Histoires de sexe

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Petasse à rebeu 
Histoire gay publiée le 08/11/2019
À puissance de lire, il arrive que nous ayons envie d’agir… d’où mon irrépressible désir, après des jours de lecture sur ce site, d’être souillé par un homme dominant. Sans trop y penser, je m’en faisais une idée très arrêtée et relativement clichée : d’origine algérienne, grand, mince, mais musclé, à la voie virile, un peu négligé et au regard à la fois vide et intense. Ces hommes, ce sont ceux que nous croisons tous les jours, nous, soumis, en fantasmant silencieusement, espérant qu’ils en fassent autant. Au coin d’un métro, au supermarché, leurs traits masculins et leur odeur si particulière de puissance et de déodorant, ils attirent tous notre regard. Mais si inaccessibles qu’ils puissent paraitre, assurément, leur envie à eux aussi est d’avoir un homme frêle et docile à leur merci pour leur obéir, symbole de leur puissance. C’est ainsi que je décidai un jour excessivement chaud de juillet de me rendre à Marseille, ville repère de ces hommes tant attirants. Chaque fois que je croisais ce que l’on pourrait appeler un lascar, je ne me privais pas de le regarder de haut en bas avec un air très soumis et provocant. Certains m’ignoraient, d’autres, s’ils étaient plusieurs, se retournaient intéressés. L’un d’eux même, en voyant mon regard, cracha à côté de moi, ce qui me dégouta et m’excita comme une chienne. Arrivé près d’un bar, je décidai de m’y installer et de télécharger une célèbre application de rencontre où mon pseudo était « petasse à rebeu ». Mais après deux heures, rien de concluant (certains se disaient discrets, d’autres mariés…). Avec une immense frustration, je me résignai à prendre un Uber pour rejoindre la gare et rentrer bredouille. Quelle ne fut pas ma bonne surprise en voyant au volant de ce véhicule l’image même de l’homme que je souhaitais. Après de brèves salutations, il vit une notification beuronline sur mon téléphone ce qui lui fit s’exclamer : « Ha les PD vous êtes même plus cachés maintenant » Peu à peu s’installa la conversation : « – Que voulez-vous, vous êtes parfois bien contents de nous trouver pour vous soulager. – Moi je vous touche plus depuis que j’ai des gosses, mais c’est vrai que vous êtes bien salopes. – Dommage, venant de vous j’aurais tout accepté… – Mais c’est qu’elle fait sa petasse ! Si tu veux j’ai un collègue qui est dégouté des meufs je pense qu’il kifferait avoir un chien h24. – J’en serais ravi… – Je l’appelle et je t’emmène chez lui. La course est pour moi. – Merci monsieur. – T’as une bonne gueule toi, si je pouvais je te ferais bouffer ma queue. “ À peine arrivé à destination, je me sentais déjà prêt à jouir. L’appartement était ancien et fidèle à l’idée que l’on se fait du logement d’un garçon : un peu en bordel. Le collègue de mon sauveur était tout aussi parfait que lui. Il semblait déjà au courant et me prit le menton en me faisant ouvrir la bouche pour y cracher un mollard impressionnant. Il remercia mon chauffeur avant de m’expliquer que je me devais de le servir et de ne rien lui refuser. C’est ainsi qu’après lui avoir servi une limonade il me fit me mettre à ses pieds, la tête sur son immense queue qu’il venait de déballer. Je la suçai sans même qu’il le demande, ce qui semblait lui faire beaucoup de bien au vu de ses gémissements si forts et virils. Après 15 minutes, et alors que j’entamais une branlette, il ne put se retenir de lâcher de nombreux jets crémeux et interminables qui sortaient de son gland pour atteindre mon visage. Soulagé, il prit le temps de me faire un long baisé passionné, après quoi il entreprit de mettre sa semence dans ma bouche avec ses doigts. Il me dit qu’avec lui je pouvais me sentir en sécurité et comme pour me prouver ces paroles, il se mit à me chevaucher comme une salope. L’acte dura plus d’une demi-heure, où mon homme n’avait de cesse de me pénétrer toujours plus fort. Il semblait y mettre confiance et supériorité, peut être même amour. Alors qu’il me glissait des insultes mélangées à des je t’aime à l’oreille tout en me passant un bras autour de la tête pour m’attraper, je sentis à nouveau son puissant jet au fond de moi… je ne m’étais jamais senti autant à ma place. À la fin de ce test intense, Abdel me dit, essoufflé et me tenant fermement la tête : ‘t’es ma femme désormais’. Il me demanda de désinstaller beuronline avant d’en faire autant. Paradoxalement, des paroles très tendres (bien que ne laissant pas de doutes sur mon rôle de femelle à son service) s’en suivirent. Hélas, rappelé par sa famille, il dut rentrer dans le Nord peu après, à notre grand regret.