bien au chaud. ? Enfin je pense que vous avez l'habitude de transpirer. » Grand sourire. Il a l'air sympa. « Merci, je passe beaucoup de temps à la muscu, ça fait plaisir que ça se voie. ? Carrément que ça se voit. Les meufs doivent aimer. ? Pas que les meufs. » Il lance un clin d??il, je saisis ça au vol et m'empresse d'ajouter : « Je confirme », avec un clin d??il aussi. Une minute s?écoule dans le silence. Il finit par se lever, en m'adressant un signe. Il va vers les chiottes. J'attends un peu, je me lève et je suis. J'arrive, il est déjà en train de se toucher à travers son pantalon. Je verrouille la porte, il me dit « j'espère que t'es passif ». Carrément que je suis passif. « Suce-moi. » Je me fais pas prier. À genoux, je déballe son matos, déjà à moitié raide, et je m'applique. « T'as une bonne bouche, mec », me dit-il, « continue ». En fait, c'est lui qui continue. Il cale ma tête le long de l'espèce de lavabo, et commence de lents va et vient dans ma bouche passivée. Il grogne, et je kiffe à mort. Il accélère, puis se retire, pour me bifler un peu. « Je la veux dans le cul », que je lui dis. « J'ai pas de capote, déso. » Victorieusement j'en sors une de ma poche, avec une dosette de lubri. Il sourit et me lance gentiment un « petite petasse chanceuse », et ajoute : « mais tu vas me sucer encore un peu. ? Autant que tu? » J'ai pas le temps de finir que 21cm s'engouffre dans ma petite gueule. La puissance de ce rebeu me faisait déjà rêver. Au bout de trois-quatre minutes il finit par lâcher : « allez, t'as bien sucer, tourne-toi, chienne, je vais te limer. » J'obéis, bien sûr. Malgré son langage cru, il commence en douceur. Je souffle. Quand je commence à gémir, il prend la confiance et m'envoie trois coups de bite amples et profond. Surpris, je suis sans voix. « T'aimes ça, hein ? » me dit-il. « Grave, baise-moi ! ? T'as envie que j'te démonte ? ? explose-moi ! » Je l'ai senti passer. Il s'est déchaîné, des coups de bite énormes, puissants, infinis. Un vrai marteau piqueur. À un moment, le train s'est remis en marque, ça a envoyé mon beau rebeu, perdant un peu l?équilibre, encore plus profond dans mon cul de salope. Presque allongé sur moi, son torse musclé plaqué contre mon dos, il s'est arrêté quelques secondes, avant de m'attraper par les cheveux pour me tirer la tête en arrière, me cambrer et de me prévenir « encaisse » avant de reprendre le festival de défonce. Dans le miroir en face, je vois qu'il kiffe. Je finis par juter sans me toucher (le rêve), les contractions de mon trou, sans doute bien élargi d'ailleurs, le lui font savoir. Il se retire, me fout à genoux et me facialise généreusement la gueule de cinq ou six gros jets de foutre bien blanc. « Alors, t'as kiffé, nan ? » demande-t-il en se rhabillant, sans vraiment attendre de réponse. « Ouais, je vais me nettoyer un peu histoire de pas trop me faire cramer. » Bah ouais, tout le monde a pas besoin de savoir que je viens de faire ma chienne.