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Je ne passerai pas une soirée de plus sans me faire baiser la bouche et le cul !
Published on 18/02/2015
Samedi dernier, ça faisait deux semaines que je ne m'étais pas fait baiser et je sentais des putains de vibrations de manque dans ma chatte de céfran 100% passif. J'avais beau me branler la queue en matant des photos de grosses tiges bien raides sur internet, je n'arrivais pas à croire que j'allais passer une soirée de plus sans me faire baiser la bouche et le cul. Comme pas hasard, mes baiseurs réguliers avaient visiblement trouvé des plans pour la soirée et je m'étais connecté sur un site pour faire un plan avec le premier actif venu quand tout à coup mon téléphone sonne. C'était mon pote Momo, un type marié qui adore tromper sa femme avec moi. Momo, c'est un mâle au sourire charmeur mais qui sait ce qu'il veut, bien dominateur donc, super discret genre hétéro exclusif, au corps peu poilu, des cuisses de ouf, qui cache sous son slip une matraque de 20 cm sur 6. Momo aime me serrer. Souvent je me demande s'il ne m'aime pas plus que sa légitime. Pour lui, je suis sa deuxième meuf car je lui fais tout ce que la première ne veut pas faire : je le suce, lui lèche les couilles, bref je m'occupe de sa bite avec endurance, puis je lui tends mon cul quand il m'ordonne de le faire pour qu'il se vide comme il aime. Il est tout excité au téléphone. "T'as envie de moi, salope ?", il me dit. Je lui réponds que ma bouche et ma chatte sont à lui et que sa femelle n'attend que lui pour la baiser. "T'as intérêt, ce soir c'est ta fête, ma petasse". Je ne sais pas pourquoi mais je me dis qu'il y a quelque chose de spécial derrière ses paroles, et je sens immédiatement mon adrénaline grimper en flèche. "Je t'amène quelqu'un, il ajoute, j'ai décidé de te prêter à mon pote kabyle ce soir". Je raccroche, je suis en transe. Je vais dans la salle de bain et me prends une bonne douche avec la toilette intime qui s'impose quand je reçois mon beau mâle que j'adore. Une demi-heure après, on sonne à la porte. J'essaie de cacher ma trique sous le jogging mais j'ai du mal tellement je suis excité. Derrière Momo, je découvre un jeune mec de 20 ans pas plus, environ 1m80, baraqué sans un pète de graisse, grand sourire aux lèvres, beau comme un dieu et apparemment monté comme un âne si j'en juge par la bite du jeans qui semble prêt à éclater. Je dois avoir l'air un peu con car Momo éclate de rire en me tapant le cul. "Comment va ma petasse ?, il demande, tu nous sers un verre pendant qu'on s'installe ? Je détache avec difficulté mon regard de la bite du Kabyle et je file dans la cuisine chercher de quoi faire avaler mes deux mâles. Quand je rentre dans le salon, Momo me fait signe de m'asseoir entre eux deux sur le canapé. Là je n'en peux déjà plus, mon bas ventre est vrillé d'éclairs de désir, ma queue menace de trouer mon jogging et mes mains deviennent incontrôlables. Mourad le Kabyle s'empare de ma main gauche pendant que Momo en fait autant avec ma main droite. Lentement, ils me guident vers leur entre cuisses et je commence à les caresser. Momo, ça va je connais, elle est là, bien raide déjà, le gros calibre prêt à dégainer. Mais Mourad, c'est du nouveau donc je tâte avec expertise. Ça promet, à première vue. Il défait la boucle de sa ceinture, fait sauter les boutons du pantalon un à un et là je trouve la grosse bite du siècle. "Suce le, ordonne Mourad, vas-y, sa meuf est au bled depuis 3 semaines il est en manque. Je me penche sur la trique de Mourad. D'abord je passe mes lèvres et ma langue sur le slip en lui mordillant très légèrement la queue, pour l'agacer un peu. J'entends son souffle sur mon visage et des râles de plaisir qui commencent à sortir de sa bouche. Pendant ce temps, Momo a baissé mon pantalon et je sens sa langue qui entre dans ma rondelle avec une telle sensualité que je mets à gémir comme une vraie pouffiasse. Tout en continuant à sucer la bite de Mourad, je cherche à attraper la queue de mon pote, qui se redresse et me la met dans la main. Mourad m'attrape la tête et se met à me baiser furieusement la bouche. Il donne des coups de reins monstrueux dans ma bouche et je me demande si je ne vais pas éssouffler avec cette énorme bite dans ma bouche. De temps en temps, je reprends ma respiration et me mets à lui bouffer les couilles, deux énormes couilles remplies à ras bord que je prends à tour de rôle dans ma bouche pour les gober. "T'es une très très bonne chienne, il me dit, Momo m'avait prévenu mais tu te dépasses. On va voir tout à l'heure si tu tiens une bonne baise. Je vais bien t'enculer salope". Momo rigole et m'envoie direct une grosse claque sur le cul puis une deuxième. Je sais ce que ça veut dire et je mets à quatre pattes tout en continuant à travailler la bite de Mourad. Je sens Momo mollarder dans mon trou, qu'il lubrifie avec un doigt d'abord et un deuxième ensuite, puis dans la foulée il me présente son zeb bien raide. Il fait entrer son beau gland avec délicatesse, le retire, le remet pour bien habituer mon trou qui est toujours un peu serré malgré des années de pratique assidue, puis il l'enfonce jusqu'au bout. Une fois entré, il se met à me baiser avec puissance, en me donnant des claques sur le cul. Mourad, lui, est en complète excitation. Il m'attrape par les cheveux, me baise la bouche comme un ouf en activant son bassin. Je suis au 7ème ciel avec ces deux mâles qui me comblent de plaisir avec leurs énormes zebs. Je sens mon Kabyle prêt à gicler car sa queue devient soudain plus que dure et je n'ai qu'une envie : sentir son jus exploser sur mon corps et couler dans ma gorge. Mais il se redresse et lâche à Momo : "Je vais le baiser tout de suite". Momo fait plaisir à son invité et change de place avec lui. J'aime mon Momo. Derrière moi, Mourad est tellement excité qu'il me pénètre rudement. J'ai envie de crier de douleur mais c'est trop tard, il est déjà en train de me pilonner le boule comme un malade. Heureusement le plaisir dépasse rapidement la douleur et je mets à gémir de plus belle : "Vas-y Mourad, vas-y, mets bien ta queue en moi, baise la salope, elle aime ça, elle aime trop ta queue", jusqu'à ce que je l'entende rugir derrière moi. Il jouit longtemps, penché sur moi, tout en passant sa langue sur mon dos. 4 jets surpuissants et interminables de Momo me recouvrent le corps. Il gueule tellement fort que je me demande si les voisins vont pas appeler les pompiers. Quand il a fini et que les soubresauts délicieux se sont arrêtés, je retire avec vénération la capote de la queue de Mourad, qui se penche sur moi pour me rouler une pelle bien baveuse, suivi par Momo. On se fait un festival à 3 langues et je constate que mes 2 lascars sont encore bien raides pour des mecs qui viennent de lâcher la purée. Ensuite c'est Momo qui prend les commandes. Lui et son pote se mettent sur chacun de mes tétons et les lèchent. C'est tout ce que j'aime. 15 secondes plus tard, à mon tour d'exploser. Un quart d'heure après, Mourad me regarde, passe sa main sur mon visage avec une tendresse que je n'imaginais pas et nous dit : "On remet ça ?" "Ok, répond Momo, mais cette fois-ci on va dans la chambre". Que du bonheur.