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Le pompier Jerome
Published on 11/01/2019
Salut à tous. Je vais commencer par me présenter. Je m'appelle Matthieu, j'ai 24 ans. C'est la toute première fois que je poste un récit. Je mesure 1m82 pour 82 kg, à l'allure plutôt musclée due aux 4 ans depuis lesquels je suis inscrit à la salle de sport. Je suis plutôt mignon, blond aux yeux bleus et je plais beaucoup aux jeunes femmes mais ce n'est pas ce qu'il m'intéresse (un peu comme vous haha). J'ai découvert ma sexualité vers mes 17 ans alors que j'étais en colo dans le sud de la France (mais ça c'est une autre histoire !). Mon coming-out a été fait vers mes 19 ans. Plutôt libéré, tous mes potes sont au courant que je suis gay ainsi que ma famille et mes proches. Mon histoire (réelle) commence lors d'une soirée début juillet. On fêtait l'anniversaire du cousin de ma meilleure amie. Tout se passait bien, , musique et quelques petits trucs pas très légaux à fumer. Vers 0h, l'envie de me fumer un joint me prit et je décidai de sortir de la salle pour pouvoir fumer dehors. J'avais demandé à 2/3 copains de me suivre mais personne n'avait envie. Je sortis donc seul de la salle, je me suis trouvé un petit endroit près du parking pour pouvoir être tranquille. J'étais sur Cyrillo, à lire des histoires plutôt sympas tout en fumant, quand le frère de ma meilleure amie, qui s'appelle Jérôme, arriva sur le parking. Il était à une autre soirée et passait finir celle-là avec nous. Jérôme est un mec très sexy, brun, yeux bleus. Un corps de rêve dû à son métier de pompier et tous les sports qu'il pratique. Ce mec est mon fantasme depuis que je me suis découvert. Mais je n'ai jamais rien tenté par peur d'avoir des représailles envers lui, le pensant 100 % hétéro vu le nombre de conquête qu'il ramenait apparemment chez lui. Il s'approcha de moi en me voyant. Jérôme: « Salut Matthieu, qu'est-ce que tu fais là ? ». Encore un peu dans mes esprits dû aux histoires, je commençais déjà à bander. Heureusement j'étais assis et ça ne se voyait pas. Matthieu: « Salut Jérôme. Rien de spécial, je fume un petit joint et j'étais sur mon portable. Rien de bien fun, sauf que je commence déjà à avoir un coup dans le nez mdr ». J: « Ouais pareil, j'étais en soirée tout à l'heure. Avec l' que j'ai bu mais en plus il y avait une putain de meuf qui m'a chauffé toute la soirée. Je pensais rêver avec elle mais finalement elle y a été toute seule ». M: « Ah ouais , tu dois rester sur ta faim du coup maintenant. Y'a plus que ta fidèle main droite pour t'aider (quoique je l'aurai bien aidé aussi !) ». J: « Et ouais, mais peut-être qu'il y aura quelqu'un qui pourra m'aider. Que ce soit dans la salle ou peut-être sur le parking ». Il partit en direction de la salle en me faisant un petit clin d'œil. Ce qu'il venait de me dire me donna un coup de frisson, m'imaginant ce qu'il pourrait bien se produire. Mais je redescendis aussi vite, ayant l'habitude qu'il me charrie avec ça. Je décidai d'écraser le peu de joint qu'il me restait et me dirigeai vers la salle à mon tour. La soirée continuait l'air de rien, je croisais Jérôme plusieurs fois mais sans trop discuter avec lui. Sur les coups de 4h du matin, tout le monde était parti sauf 5 personnes dont moi et Jérôme. Ma meilleure amie voulait partir aussi, pensant ramener son frère et moi mais on nous « forçait » à rester pour prendre un dernier digestif. Elle est donc partie toute seule. Au bout d'un moment, j'étais vraiment fatigué je décidais donc de rentrer chez moi. Je disais au revoir à tout le monde quand en sortant de la salle je sens une main qui me retenait par le bras. Je vis Jérôme avec un grand sourire et il me dit J: « Bah alors tu rentres déjà ? Tu vas pas me laisser tout seul ici quand même ! ». M: « Oui je rentre, je suis crevé. Et puis tu n'as pas forcément besoin de moi pour t'amuser ». J: « Qui t'a dit que je n'avais pas besoin de toi pour ça ? Et puis de toute façon je suis fatigué aussi, je vais me rentrer. Attends-moi, je vais chercher ma veste et j'arrive ». Il partit dans la salle et 5 minutes plus tard il revint tout sourire alors que j'étais assis sur un banc à l'attendre. J: « Bon alors tu te dépêches, je t'attends là mdr ». M: « T'es con sérieux. Bon du coup on rentre sur le même chemin ? ». J: « Bien sûr, je vais te raccompagner. Tu sais bien que j'habite sur la même route que toi maintenant, j'ai déménagé il y a deux semaines à deux rues de ton appart ». M: « Ah oui c'est vrai. D'ailleurs il va falloir que je passe chez toi avaler une limonade, pour que tu montres ton nouvel appart ! ». J: « Bien sûr avec plaisir ! Tu peux même passer ce soir ou plutôt ce matin, au point où on en est. Je te payerai un petit café au lieu d'une limonade ». J'acceptai sa proposition. On partit donc en direction de chez lui. Sur la route on discutait bien, il me parlait surtout de la jeune femme à sa soirée qui l'avait laissé en plan. J: « Elle fait chier l'autre à m'avoir laissé seul comme ça, elle m'a chauffé toute la soirée pour rien au final ». M: « Et bien tu finiras tout seul dans ton lit cette nuit, faudra attendre plus tard peut-être qu'elle te rappellera ». J: « Oh tu sais je ne suis pas sûr de rester seul, j'ai plusieurs idées derrière la tête ! ». M: « Ah bon ? Parce que tu as d'autres meufs qui te proposent ? ». J: « Ouais tu sais j'ai plusieurs noms de meufs dans mon répertoire, si je les appelle il y en aura sûrement une qui va rappliquer ». M: « Un vrai don Juan de Jérôme ! ». Il rigolait de ma réponse. Arrivé chez lui, il ouvrit la porte et je le suivis dans son appart. Il me fit visiter, puis me laissa m'installer sur son canapé pendant qu'il préparait les cafés. Il revint dans la salle avec les tasses et une tète de dépité. M: « Qu'est-ce que tu as ? T'as l'air au bout du rouleau mdr ». J: « Ouais j'ai envoyé 4 messages à des meufs, mais aucune ne me répond. Je vais vraiment finir bredouille ». M: « Ah c'est dommage pour toi ! Il ne te reste plus que ta main droite pour t'amuser ce soir », dis-je en avalant mon café avec une légère imagination de cette scène qui me fit sourire. J: « Pourquoi tu rigoles ? Ça te fait marrer que je me retrouve bredouille ? Tu vas être obligé de m'aider si ça continue comme ça ! ». M: « Euh, pardon ? Tu dois être trop bourré pour avoir des imaginations comme ça ! ». J: « Nan, nan ! J'ai toujours entendu que les gays étaient des bonnes salopes, et toi avec la façon dont tu me regardes tout le temps je vois bien que t'en es une ! ». Sa phrase me retournait. Je n'avais pas l'habitude d'entendre ça de la part de Jérôme ! Mais ça m'excitait encore plus, j'ai toujours rêvé de coucher avec ce mec. Le problème c'est que c'était le frère de ma meilleure amie. Si elle était au courant de la moindre chose elle péterait un plomb. M: « Arrête tes conneries Jérôme, c'est drôle 5 minutes, en plus tu es bourré. T'es en chien j'y peux rien, tout le monde peut pas être à ta disposition ! J: « Mais allez Matthieu, t'inquiète pas ma soeur ne sera au courant de rien du tout. Tu crois que j'ai envie qu'elle sache ça ? Nan franchement, j'ai bien envie d'essayer avec une petite salope comme toi. Ton cul me donne bien envie depuis tout à l'heure ! Je rougissais sans savoir quoi répondre, ses mots, ses insultes m'excitaient. Je commençais à bander quand je le vis se lever, dégrafer son pantalon et le baisser en même temps que son boxer. Lorsque que sa bite apparut devant moi, j'eus directement l'eau à la bouche. Un bon 16 cm à demi molle. J: « Allez viens me sucer. J'ai grave envie et je vois bien que toi aussi salope ! J'avançais vers lui et pris sa bite en bouche en lui lançant un regard qui en disait long. Je commençais à faire des va-et vient avec ma bouche, ce qui le fut vite bander. Au final je me retrouvai avec au moins 22 cm en bouche, un vrai régal ! J'alternais entre des gorges profondes et des sucions, qui le faisaient jouir de plaisir. J: « Tu vois, j'avais raison. Tu es une bonne salope, ta bouche est vraiment trop bonne ! Continue et désape-toi en même temps ». Je suivis ses ordres sans attendre, tellement excité. Je bandais à fond tout en continuant à le sucer à fond. Il s'installait assis sur son canapé et moi j'étais à quatre pattes sur le canapé, cul tendu. Il me mit une fessée en continuant à m'insulter. « Salope, grosse petasse, bonne suceuse, chienne ... ». Toutes les insultes y passaient, et j'aimais ça ! J: « Va dans ma chambre, à quatre pattes et cul tendu. Je vais chercher une capote et du lubrifiant, je vais t'exploser ton cul de chienne et t'en redemanderas! ». Je ne pus m'empêcher de lui lancer: M: « Mmmh j'ai hâte, je sens que je vais adorer ! ». J'allais m'installer comme il m'avait ordonné. Après quelques secondes, je l'entendais arriver vers moi. Il me mit une grosse claque sur le cul et me dit : J: « Allez salope, c'est l'heure de l'éclate. Rien qu'à voir ton petit cul tendu vers moi j'en meurs d'envie. En plus ton trou est déjà bien ouvert ! ». Je le sentais caresser mon corps de tout son long, en passant sur le côté. Je le voyais se déshabiller entièrement et déposer les capotes et le lubrifiant sur la table de nuit. Quand il se retourna vers moi, je pus admirer son corps. Ce mec est tellement sexy ! J: « Donne-moi ton cul sale petasse, je vais te le préparer histoire que tu ne hurles pas trop. Il commençait par cracher sur mon cul, déjà bien humide tellement j'étais excité ! Il m'introduit un premier doigt mais trouva rapidement qu'un seul ne suffit pas. Je gémissais tellement j'appréciais son intrusion, j'en redemandais sans lui dire mais il le comprit et fit des va-et-vient plus rapide avec ses doigts. L'envie était plus forte que moi, je dandinai mon cul. Tous ses actes m'excitaient encore plus et je me lâchais enfin comme il le voulait ! M: « Stp mets-moi ta grosse bite ! J'en veux plus, j'attends que ça depuis des années. J'ai tellement envie de te sentir m'exploser le cul ! J: « Ah ba tu vois petite salope ! Je le savais que tu en crevais d'envie. T'inquiète pas, je vais te démolir le cul tellement fort que tu ne pourras plus t'asseoir ! Mets-toi sur le dos et relève tes jambes pour que je te vois bien apprécier comment je vais te pilonner ! ». Je suivais toujours ses ordres, me mis sur le dos, relevai mes jambes et lui lançai : M: « Vas-y, viens me défoncer comme tu dis. Mon cul veut que ta bite le comble ! ». Il commença à s'avancer, positionna sa bite juste devant mon trou et enfonça une bonne partie d'un coup ! Je lâchai un bon gémissement tellement c'était bon. Il continua ses allers et retours petit à petit en continuant d'enfoncer sa bite. Au bout d'un moment je sentais ses couilles contre mon cul et sa bite dans le fond de mes entrailles. Quel bonheur !! J: « Mmmh je suis bien dans ton cul ! Tu es encore meilleur que les meufs ! Vas-y écarte-le bien sale chienne, le jeu va commencer ! ». Après ces mots, comme il le dit, le jeu commença. Il faisait de puissant va-et-vient dans mon cul, de plus en plus rapides et profonds. Je gémissais de plaisir tellement c'était bon. Il me mit ses mains sur la bouche pour pas que je fasse trop de bruit, et se mit à me démolir le cul en mode marteau-piqueur. C'était tellement bon, je lui faisais comprendre en le regardant fixement dans les yeux. Il me dit de me mettre à quatre pattes et comme une vraie salope qui en redemande, je suivis ses ordres. Il en profita pour me mettre une bonne claque sur le cul, qui me fit gémir comme une bonne chienne. Je trémoussais du cul pour lui faire comprendre que j'en voulais plus. Ce qui le fit réagir directement. J: « Oh que j'aime ce genre de salope qui se dandine le cul. Tu aurais dû me chauffer plus tôt, on aurait fait ça depuis des lustres ! ». Que je le chauffe plus tôt ?C'est même pas moi qui l'ai chauffé. Ses mots veulent dire qu'il veut remettre ça plus tard ? Je n'ai pas le temps de me poser les questions qu'il me refourre sa queue dans le fond de mon cul d'une seule traite. Il continua à me défoncer le cul, m'insultant de tous les noms, me claquant le cul. Je n'avais jamais pris un pied pareil, ce mec était vraiment le meilleur coup ! Je sentais ma semence monter, je lui dis pour le prévenir. Il accéléra une dernière fois qui me fit jouir, comme jamais auparavant, dans ses draps. Il finit par me faire coucher sur le dos, allongé dans mon sperme, en rapprochant sa grosse bite de mon visage. Il continua à se branler juste devant ma gueule avant de me dire: J: « Ouvre la bouche sale petasse, après t'avoir défoncé le cul je vais te remplir la bouche comme les salopes de ton genre. Je suis sûr que tu adores ça ! ». N'ayant jamais avalé de sperme, je lui obéis et me dis que j'aurai essayé quelque chose de nouveau. Peut-être que j'aimerais ça ! Il se branla donc sur mon visage en gémissant avec sa voix rauque. Il me lâcha une énorme quantité de sperme sur et dans la bouche. J'avalais le plus que je pouvais, et le pire c'est que j'aimais ça !Je me léchais les lèvres, ce qui lui donna l'idée de me faire nettoyer sa grosse bite. Une fois toute propre il fini par me dire: J: « C'est bon sale petasse, elle est toute propre. Je te laisse te rhabiller et te casser, tu sais où est la porte. Surtout ne raconte rien à personne, sinon je serai obligé de te défoncer la gueule. Et puis si tu ne dis rien, on recommencera ça quand j'en aurai envie. Tu es mon bon vide couilles à moi maintenant ! ». Sur cette fin il me donna une claque sur le cul et me laissa partir de chez lui. Je n'en revenais pas de la soirée qui s'était passée ! C'était le meilleur coup de ma vie et en plus il voulait me revoir. La soirée parfaite ! Si vous voulez savoir la suite de nos ébats 100 % réels, mes autres plans ou même me donner quelques conseils sur l'écriture de mes récits, n'hésitez pas. A+ les gars ;)