Sex stories

J?étais à Tours pour venir voir un ami de longue date, Johan. On aimait discuter politique, monde etc? Aussi, c'est tout naturellement que je suis venu passer le week-end chez lui. Nous regardions des films à la télé, nous discutions des jeux vidéo du moment. Puis, plus tard dans la soirée, vers 1 heure du matin, nous avons décidé d'aller nous coucher. Alors que je me mettais en « pyjama », c'est-à-dire en caleçon et en tee-shirt, il déplia le clic-clac du salon. Je me couchais alors, et, malgré le fait qu'il ait une chambre bien à lui avec un lit, il vint rêver avec moi. Lorsqu'il se coucha, il sentait une forte odeur de parfum. Aucun de ces détails ne me parut bizarre à ce moment précis, sachant que la seule chose que je voulais c?était rêver. Cependant, au cours de la nuit, une étrange sensation me sortit de mes rêves. Une main remontait lentement mes cuisses, puis une deuxième vint s'ajouter en me caressant les fesses à travers mon caleçon. Les mains parcoururent mon cul et se dirigèrent vers mon ventre petit à petit. Ma respiration s'accélérait ainsi que mon rythme cardiaque, mon sexe commençait à grossir. Je pouvais aussi sentir l'excitation dans ses mains, son souffle qui augmentait. Les mains se firent de plus en plus audacieuse, une remontant ma cuisse vers l'aine et l'autre arrivant sur mon ventre. Mon erection était déjà bien avancée lorsque les mains de Johan touchèrent mon sexe. Tout d'abord, il fit un petit mouvement de va et vient à travers le caleçon. Et puis une main s'insinua dans le sous vêtement et commença quelques caresses discrètes. Pendant tout ce temps je n'avais pas bougé, toujours allongé sur le lit en travers. Et puis les mains se firent plus directrices et, très vite, le caleçon glissa sur les chevilles. Une petite pression sur la hanche me fit pivoter sur le dos. Une des deux mains me saisit fermement le sexe et commença un mouvement de va et viens de plus en plus rapide. Ma respiration s'accéléra encore, mon sexe atteint son paroxysme erectile. Johan bougea à côté de moi et je sentis soudain sa respiration sur mon bas-ventre, puis un sentiment de douce chaleur mouillée enveloppa mon gland, sa bouche venait d'engloutir ma queue. Un plaisir irradiant vint petit à petit, au rythme de ses coups de langues et de ses vas et viens sur mon sexe. L'excitation m'envahissait et, dans un geste normal, je posais ma main sur sa tête pour accentuer le mouvement. Mes mains dans ses cheveux bouclés, les bruit de succion et de sa respiration mélée à la mienne, la chaleur de sa bouche sur mon sexe, tout cela fit monté le sperme. Il accentua cette progression en me malaxant les testicules et et me caressant les cuisses. A un moment la pression fut trop forte et mon sperme gicla, en grande partie dans sa bouche. Il s'acharna sur mon sexe, me masturbant encore longtemps apres, pour faire sortir toute la sève. En suite ses mains, en partie couverte de mon propre sperme, se promenèrent sur mon corps, mes fesses, mes cuisses. Pendant un instant, on pouvait sentir une hésitation alors qu'il continuait ses caresses sur mes fesses. Allait-il passé à l?étape suivante ? Allait-il osé se vider lui-même, entre mes cuisses ? Il se levait, se dirigeait vers la salle de bain . Je n'attendais qu'une chose, qu'il revienne avec une capote et du gel et mon cul lui serait offert. Je le voyait déjà me chevauchant comme une bete en levrette sur le lit, je le voyais déjà suant et râlant de plaisir entre mes cuisses écartées. Je me voyais déjà épuisé par la nuit de baise intense qui aurait suivie. Mais il revint sans rien et nous nous endormimes.