Histoires de sexe

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Le chauffeur rebeu
Histoire gay publiée le 11/07/2018
Cette histoire s'est passée il y a à peu près trois mois. Je suis parti en voyage en bus avec des gens de mon entreprise et d'autres. Le voyage a duré une semaine, on restait dans le même hôtel et chaque jour il y avait une excursion. Le dimanche, le matin j'arrive, on devait déposer les bagages. Je m'approche vers le chauffeur qui était de dos en train de les ranger, je remarque un rebeu 35-38 ans, épaules larges et carrées, un chouïa plus âgé que moi, bien 1m85, crâne rasé, petite barbe entretenue, assez bronzé. Je le remarque bien et l'examine de haut en bas et ça s'arrête là, tout en ayant en tête quelques pensées. Le trajet se fait vers l'Espagne, on arrive en milieu d'après-midi à l'hôtel. On prend le repas le soir, ne voyant que des femmes casées, je décide de jeter un coup d'œil vers les mâles. Rien d'excitant à part le chauffeur. Je monte vers 21h30, je prends les escaliers. Avant d'arriver, je vois sortir de l'ascenseur le fameux Taoufik allant vers sa chambre, la voisine de la mienne sans que je le sache. J'attends qu'il rentre et je vais dans la mienne ensuite. Je me rends compte alors que les murs ne sont pas très épais car rentrant en silence j'entends sa conversation en arabe avec une meuf, sans doute sa meuf, plus de 600 km les séparaient. Je commence à me demander comment attirer son attention. Je me lave et me couche. Vers 2h du matin je décide d’agir pour éveiller le Taoufik. Je me mets à bouger le lit suffisamment pour qu'il grince et qu'il tape le mur, c'était sûr qu'il allait l'entendre. Je commence à prendre des cadences comme si je baisais déjà mais sans gémir, pendant bien 5 min, arrêt puis reprise, arrêt puis reprise. 2H20, j'entends frapper à ma porte. J'étais juste en boxer. Je me lève faisant semblant d'être essoufflé car normalement j'avais à peine fini ma baise, la porte était à 3 m du lit et donnait dessus directement. Je lui demande ce qu’il se passe. J'ai bien remarqué qu’en me parlant il regardait aussi le lit pour scruter. Il me sort qu'il a entendu les claquements, que ça l'empêche de rêver. Tout en le disant il s'avance un peu, entre et me dit un peu énervé : « y'a personne, t'es seul, c'est quoi ce bordel ! ». Alors je referme à moitié la porte pour ne pas réveiller dans le couloir. Je lui sors direct que j'ai fait ça pour l'exciter, il me répond qu'il n’est pas pd et commence à aller vers la porte. Moi en le suivant, je dis que c'est juste pour s'amuser un peu et que je suis sûr qu'il a envie de se vider. Et là, il s'arrête de marcher, y’a une pause de 3 secondes en gros puis il ferme la porte à clef. Avec ses 2 mains il m'attrape le cou jusqu'au lit. Il s'assied sur le bord du lit et m'avance la tête vers son paquet. Il se retire le T-shirt, je lui baisse le pantalon et commence à pomper sa queue demi molle rasée. Il était tout en muscle et sec, j'étire sa queue avec ma bouche tout en tenant ses boules et je reste sur son gland pour vite le faire enfler. 5 min après il était à point, il gémissait, je bavais et il me tenait la tête et il m'avoue que ça fait 10 jours qu'il n’a pas vu un trou. Sa main mais pas un trou. Il me met sur le lit en chandelle et commence à m'ouvrir : crachat, langue et doigts. J'ai fait en sorte de bien me tenir le paquet pour qu'il ne voie que mon trou. Il n’a pas voulu mettre une capote et m'a enfilé en missionnaire. La queue totalement rentrée, je ressentais son gros truc en moi et j'avais la rondelle mouillée. Il m'a ramoné comme si j'étais sa meuf et là le lit claquait vraiment. Il prenait son temps et avait des mouvements plus bourrins. J'avais chaud de partout et lui était entièrement en sueur. Il a voulu qu'on change, je me suis mis à 4 pattes, ventre à plat, cul un peu relevé et il est rentré d'un coup. Il était sur mon dos, je sentais les tapes de ses boules. Il grognait un peu, ne parlait pas du tout et me mettait sa main sur le bouche pour ne pas que je gueule. Vers 3h du matin on peut comprendre. Puis il s'est vidé. J'étais affalé sur le lit, il s'est levé, m'a attrapé la tête et je l'ai biberonné pour ne pas en perdre une goutte et il m'a biflé. Il est sorti sans dire quoi que ce soit après ces 20 min intenses. Les jours ont passé, on a fait l'air de rien. On devait rentrer pour le samedi. Le vendredi soir vers 10h, j'entends taper à la porte, il était de retour pour juste que je tète son dard. Il ne voulait pas être fatigué pour le retour.