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Le nouveau vide-couilles de la cité
Published on 23/02/2015
Le nouveau vide-couilles de la cité

Fraichement muté en région parisienne, budget oblige, je me suis installé dans une cité du 9-3. J'suis un p'tit minet de 23 ans 1m80 65kg brun BCBG de province, au petit cul bien appétissant et à la bouche bien soumise. Alors qu'un soir je rentre dans mon appart, je croise une putain de bête de sexe dans les escaliers. Un rebeu d?1m90 super baraqué, au look bien caillera. Il me fait : « qu'est-ce tu fous là ? » Choqué, je lui réponds « bah'j'habite ici pourquoi ? » « les p'tits PD dans ton genre ils vivent pas ici, ils vivent dans des quartiers bourges. Tu viens pour téter du zob rebeu ? » Là je sens que ça commence à craindre pour moi, j'essaie de me tailler. Mais il me bloque. « allez ma belle vient, je vais te montrer comment je m'occupe des chaudasses comme toi » Je suis tisé par ce mec, il a des bras et des pecs qui paraissent énormes. Il m'impressionne, m'excite et me fout la trouille. Je le suis alors vers les caves ne sachant pas ce qu'il allait m'arriver . Il me pousse dans une cave dans laquelle il y a un matelas crade au sol, plein de liquides, que je n'essaie même pas de distinguer tant ils sont repoussants. Mon tourmenteur m'attrape par les cheveux et me descend au niveau de la bite de son pantalon. Une bite énorme. « Allez ma lopsa, tu vas bien me sucer comme une chienne, toutes les nanas qui me kiffaient y sont passé par cette cave. Pas de bol pour toi j'en ai pas eu depuis 10 jours, alors tu vas prendre très cher ». Je commence vraiment à flipper et essaie de me dégager. Peine perdue, il me rattrape illico et me flanque une première baffe en pleine gueule. BAM, puis une deuxième, BAM, puis encore un aller-retour, j'en ai la tête qui tourne il me choppe par le col et me dit « tu vas faire ce que je te dis, si tu veux que je reste gentil, sinon je peux être très méchant et faire de ta vie un enfer, alors tu vas gentiment me soulager », il sort alors sa matraque de son short. Un bonne queue de 20 cm bien large, qu'il me fout direct en fond de gorge. J'en bave, mais j'encaisse. Il joue avec ma tête comme un fleshlight, il m'insulte « lopsa, chienne ou foutre, salope? » il va de plus en plus vite, de plus en plus fort, j'ai l'impression qu'il va m'arracher la tête, il enchaine les coups en fond gorge puis retire la queue pour me jouir
partout sur le corps ! Ça n'arrête pas de couler, j'en ia plein partout.
Il se marre « t'es une bonne salope toi on va bien s'entendre ». Je me relève tant bien que mal pour essayer de partir. Alors que je suis debout, il m'agrippe par les cheveux « hey, tu crois aller où comme ça, je t'ai dit que t'allais prendre cher c'est pas juste une sucette ». Là je commence à paniquer, même si j?étais habitué à faire des pipes, mon cul était vierge, là vue d'un tel engin m'effrayait, j'essayais de l'en convaincre, je le suppliais lui promettant une nouvelle pipe. Rien y faisait, il voulait mon cul. « Je sais que t'aimes ça aller, si t'es cool je serais cool avec toi, laisse moi prendre mon pied j'irai doucement ». Voyant que je n'avais aucune chance j'ai cédé, et me suis foutu à poil, cambrant mon cul lui offrant ma virginité. Alors que je m'attendais à un peu de douceur, après qu'il ait lubrifié mon cul et sa capote, il s'enfonce quasiment d'un coup me rentrant son gland énorme entier. La douleur est atroce, j'ai l'impression d'avoir une batte de baseball dans le cul. Je pleure à chaude larme, il s'en fout, et m'enfonce le reste de son monstre. Comme tout à l'heure, les coups sont puissants, rudes. Mais malgré la douleur, qui même diminue, je commence à prendre mon pied. Ces mouvements me procurent du plaisir, je sens mon cul se distendre, le message est trop kiffant. J'en peux plus je sens que je vais jouir, il le voit et redouble alors l'intensité de ses coups de boutoir, et m'insulte pire que tout il me dit qu'il va me faire tourner, faire de moi la petasse de toute la cité?Ce qui me porte à l'orgasme, un orgasme à un niveau que j'avais jamais connu alors. Il se retire alors, enlève la capote qu'il avait mise, m'attrape le visage et jouit sur ma joue. Il prend alors des photos avec son portable, sort mon portefeuille et regarde mes papiers. Il me dit « je sais qui tu es et où tu habites, maintenant t'es à moi, quand je veux et où je veux », il me prend mon numéro de téléphone et se tire me laissant poisseux et épuisé...