Histoires de sexe

Salut les gars. Moi c’est Arnaud. Parigo de 19 ans, habitant dans le 16e, encore chez les parents. Je suis un gars normal, assez filiforme, chatain aux yeux verts, des lunettes d’intello, de belles levres de suceuse, un beau cul avec une belle chute de hanche. Depuis un depucelage un peu inattendu cote mec assez tot, j’ai doucement appris a etre un vrai soumis aux rebeus et aux renois. Cette histoire date de mes 18 ans. A l’epoque, j’avais de frequents « echanges » avec un magnifique rebeu de Mantes la Jolie. Il avait 26 ans, 1m85, assez baraqué. Il avait la peau mat, tres peu de poils, toujours rasé et cheveux tres court. Un style totalement opposé au mien, tres « kaira ». Un jour, il me texte vers 14:00 en me disant qu’il veut me voir. C’est une façon de dire. Son texto etait: « 15:30, chez toi, tenue intello » Je lui reponds que malheureusement mes parents sont la. « Ok. Tu descends a 15:30. Je t’emmene en foret Salope. » Je lui reponds ok. 15:30, je suis habillé comme a mon habitude, converse basse, sockette, jeans, polo et pull V. Je dis a mes parents: « Je vais chez un pote jouer a la console, je reviens plus tard. » Je descends. Il y a bien une voiture qui denote dans le paysage, un peu vieille. Il est dedans, en mode « gros cliché ». Il est en survet, basket, sweat a capuche, casquette, sa grosse chaine en argent brillant autour du cou. Il me fait signe de monter. Je monte, il m’accueille avec une petite baffe. «T’es en retard Salope. Il est 15:31! » Je m’excuse en gros soumis. Il demarre et il se dirige vers la sortie de la ville. Je commence a parler. Il m'interromps : « Ta gueule. T’es pas la pour faire la causette sale petasse. » Il conduit sans rien dire un long moment et on arrive dans un endroit en bordure d’une foret. Il se gare dans un chemin isolé. Sa main se pose sur ma tete et la dirige vers son entrejambe. « Aller suce bouche a bite! Tu attends que ça sale petasse! » Je commence a lui mordiller le survet, je sens sa bite dure en dessous. Je glisse ma main dans son boxer et je branle légèrement en mordillant a travers le survet. Puis lentement je remonte et j’aide sa belle bite dure a sortir au niveau de son boxer. Et je l’englouti dans ma bouche chaude. Il kiffe. Il a des grognements de contentements. « Ah oui sale petasse, c’est comme ça que je t’aime. Tu suces tellement bien petasse! » Je libere toute sa bite et ses couilles. Je suce en lui caressant. Il me fait bouffer ses couilles. Ça sent le male en rut, ça a le gout de l’animal en manque. Et il impose son rythme avec ses deux mains pour que je suce. Apres un long moment, je sens le soubresaut habituel, et le flot de soerme qui envahit ma bouche. « Avale le jus du vrai male sale soumis! » J’avale. Il se repose dans le siege. Remonte son survet. Et il sort. Il me fait signe de sortir. « Bon la pipe ça suffira pas… on va aller dans la foret, suit moi! » Il prend son écharpe dans le vide-poche. Il fait pas froid mais bon. Et il me fait signe de le suivre. A suivre…