Histoires de sexe

Salut, je m'appelle Manu, j'ai 26 ans, cela s'est passé l'an dernier en région parisienne, véridique. Particulièrement chaud ce soir-là j'écumais les appli à la recherche d'un mec. Les heures passent, rien de concluant ... Je change de stratégie et je vais sur un chat, je parle vite fait avec un jeune rebeu qui me sort « azi moi je cherche une meuf ». Il ne devait pas trouver son bonheur, j'ai continué à lui parler et proposé de le dépanner. Je le chauffe et à puissance il me file un rencard. Il devait être presque 2h du mat, je bouge et une fois sur place je me retrouve dans une espèce de cité craignos. Le mec ne m'a pas filé son tél, j’lui parle sur le chat et il me dit « rentre dans le bâtiment, tu descends à la cave, c'est ouvert, j’te retrouverai là-bas ». Je descends les escaliers, pas de lumière. C'est glauque de chez glauque. J'éclaire avec mon portable, une cave de cité avec les portes défoncées de partout. Je vais dans celle qu'il m'a indiquée, je flippe pas mal. Là je vois un matelas pourrave par terre avec des culs de bédo. Visiblement il s'est passé des trucs ici. J'attends dans le noir, toujours personne. J’lui envoie un chat et il me dit « tkt je vais arriver, fous-toi à poil ». Je suis en flippe de ouf mais excité en même temps. Je me dépoile et me cale sur le matelas. Je fume clope sur clope, je ne sais même pas à quoi il ressemble ... Au bout d'au moins une heure j'entends des pas qui s'approchent, moi j’suis toujours à oilpé, mon cœur bat la chamade. Une silhouette avec capuche se dessine dans l'embrasure de la porte, le mec arrive et me dit « Wesh bien ? ». J'ai juste le temps d'apercevoir son visage dans la pénombre. Un p’tit lascar rebeu d'environ 19 ans, survêt, capuche, TN, ... avec une voix bien virile. De ce que j'en voie malgré l'obscurité, grave mignon. Je suis à poil devant lui assis sur le matelas pourri, je me dis putain tu dois vraiment avoir l'air d'une salope. Il me dit « tkt t’as attendu mais tu vas pas être déçu, j'ai les couilles trop pleines ». Là il me chope la tête et me la colle contre son survêt. L'enfoiré il bande déjà comme un taré, il me tient contre sa queue. Elle a l'air balaise sérieux, j’la lèche à travers le survêt un moment puis il me la sort, trop belle bien droite et circoncise, 20 cm juste comme il faut. Une bonne bite de lascar bien velue. Il est super raide, j'commence à lui lécher le zboub, une bonne odeur de mâle. À genoux devant lui je la prends bien en bouche, je le sens qui mouille. Je m'applique à bien sucer sa grosse tige de lascar, ses bonnes couilles poilues, je kiffe ma race. C'était mon fantasme qui se réalisait. Je passe ma main sous son sweat, je sens un torse imberbe, des abdos dessinés et des jolis pecs. Putain il est parfait ce mec !! Il ne dit pas un mot, il fume sa clope pendant que je me fais plaize puis il se met à me pilonner la bouche. Il me puissance à la gober en fond de gorge, je sens bien que je n'ai pas le choix, il me la fout tellement profond que j'ai limite envie de gerber. D'un coup il me pousse sur le matelas et me dit « fous-toi à 4 pattes ». J'hésite et il me redit « À 4 PATTES ! » en me foutant une tarte. J’suis mort de trouille et je m'exécute, je suis à sa merci. Il me fout des doigts en s'astiquant, il ne me ménage pas. J'ai mal, là il me sort « ne fais pas celui qui n’aime pas, tu bandes grosse petasse ». Je lui dis d'y aller doucement mais il me dit juste de fermer ma gueule et me frotte sa tige contre mon boule. Il est cho bouillant le mec. Je sens son gland qui me caresse le trou puis d'un coup il commence à me le rentrer. Je m'avance et lui dis « mets une capote » mais il m'attrape par le cou et me couche sur le matelas en me tenant. Je ne peux plus bouger ni crier. C'est là qu'il me pénètre, il me la rentre direct. J'ai trop mal, il est couché sur moi, sa bite bien au fond de mon p’tit cul. Je finis par me laisser faire ... Là il commence à me baiser doucement, presque affectueusement. Je sens son souffle dans mon cou et qu'il me dit « c'est bien tu vois, tu kiffes ! ». Il me lime et je commence à prendre mon pied de me faire fourrer par ce bogosse mystérieux. Après il m'a mis à quatre pattes et tout à coup m'a défoncé comme une petasse. Ses couilles qui tapent contre mon boule, j'ai pas pu me retenir, j'ai craché ... Ça devait lui plaire parce que rapidement je l'entends râler en se collant contre mes fesses, sa bite agitée de spasmes, il venait de me remplir le cul ... Il l'a sortie et m'a dit « nettoie » en s'allumant une clope. J'ai léché le jus sur sa tige, il s'est resapé et m'a demandé mon phone en me disant que j'étais une bonne petasse. Là il s'est cassé en me laissant plein de foutre à oilp ... Ça m'a tellement chauffé que je me suis rebranlé direct avant de partir. Quelques jours plus tard, un appel masqué à 1h du mat, mon mystérieux bogosse qui m'a dit « viens, comme l'autre fois ». Depuis j'ai parfois l'occasion de le vider en scred, je ne sais toujours pas comment il s'appelle ....