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Vide couilles a rebeux
Published on 14/01/2019
Il est 1h-1h30 du mat, j'rentre chez moi après une soirée chez des amis. J'suis en manque et en chaleur, pas envie de rêver, faut que je suce du rebeu ... Sur les applis y'a pas grand chose et mes plans réguliers doivent certainement rêver ou être avec leur femme, bordel faut que je suce du rebeu ... A 5 mn de chez moi, l'épicerie est encore ouverte, j'me dis pourquoi pas tenter quelque chose ... Ça fait plusieurs mois que j'y vais régulièrement et les mecs qui y taffent sont plutôt cools. On ne sait jamais. J'enfile un jock, un survêt et bim, gel, capotes et poppers dans le sac à dos, et décollage. Ils sont 3 à taffer là-bas, y'a 2 Algériens et 1 Marocain, ça tourne tous les jours, qui sera là à taffer ? J'arrive a l'épicerie, ils sont tous les 3 là, à la caisse le jeune Marocain, la vingtaine, bogosse, en survêt avec souvent un sourire au coin quand j'le dragouille à chaque fois que j'le vois, et dans l'arrière-boutique les 2 Algériens, 1 daron genre blédard et un trentenaire, grand carré barbu, tout c'que j'kiffe ... Seulement lui, j'pense qu'il se laissera jamais approcher. J'vais prendre une connerie à avaler et à grignoter, passe à la caisse, à ce moment-là, le daron s'en va. J'suis seul avec les 2 plus jeunes. On est en semaine, bientôt 2h, ils me disent qu'ils allaient fermer, que j'ai d'la chance. Effectivement j'ai de la chance. J'reste à discuter 2 mn et l'Algérien m'demande si j'fume. « Ouais j'fume ». « Non mais j'te parle de moi ». « Ouais je fume, d'ailleurs j'ai de quoi fumer sur moi mais j'déteste fumer seul ». Les mecs me proposent de baisser le rideau métallique et de rester avec eux pour 1 p'tit joint ou 2. Avec plaisir les mecs. L'épicerie fermée, ça commence à rouler lorsque l'Algérien me dit : « mon pote m'a dit que tu le dragues des fois ? ». « Ouais il est où le problème ? ». Il me répond « Y'en a pas, c'est cool ». J'relève pas mais sa phrase me titille. « Y'aurait possibilité de s'amuser ensemble peut-être ? ». Ça fume, ça discute de tout et de rien. Et j'me mets à mater leur survêt. Ça a l'air plutôt intéressant là-dessous. Ils se parlent en arabe. J'comprends pas et j'leur demande de m'traduire. À ce moment l'Algérien m'attrape par la nuque. J'avais raison on va s'amuser ensemble. Lui il va me mettre la misère j'en suis sûr. Derrière le comptoir le Marocain me demande à son tour pourquoi j'le drague à chaque fois. « Parce que j'kiffe les rebeus ». « Tu kiffes les rebeus ? » me dit l'Algérien. « T'en as 2 là, tu vas faire quoi ? ». J'ai tellement de réponses possibles que j'sais pas par laquelle commencer. J'dis rien. Et là, grosse gifle de l'Algérien. Je gémis. « Ha ouais, ça gémit salope ?! Tu mates nos survêts ? Tu cherches du zboub toi. Au sol bâtard ! ». J'obéis, je suis au sol, l'Algérien se pose juste au-dessus de moi, bedo aux lèvres. Le Marocain calme jusque-là, se lève et vient me taper le cul avec ses skets pendant que je lèche et sniffe celles de l'Algérien. À chaque fois que je lève la tête pour les admirer, j'me prends un mollard ou une gifle. Quelques minutes après on me baisse le jogging, mon cul bombé mais à l'air, vive le jock. « C'est un truc de chienne ça ? » me dit le Marocain. « On va te traiter comme une chienne » enchaîne l'autre. Et là, 2 grosses queues d'arabes se présentent a moi. « Prends les 2 sale petasse, montre-nous comme t'es une bonne chienne à rebeus ... ». Je passe d'une queue à l'autre, je bave bien dessus, j'avale fond d'gorge, je lèche les couilles, ils m'insultent en arabe, j'en veux plus, j'veux me faire dresser, je sors de mon sac le gel la capote et le poppers. L'Algérien m'ordonne de me gazer direct, le gel il n'en veut pas, il veut me défoncer à sec, avec l'effet du poppers et de ces 2 rebeus en rut devant moi, j'suis tout ouvert, à leur disposition. L'Algérien se place derrière moi, me claque le cul pendant que je pompe le Marocain, petit gabarit mais bordel sa queue est hyper imposante, je me régale, l'Algérien continue de me claquer et doigter la chatte, j'ai envie de m'faire baiser les mecs. « Défoncez-moi la chatte ». Capote enfilée, l'Algérien enfonce son gros zeub direct, pas de sentiments, il l'a bien compris, que de la baise sauvage. Pendant une dizaine de minutes, j'me fais pilonner le cul et baiser la bouche, c'est le pied. Ils échangent leur place. L'Algérien se baisse à mon niveau et me fait sniffer à nouveau du poppers en me fixant droit dans les yeux, en me parlant en arabe, j'suis leur kahba et j'aime ça ... J'ai besoin de ça. Pilonnage intensif et douloureux de la part du Marocain, gorge profonde sur le zeub algérien. Mais bordel, qu'est-c'que c'est bon d'être traité de la sorte. Encore quelques minutes à me soumettre à leurs désirs, j'suis là pour leur vider les couilles et c'est c'qui arrive, au sol à genoux, les 2 rabzouz face à moi en train de se palucher le visage contre leurs pieds, ils me plaquent le visage au sol avec. Je me doigte et me branle. « J'veux votre jus les mecs. J'veux pas en perdre une goutte ». L'Algérien m'attrape par les cheveux et j'ouvre la bouche comme la bonne petasse soumise que je suis, accompagnés de râles virils, plusieurs jets de sperme atterrissent dans ma bouche, sur mon visage. Je nettoie leur queue. L'Algérien m'attrape à nouveau par la nuque et m'oblige à lécher le sperme tombé au sol, j'obéis, me rhabille et repars discrètement de l'épicerie avec la fierté d'avoir été un bon vide couilles à rebeus.