Histoires de sexe

Histoires de sexe écrites par des clients

Eau Sauvage - 2
Histoire gay publiée le 17/03/2022
Pendant tout le trajet qui m’avait amené jusqu’à l’adresse que Naïm m’avait envoyé par SMS j’ai essayé d’apprendre à marcher comme lui, avec une espèce de nonchalance virile. Mais 9 années ininterrompues de danse classique ça ne se perd pas aussi facilement. Je porte sur moi ce que j’avais de plus décontracté soit un pull marin moulant, un pantalon noir et des converses noires et blanches. Mon allure contraste avec le lieu en question. Une rue étroite, des immeubles en piteux état, des applaudissements émanant de téléviseurs au volume exagérément élevé qui n’arrivent toutefois pas à couvrir les hurlements de bébés qui résonne dans la ruelle. D’après le GPS de mon Iphone que je tiens fermement entre mes mains je suis arrivé. Je trouve enfin le numéro 18, sur le pas de la porte un mec un peu plus jeune que moi se roule un joint tranquillement. Il me regarde de la tête au pied, il est clair que je fais tache ici. J’appelle Naïm, au bout de la troisième sonnerie quelqu’un décroche, j’entends un grésillement étrange puis on me demande qui je suis, je ne crois pas reconnaître sa voix. Je réponds que « C’est moi David, Naïm m’a demandé de » et on me répond de monter au troisième étage. J’avance vers l’entrée de l’immeuble et le garçon se lève, mais je ne suis pas certain que ce soit pour me laisser passer car il me barre le passage. Comme laisser-passer je dis que je suis invité par Naïm et là il me répond qu’il le sait parce qu’il m’a reconnu. J’écarquille les yeux. Il a certainement vu les photos et les vidéos. Il fait un pas de côté et je suis obligé de me frotter légèrement à lui pour passer. Il porte un survêtement blanc Lacoste, à cet instant il me crache la fumée au visage et les senteurs de cannabis me font tousser. « Tapette ! » me lance-t-il au visage. Pas de doute, je suis arrivé, les airs de rap font vibrer les murs de l’appartement. La sonnette ne fonctionnement pas, je frappe il n’y a pas de réponse alors j’entre avec la boule au ventre. Je ne cesse de me répéter que je dois partir, mais l’excitation est trop forte. Un petit couloir encombré de boites de chaussures et qui couvrent presque l’intégralité des murs mène à un salon. Un jeune mec dort en dépit de la musique, torse nu et en caleçon, je vois la pointe de son gland qui dépasse du tissu. Le corps puissant, luisant, il n’a pas de muscles bien dessinés comme ceux de Naïm mais avec à peu près un mètre quatre-vingts il doit bien peser 120 kg à vue de nez, j’essaie de ne surtout pas le réveiller. Je continue mon exploration en traversant le salon et je tombe sur Naïm debout en train de pisser, visiblement la porte des toilettes a tout simplement disparue. Sans se retourner il me lance « va dans la chambre ». Mais je reste planté là à écouter son jet de pisse. Il pivote vers moi, il a terminé mais il a laissé son sexe sorti au-dessus de son jogging, une goutte dorée perle de son gland. « Lèche ! » C’est un défi qu’il me lance. Je suis véritablement écœuré mais de ma langue et sans réfléchir je viens récupérer ce liquide. « sale petasse ! » Il m’emmène dans sa chambre, il y a un matelas posé à même le sol. Des baskets de toutes les couleurs sont réunis en tas. Il prend une chaise, s’assoit et me demande de le sucer pendant qu’il allume une cigarette. Je m’applique à la sucer le plus profondément possible. Il m’encourage et me guide avec des râles plus ou moins fort. Il aime que le lui lèche le gland en appuyant avec ma langue et en aspirant très fort. Il prend ma tête entre ses mains pour accélérer le mouvement. Pour me permettre de reprendre mon souffle il sort sa bite et me biffle. Des grands coups, ce ne sont pas mes ex parisiens du 7ème arrondissement qui pourraient en faire autant. Son gros braquemart couvre presque l’intégralité de mon visage, il est rendu collant par ma salive et je suis littéralement en trans. J’ouvre la bouche comme un assoiffé et je biberonne, je veux lui donner du plaisir avec ma langue. Soudain nous sommes interrompus, ça n’a aucune importance pour moi je continue mon travail de suceuse. Je comprends vite qu’il s’agit du mec qui était endormi et qui se couche sur le lit une manette à la main. Il lance FIFA. Tout naturellement comme si je n’étais pas là. Naïm me présente Omar comme étant son « cousin » et il me précise « Il est un peu attardé, fais pas attention à lui et continue de sucer. » La présence d’Omar ne me dérange pas, au contraire les acclamations du jeu vidéo m’encourage encore plus. L’ambiance devient électrique lorsque Omar perd un match, son cousin l’insulte, l’autre se met à crier d’une voix rauque et forte qui me fait dresser le peu de poils que j’ai sur le corps. Naïm se marre et lui lance « Et Omar, tu es toujours puceau toi ?! Si tu gagnes le prochain je te donne son cul. » Soudain mes yeux s’écarquillent, je me recule. Mes yeux se pose sur l’entrejambe de son cousin, il a de grosses cuisses et sur l’une d’elle apparait toujours ce gland énorme. Naïm rit encore « T’inquiète ma p’tite petasse » Il humilie encore son cousin en insinuant qu’il ne gagnera jamais une partie. Je suis soulagé. Mais tout déraille quand je vois la manette de jeu voltiger à travers la chambre. Naïm l’engueule et me demande de le sucer pour le calmer, je fais non de la tête instinctivement et je reçois une baigne. Omar me regarde méfiant, je m’approche de lui, son cousin lui demande de se laisser faire et ironise « On va te sucer pour la première fois, savoure mec ! c’est mon cadeau d’anniversaire pour tes 20 ans. » Je m’approche en rampant de son chibre qui doit mesurer 23 cm j’ai du mal à refermer ma main autour, j’abaisse ma tête, mes cheveux blonds, fins et mi-longs glissent le long de mon visage, je me cambre, en faisant glisser mon pantalon qui dévoile un jockstrap blanc. Omar parle à son cousin comme si je n’étais pas là « On dirait une meuf ! » et Naïm lui répond « C’est pas une meuf ça, c’est une petasse, et après tu vas gouter à sa chatte tu vas voir comme c’est bon ! » Sauf que je sais par avance que ça n’entrera jamais en moi, Naïm le sait aussi. C’est pour cela qu’il commence à me glisser des doigts avec le gel que je lui ai tendu. Je tète le gland en le branlant, je le regarde dans les yeux, il est terrorisé par le bien que je lui procure. Je comprends qu’il ne sait jamais donner du plaisir. Je m’approche de son torse et dépose quelques baisers sur ses poils, il m’attrape par les cheveux et de sa voix rauque il insiste « Non je préfère ça » et il colle ma bouche sur ton sexe, il essaye de me la rentrer entièrement mais je s'essoufle, je reconnais le rire de Naïm, et soudain je sens le sperme envahir ma bouche j’essaye de tousser, de recracher mais il me tient fermement et alors l’impossible survient, une partie ressort par mes narines. A la fin de sa trans il me libère. J’ai le visage recouvert de larmes, de foutre et de morve. « Lèche encore ! » exige-t-il. Je m’exécute en me frottant discrètement au drap du matelas. J’ai à peine retrouvé mes esprits que la bite de Naïm pénètre mon cul. Il appuie à nouveau sur mon dos, mon visage collé sur les boules d’Omar que je lèche. « Je te prépare le passage » lui dit son cousin. Je reconnais bien cette sensation que je suis venu rechercher, la et l’humiliation. Quelques instants plus tard Omar n’a toujours pas débandé, ce mec est un extraterrestre. Je retiens mon souffle alors que je suis à quatre pas le cul dressé derrière sa bite entièrement enduite de lubrifiant. Face à moi Naïm frotte sa queue sur mon visage et chuchote « Tu es ici parce que toutes les meufs que je lui ai ramenées sont parties en courant, il a une très grosse queue et il est trop en chien pour une meuf normale, ce qui lui faut c’est une chienne comme toi. » Après quelques hésitations j’interviens, je saisis sa queue énorme que je dirige avec mon anus j’essaye d’y aller doucement mais je me contracte trop. Naïm m’allonge de puissance, il glisse une espèce de repose pieds sous mon bassin et parle en arabe à Omar. Le supplice commence et il me semble être interminable, heureusement que je mords un oreiller au même moment, mais le pire est à venir, les va-et-vient débutent. Les larmes coulent sur mon visage, Naïm me caresse les cheveux en me disant « Voilà, c’est bon maintenant tu es une vraie salope. Regarde comme tu es dilaté. » Evidemment il a tout enregistré sur son portable. On y voit mon trou qui reste ouvert après la sortie du chibre de son cousin. Naïm le félicite et lui demande de retourner au salon mais une dispute éclate entre les deux males virils et dont je suis l’objet. « Non, je veux finir ! » Omar repousse son cousin et me pénètre d’un coup. Je sens toute sa masse de plus de cent kilos appuyer sur moi, je vois dans le regard de Naïm qu’il a soudain peur pour moi. J’ai l’impression que tous mes organes remontent dans ma gorge. Mon cul est buriné sans précaution pendant un temps que je ne pourrai jamais estimer, et un liquide chaud se répand à l’intérieur de moi. Le colosse se retire tranquillement en titubant légèrement. Si bien que je ne ressens pas tout à fait la bite de Naïm combler le vide qu’il a laissé. Et c’est reparti, sauf que le bruit liquide qui accompagne le mouvement de sa queue en moi est inédit, il repousse le foutre à l’intérieur pour bientôt y ajouter le sien. Je cours sous la douche pour me vider et me nettoyer, je suis essoufflé, j’ai tellement mal. L’appartement est étrangement silencieux. Je retourne dans la chambre, en passant par le salon je vois Omar endormi à nouveau. Mes affaires ont disparu, je n’ai que mon pull marin qui sent la transpiration. Je suis épuisé, je m’allonge sur le lit, je m’endors. Quelle heure est-il ? Je l’ignore. Je suis réveillé en sursaut, des pieds nus frottent mon visage. Je reconnais après quelques secondes le jeune rebeu de la porte de l’immeuble, il est habillé mais il a juste sorti sa queue pour se branler. « Lèche » ordonne-t-il lui aussi. Il a des pieds immenses comparé aux mieux. Il fait au moins de 46. Je ne sais pas trop comment faire alors je suce lorsqu’il me présente ses orteils et je lèche le reste de ses pieds. Soudain il les dirige sur ma bite. Je bande, mes 18 cm remplissent bien mon jockstrap. Il me caresse la verge au travers du tissu blanc, ses gros orteils viennent appuyer sur mon gland et je jouis profondément. Mon sperme blanc filtre au travers de la fibre, il me fait lécher ses pouces qui ont désormais le goût de mon fluide. J’approche mon visage de sa queue mais il refuse que je le suce. Il accélère le mouvement et jouit rapidement sur mon visage avant de quitter la pièce. Je m’essuis avec une chaussette oubliée au pied du lit. Après quelques secondes je repars en quête d’un vêtement, j’abandonne dans un coin mon Calvin Klein blanc imbibé de foutre. Je tire un jogging Nike qui traine sous le bureau, il sent Naïm. Je trouve mon Iphone coincé entre le matelas et le mur, et je me dirige vers la sortie. Mais des coups retentissent contre la porte de l’appartement. Je n’ai qu’une crainte c’est qu’ils réveillent le molosse endormi dans le salon. Doucement, prudemment, je me dirige vers le couloir et deux lascars, la trentaine, entrent au même moment. Ils saluent Naïm qui leur a ouvert. La conversation est hallucinante. « Alors ? Omar a trouvé une meuf à sa hauteur ? » « Ta vidéo a fait le tour de tout le quartier tu vas avoir de la visite frère. » « Tu devrais le descendre à la cave » Je suis à genoux devant eux, installés en mode pacha. Naïm me fait signe de me mettre au travail. « Montre-nous ce que tu sais faire » Me lance le plus musclé des deux. Je ne suis pas prêt de sortir d’ici, mais est-ce que je le veux réellement ?