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Un Algerien de foyer
Published on 07/01/2019
Salut moi c’est Charly, un petit minet céfran, bien chaud du cul. J’ai 18 ans et je suis déjà très branché sur les bites renois et rebeus. Je viens d’une famille aisée et très catho. Bien sûr ils ne sont pas au courant de ce que je fais avec les mecs. Ma famille étant « de gauche », mes parents ont décidé que nous allions aider les associations d’aide aux personnes défavorisées, etc. Je passe donc quelques jours avec une association en aide aux réfugiés. Durant cette période, je sympathise avec un Algérien de 35 ans. Il est assez sec, mais musclé. Apparemment imberbe. Un très joli sourire. Il me dit que c’est pas facile, etc. Il est en foyer d’accueil à deux par chambre, etc. Je lui dis que c’est pas si mal parce que certains sont en dortoir ou dans la rue. Il me dit qu’un jour je devrais venir voir, que c’est vraiment pas sympa, etc. Je lui dis que je viendrais. Il me répond avec un sourire étrange. Quelques jours après on se donne rendez-vous pour voir sa chambre. Il est 14h, personne dans le foyer. On arrive à une porte, il rentre et me fait entrer. Je découvre une chambre plutôt sympa avec deux lits, des tables de nuits, deux bureaux, 2 chaises. Le tout rangé et propre. Il ferme la porte. « Bah c’est pas si mal ». Il me répond : « Ouai je sais » en enlevant son manteau et ses chaussures. Je fais de même. « Bah alors pourquoi tu as dit le contraire ». « Parce qu’il manquait un truc pour que ça soit bien ». Il vient vers moi et met une pression sur mes épaules. Je ne m’y attendais pas et je tombe à genoux, pile devant sa braguette. « Une petite petasse française pour me vider ». Il m’appuie la tête contre sa bite. Je tente de m’éloigner. « Fais ce que je veux parce qu’il n’y a personne ici et je ne veux pas te frapper. Et puis s’il y avait quelqu’un ... il en profiterait aussi ! ». Je me mets donc à lécher son jean au niveau de l’entre-jambe. Il se dépêche de sortir sa queue et de me l’enfoncer dans la bouche. « Suce kahba ». Je le suce comme une petasse, avec des léchouilles sur le gland et les couilles. Il gémit, le boxer et le fute aux genoux. Il me prend la tête et me nique la bouche. Il fait ça durant 5-6 minutes et il se retire. Il me lève, me met à poil, totalement. Je me retrouve en socquettes blanches nu dans sa chambre. Lui n’enlève rien. Il me met à 4 pattes sur le lit, prend une capote dans sa table de nuit tout en me malaxant les fesses et en me doigtant. Puis, sans préparation il m’encule direct. Je hurle de douleur. Il me met une main sur la bouche. « Ta gueule salope, tu vas attirer du monde ». À suivre ...