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La vide-couille parfaite
Published on 08/04/2015
Comme énoncé précédemment, hétéro et en manque, je suis mis à la chasse d'une proie féminine. Automatiquement, mon cerveau m'a désigné une camarade de classe. Une meuf plutôt pas mal, très open et libertine. Cette meuf est dans un style manga avec des côtés un peu émo. Elle a un mec qui est bi. Ensemble ils forment un couple plutôt excentrique. Bon, lui, je m'en fou un peu, même si sa bouche peut éventuellement me servir. En plus, les plans avec de gens que je côtoie tous les jours, ça me fout mal à l'aise. Mais l'importance dans tout ça, c'est que ce couple est en relation-libre. Je peux vous dire qu'ils baissent bien à droite comme à gauche. Donc bon point pour moi. J'ai donc essayé de me rapprocher de cette meuf. Dans un premier temps, je me suis dit qu'il faut que je me rapproche parce qu'on ne se connaît pas vraiment. Donc pour notre groupe de classe à la FAC, j'ai décidé de me mettre avec elle. Nous sommes dans une filière artistique. Donc étape 1 : Réussie. Par la suite, elle a vu mon fond d'écran "J'ai une grosse bite". Ça l'a fait rire. Je lui ai expliqué que je fais beaucoup de montages dans le même style, provo/trash. Je lui montre une autre image sur mon PC "How To Fuck ...". Alors en plein cours, elle me chuchote, "j'aimerais bien que tu me montres". Là, j'ai triqué direct. Mais dommage. Je n'ai jamais eu l'occasion de lui montrer. Après cette période, de long mois sans se voir. Il y a de ça quelques jours, avril 2015, alors qu'elle voulait des informations sur le cours pour lequel elle ne venait plus, elle m'écrit. Je lui réponds et on discute. 3 heures plus tard, je la salue puisqu'il est minuit passée. "Bisou :)", me salue-t-elle. Je ne sais pas d'où c'est venu, je lui sors une vanne. "Ouais, zoubi, ne pas confondre avec zebi :D". Bon, ça a foiré, lol car le verlan et l'arabe c'est pas son truc. Je lui traduis puis me rétorque que je l'ai tuée. Enfoiré de sa race que je suis, j'en reste pas là. Je me dis "je l'ai rendu heureuse l'espace d'un moment", parce qu'en fait, ça n'allait pas fort. "Moi aussi je suis content, lançais-je, comme un chien quand il est content, j'ai la queue en l'air". Vous l'aurez compris vive la métaphore. À ce moment-là, je l'ai achevée. Elle a apprécié, j?étais fier de moi. Mais toujours avec les boules bien pleines. :( Une suite prochainement,ça sera plus chaud. À suivre donc.