Histoires de sexe

Histoires de sexe écrites par des clients

A la merci de 5 rebeus vicieux
Histoire gay publiée le 27/09/2018
Salut. Moi c'est Thibaud, 28 ans, 1m80 70kg. Pur passif mais grosse bite 20x4 qui excite bien les mecs. J'ai du mal à me faire baiser, quand ils découvrent ma queue ils la veulent dans le cul. Dur dur de trouver un bon actif. Pour les vrais mâles restant, ils kiffent bien mon bon boule rebondi, mon trou serré qui s'ouvre lentement, et mes pipes de "ouf". Bref, je vais vous raconter une histoire qui s'est passée cet été. Comme tous les étés, mes hormones de chienne en chaleur se réveillent. Il me faut de la bite, de préférence de la grosse queue circoncise de rebeu bien juteuse, avec de grosses couilles pendantes. Comme c'est dur de trouver des bons actifs macho et que je suis grave en manque, je suis souvent cash dans mes messages, même si ça débouche rarement sur une bonne baise. Donc cet été, je rentre du taf. Fait beau, je décide de rentrer à pied par la coulée verte. En plus y'a souvent plein de bogoss rebeus. Ca a pas loupé. Avec cette chaleur ils se promènent en débardeur et jogging qui montre leur grosse bite dans leur fut. Putain avec mon jockstrap sous mon pantalon de costard, j'ai la chatte qui mouille grave en m'imaginant me faire baiser par ces lascars de cité, être dans une cave pourrie sur un matelas pourrave à enchainer les grosses queues. Je suis dans ces pensées pendant que je marche, et je remarque un mec qui me fixe. Rebeu, 1m90 90kg musclé, la trentaine. Ses yeux noirs menaçants, presque ux me fixent comme une proie. Je capte pas bien ce que j'ai fait de mal, mais je détourne le regard et continue mon chemin. Je veux pas de problème. Quelques mètres plus loin je me retourne vers lui vite fait et je le vois se marrer au tél en me matant. Je beug grave et me mets à flipper. Je continue et je vois un autre rebeu en jogging PSG bien moulant comme je les kiffe. Il est au tél et il se marre aussi. Les yeux tournés vers moi. Je décide qu'il est temps de descendre de la coulée verte. Je me dirige vers l'escalier direction Mairie du 12ème quand le second rebeu m'interpelle : "Wesh mec". Je me retourne. Là je vois comment il est canon, mais dans un autre style que le premier mec. 1m85, 75kg yeux bruns et un sourire plein de vice et de malice. Il me demande si j'ai pas une clope. Je lui en donne une que je sors de la poche de mon manteau que je tiens à l'épaule (oui, le matin j'avais peur d'avoir froid XD) mais son sourire semble crier victoire, je ne sais pas pourquoi. Pendant qu'il me remercie, je me fais bousculer par un groupe de 3-4 rebeus (décidément moi qui passais par là pour en voir j'étais servi !), bogoss et bien machos aussi. Mon manteau tombe par terre, ils s'excusent et me le ramasse. Je bredouille un merci incompréhensible tellement je suis empourpré dans mes fantasmes qui fait bien sourire mon second rebeu. Je dis au revoir, il me dit à bientôt, toujours en souriant. Je continue mon chemin pour rentrer. Je regarde si on me suis, à la fois apeuré et excité, mais rien. Cette fois la peur laisse place au regret. J'arrive en bas de mon immeuble, vers Dausmenil, je fais le code, je monte, et là pas de clés. Je cherche dans toutes mes poches, mon sac, mon manteau, rien. Je perds jamais rien, et surtout pas des clés, alors je me dis ils m'ont pris mes clés ces connards en pensant aux mecs du parc. Heureusement, je laisse toujours un double dans la boîte aux lettres alors je les récupère et je rentre chez moi. Je me demande s'il faut que je fasse changer mes clés mais comme personne m'a suivi je me dis qu'au pire ça leur servira à rien s'ils savent pas où j'habite. En plus, c'est un appart de location meublé trop merdique, sans même la télé, donc pas grand chose à voler. Je me pose, et commence à regarder les applis de rencontre. Cette balade m'a beaucoup excité. Comme je trouve rien, je décide de mater une vidéo de poppers training spéciale lopes tout en sniffant du poppers et m'enfilant sur mon gode. Il est assez gros alors ça prend du temps et beaucoup de poppers. Au bout d'une heure et demie à fantasmer sur mes rencontres de l'après midi j'en peux plus, je jute dans l'appart. Une dernière sniffée de poppers et me revoilà assez chienne pour lécher tout mon foutre sur le parquet. Qu'est ce que le poppers me rend bien salope ! Il est 23h30 à peu près. Je me couche en gardant que mon jockstrap que j'ai pas quitté de toute ma session godage. Je rêve de mes rebeus, de leurs corps, de leurs queues que j'imagine bien gouteuses, bien droites et bien dures. J'en ai presque le goût dans la bouche. Je les tête dans mon repos. "Qu'est ce que c'est bon... hmmm...." Tiens c'est pas ma voix. "Putain c'est une vrai chienne en manque, tu crois qu'elle dort ?" Une deuxième voix, un air vicieux qui me dit quelque chose. "En tout cas ça ça va la réveiller cette petasse !" Je pousse un cri. Je me rends compte que j'ai pas fait de bruit à cause d'un énorme gland dans la bouche qui m'empêche de parler. En tout cas j'ai bien senti une grosse queue me rentrer dans la chatte d'un coup sec. Je sors de mon repos profond et la je découvre plusieurs silhouettes atour de mon lit, et moi au centre, les fesses en l'air, encadrées par mon jockstrap. Je tourne la tête, je vois sur l'horloge 3h08. Je compte 5-6 mecs. Pas le temps de compter juste, je me prends une méga baffe. "Continue de pépom sale petasse, t'occupes pas du reste." Cette voix est à la fois calme et vénére, pleine d'autorité. J'ose pas désobéir tant que j'ai pas repris tous mes esprits, j'ai une grosse boule au ventre. En plus, cette queue est super bonne, une pure preuve de la virilité de son porteur. Je pompe cette queue comme si je voulais lui montrer tout mon amour, je la prends en bouche bien lentement, bien entièrement et je m'applique. Pendant ce temps là, je me fais défoncer la chatte par un des gars. Celui que je suce lui dit de se calmer un peu, qu'il m'empêche de m'appliquer parfaitement. Ils s'appellent par leur prénom. Je reconnais la voix de celui qui fait des vas et viens dans mon cul, c'est le rebeu au sourire vicelard, il s'appelle Karim. Celui que je suce a une autorité sur ses potes, je jette un regard et c'est bien le premier rebeu de la coulée verte, il s'appelle Abdel. Il soutient mon regard et me fait plier. Je retourne à mon travail. Pendant ce temps là, les autres gars se branlent en profitant du spectacle. Ils tapent régulièrement mon corps et mon visage avec leurs queues et leurs couilles. D'après ce que je sens, ce sont des gros calibres. Peut-être plus que moi pour certains coups de queue que je reçois. Par contre, j'en détecte une bien plus massive et lourde que les autres. A chaque fois je sens sur mon dos, en haut de ma fesse gauche, cette énorme queue me frapper. Ca fait un gros bruit à chaque fois, et à chaque fois les mecs se marrent et font des remarques au propriétaire de cette bite, un certain Rachid. Tous sauf Abdel, qui reste impassible et continue de me fixer avec ses yeux noirs les rares fois où j'ose le regarder. Je me demande quand même comment ils ont fait pour savoir où j'habitais. Même s'ils m'avaient suivi sans que je les vois, ils n'avaient pas mon étage et mon numéro d'appartement... "Putain il a trou bien serré comme j'aime. Va falloir bien lubrifier pour Rachid. J'y vais ou pas gros ?" "T'inquiètes, c'est une bonne petasse bien docile qui rêvait de se faire baiseer dans son repos, pas vrai ?" me dit Abdel d'une voix de boss. Ca doit être inné chez lui mais je me sens tout de suite prêt à lui obéir. Au passage, je me souviens que j'avais filé mon adresse, mon code et mon étage à un rebeu domi sur beuronline y'a un mois, mais j'avais plus eu de réponse après ça. "Pas vrai ?!" Je me prends une autre baffe dans la gueule. "Oui, boss, c'est brai je suis qu'une chienne à rebeu." J'ai vite pris mon rôle de petasse, ça les fait marrer. Ils savent qu'ils peuvent faire ce qu'ils veulent de moi maintenant. Abdel me tend du poppers et me dit "Vas-y sniffe bien sale petasse" en me bouchant une narine. Je me mets à sniffer mais je me prends de nouveau une grosse baffe qui me donne le tournis. J'avais arrêté de pomper Abdel... Je reprends sa grosse queue en bouche, bien raide, ultra veinée et circoncise. Tout ce que j'aime. J'essaye de sniffer le poppers en même temps. Je prends de longue bouffées, Abdel me dit de continuer. Quand j'arrête, je bloque un moment et là je deviens une grosse chienne, rien n'y peut. Je m'enfile moi même sur la queue de Karim et fais des mouvements sur sa grosse queue. "Vas-y gros, lubrifies moi cette petasse". Je ne comprenais pas parce que Karim avait plutôt l'air d'accélérer que de s'arrêter pour mettre du lubrifiant. Je réfléchis pas trop, chienne que je suis devenu sous les quelques bouffées de poppers et là je sens Karim qui s'agrippe à mon cul et me défonce encore plus fort, encore plus rapidement, jusqu'à "AAahhhhh! Putain qu'elle est bonne sa chatte de salope ! Quelle kelba !" Je sens 5-6 grosses giclées dans mon cul et dans ma bouche. Les deux keums avaient été d'une synchronie stupéfiante, à la différence qu'Abdel avait ça tout en silence et en continuant à me fixer. Deux doses impressionnantes. Je venais comprendre ce que voulait dire lubrifier... Heureusement je suis sous prep, même si je baise normalement pas sans capote, pour la double protection sait on jamais. Et là je me dis heureusement sinon j'aurais vraiment paniqué à ce moment là. Je sens le jus de Karim qui coule le long de ma cuisse quand il ressort. J'avale goulûment celui d'Abdel sous les derniers effets du poppers. Ma tension retombe, je regarde l'heure. 3h18. Putain il m'avait limé que 10 minutes ! J'ai pris ça pour au moins une heure. Je pensais avoir du repos, mais Abdel prend les choses en main. Il place ses potes, finalement au nombre de trois Rachid bien sûr, Mehdi et Ibrahim. Rachid râle car il doit continuer à se branler. Je prends la queue de Mehdi dans la bouche, belle, moins grande que la mienne mais plus grosse, mieux proportionnée et super appétissante ! Et celle d'Ibrahim dans le cul. "Putain il a une chatte parfaite cette petasse, bien serrée mais on y circule tranquille". "Ouais je l'ai bien lubrifiée t'as vu. C'est pour ça que j'ai giclé vite". Abdel donne quelques ordres de temps en temps. Il prend soin de moi et ordonne plusieurs fois à Mehdi de me gazer au poppers. A chaque fois je redeviens la pire des putes. Si j'étais pas si excité, et heureux de ce fantasme surprise improvisé, j'aurais bien honte... Rachid en peut plus, il veut "essayer ce cul de petasse de céfran". Abdel lui donne l'autorisation de me niquer la bouche et donne d'autres instructions aux autres gars. "En tout cas je lâche pas l'affaire" lance Ibrahim. Je ne comprends pas. Je vois enfin la queue de Rachid pendant que celle de Mehdi disparait. Je n'en ai jamais vu d'aussi grosses. On dirait mon poignet. Elle doit bien faire 25-26cm sur 6-7 de large. Après une certaine taille moi je suis perdu. Elle se dresse bien droite le long de son corps. Il a garder son bas de jogging PSG, je kiffe. Ses abdos sont parfait. De la sueur coule entre ses tablettes, et je me rends compte qu'effectivement la température à sacrément monté dans mon 20m2. Je scrute cette magnifique queue, et la prend lentement en bouche. Je tête bien le gland en passant ma langue tout autour et sur le frein. Il a l'air d'aimer. Mais il passe à une autre vitesse. Il me défonce littéralement la bouche en penchant un peu ma tête sur le côté. Je ne peux pas tout prendre en bouche mais c'est déjà impressionnant. Je m'éssouffle mais il s'en fout. J'ai de la bave sur le menton qui arrose mon matelas. Pendant ce temps, derrière, je sens des doigts rentrer dans ma chatte en plus de la queue d'Ibrahim. "Wesh ça va le faire". Pas le temps de se demander quoi, je sens qu'une deuxième queue rentre dans ma chatte déjà bien ouverte. "Ouais ça rentre tout comme ass t'as vu." C'est pas moi qui vais dire le contraire. Je comprends enfin pourquoi tous les mecs rêvent de double péné, en tout cas les passifs salopes comme moi. C'est trop bon. Je sens les deux queues entrer en moi et se frotter l'une l'autre à mes parois. Je suis déchiré de l'intérieur et c'est trop bon. Je les entends pousser des râles. L'un accélère et l'autre ne bouge pas. C'est trop bon. Encore du poppers. Oui c'est trop boooon ! Je sens des jets chauds et puissant à l'intérieur de moi pour la deuxième fois de la nuit. Je jouis en même temps tellement c'est bon. Sans me toucher. Les gars se retirent. Satisfaits de leur synchronisation. Ils doivent avoir l'habitude je sais pas mais en tout cas deux en même temps c'est trop délicieux ! Pas le temps de remarquer que je n'avais plus rien en bouche que je sens une énorme chose me rentrer dans la chatte. Rachid avait enfin eu l'autorisation de me défoncer. Comme je n'avais plus rien en bouche et que sa bite était vraiment énorme, je gueule. Abdel saute de la chaise et me donne une grosse gifle. Il me tient fermement le visage dans sa main gauche et me fixe droit dans les yeux à deux cm de mon visage. "Ferme la t'as bien compris ? Si tu gueules t'es pas au bout de tes peines; Là tu kiffes parce que je suis gentil mais si tu commences à rameuter tout le quartier on va devenir méchant, c'est clair ?" "Oui boss, c'est clair". "Bien, comme t'es une bonne petasse et que t'as plus rien à pépom on va te donner une surprise". "Merci boss". Les autres ont l'air impressionnés par Abdel. C'est lui le mâle alpha. Il s'assied sur le lit, pétard à la bouche, enlève ses chaussettes blanches de sport et me les fourre dans la gueule. "Tiens profite bien de mes chaussettes, comme ça t'arrêteras de gueuler". Elles ont une bonne odeur. Pas trop forte, pas trop crade, juste ce qu'il faut. Du concentré de poppers naturel. Je deviens fou. Ma chatte s'ouvre toute seule et Rachid le fait remarquer. Abdel sourit pour la première fois. Ce sourire vient comme un remerciement de tous mes efforts. Je n'en peux plus je jute une seconde fois. Rachid continue de m'élargir la chatte avec son gros calibre. Il a l'air de kifer et moi je suis aux anges. Au bout d'un quart d'heure, il finit par cracher à son tour dans mon trou. Ca déborde de partout. Il y en a plein sur les draps. Je m'écroule dessus. Je ne dis rien, les mecs commencent à se rhabiller, et j'entends la porte qui s'ouvre. "Wesh gros à demain et profitez bien". A demain ? Je ne comprends pas. J'essaye de me lever, et je suis aussitôt remis à plat ventre sur le lit, dans le foutre et la bave. "Oh sale petasse, tu crois qu'on en a fini avec toi ? Mon pote et moi on va encore t'utiliser toute la nuit. On n'avait pas cracher depuis 10 jours alors tu vas morfler." Je viens de comprends pourquoi Abdel et Karim ont joui vite... La suite la prochaine fois !