Histoires de sexe

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L’homme d’entretien
Histoire gay publiée le 08/07/2022
Je m’appelle Paul, j’ai 30 ans, blond, les yeux bleu, 1m70, 75kg, passif et assez kinky. J’ai déjà écrit quelques histoires passées ici. Cette histoire est récente. Je travaille dans un centre de santé, et je m’occupe de la fermeture après le passage des équipes de nettoyage. À plusieurs reprise, j’ai eu la visite du responsable des équipes de nettoyage pour faire le point. Ce mec, Nabil (prénom changé) m’a toujours impressionné. Très grand, ultra mince, un regard sévère, j’ai toujours été intimidé en sa présence, surtout que je trouve ses regard trop appuyés malgré ses mots toujours sympathiques. Ce jour là, l’équipe de ménage vient de partir et je suis en train de faire le tour des bureaux pour tout fermer avant d’aller me changer et de partir. D’un coup, alors que j’allais fermer un des derniers box de consultation, je vois ce grand mec dans le couloir se diriger vers moi les mains dans les poches. Il s’approche et me lance : - « Salut ! Tout s’est bien passé ? Les équipes sont déjà passée ? » - « Oui, sans soucis, comme d’habitude. Je finis mon tour et la journée sera finie. » Il se colle contre le mur prêt de moi et me dit : - « Il va y avoir des vacances bientôt. Les équipes vont un peu tourner, je passerai un peu plus souvent. » - « Ha ? Ok. On vous fais confiance de toute façon. Il y a jamais eu de problèmes. Et ici on est pas du genre relou. » La il se rapproche encore plus de moi, les mains toujours étrangement des les poches et me demande : - « Il y a vraiment plus personne ? » Un peu étonné je lui réponds : - « Ben oui, il n’y a plus que moi. Pourquoi ?! » D’un coup il se colle contre moi. Il me dépasse de bien plus d’une tête. Je sens son corps sur moi et surtout une barre énorme qui frotte contre moi. - « Parce que j’ai reconnu ta tête sur les vidéos d’un pote. Et que tu vas y passer si tu veux pas que ça circule sur ton lieu de travail. Depuis le temps que je vois ton cul se dandiner dans les couloirs, tu imagines pas à quel point j’ai envie de te faire du sale. » Tétanisé par son propos, je n’ose rien dire, rien faire, à part lever les yeux vers lui en essayant de comprendre. D’un coup il me crache sur le visage et ouvre ma blouse d’un coup en tirant sur les boutons. Il se met à me malaxer le torse, à tirer sur mes tétons en me faisant gémir, puis crache à nouveau sur mon visage, couvrant de nouveau mes yeux et mes lèvres. - « Tu n’essaies même pas de résister. Tu es vraiment la petasse que j’imaginais. Rentre qu’on passe aux choses sérieuses. » Il ouvre la porte du box que je n’ai pas eu le temps de fermer et me traîne dedans, à moitié déshabillé, couverts de crachats, et muet de stupeur. - « Pas le temps de profiter aujourd’hui, mais tu vas quand même avoir le temps de remplir ton rôle de vide couille. Mais t’inquiètes pas, c’est que le début de ta nouvelle vie de petasse ici. » Il me tire par les cheveux et me colle le torse sur le bureau de consultation. Il défait sa ceinture et commence à m’attacher les mains dans le dos. J’essaie de me débattre mais sa main colle mon crâne contre le bureau et il souffle d’un air méchant : - « Si tu veux que ça se passe bien, tu te calmes. Mais si tu t’agites, ça va très mal se passer pour toi, et tu vas le regretter amèrement. Alors bouge plus. » Terrifié par la menace, j’arrête de bouger mais je te te quand même de négocier : - « S’il-te-plait, j’ai rien fait, je comprends pas. Laisse moi partir et promis, je dirais rien. » Il finit de serrer fermement sa ceinture sur mes poignets, se pavé derrière moi, et d’un geste baisse mon pantalon et mon caleçon. Il réponds en souriant et en pointant son téléphone sur moi en filmant : - « Bien sûr que tu vas repartir. Et que tu ne diras rien. Parce que sinon tout le monde verra ça. » Il s’approche alors, le potable toujours dans une main et la bite dans l’autre. Il crache plusieurs fois sur sa queue et sur mon trou puis approche son gland énorme de mon cul. Sa bite me paraît énorme. J’ai l’impression de n’avoir jamais encaissé aussi gros, et surtout sans préparation ni envie. Je sens son gland commencer à pousser en moi et tenter de inviter mes sphincters. Je commence alors a m’agiter et à hurler : - « NON ! Arrêtes ! Pas comme ça ! C’est trop gros !! Et puis … » Je n’ai pas le temps de finir qu’il me coupe la parole avec un gros coup de rein qui enfonce sa queue plus profondément en moi. - « Tu crois quoi ? J’ai vu de quoi tu étais capable sur les vidéos. Tu es une chienne qui est là pour encaisser et se faire remplir. Tu en redemandais. Là tu vas être servie. » Il me redonne un coup de rein qui enfonce toujours plus loin sa queue en moi. Je me sens rempli, et je le sens bouger bizarrement le bassin. J’entends une chaussure tomber, un son de chaussette qu’on enlève, puis d’un coup il me bâillonne avec sa chaussette. Le goût de son pieds rempli ma bouche et je ne peux plus crier ni parler. - « Voilà, c’est mieux comme ca. Maintenant laisse moi finir, j’ai pas beaucoup de temps. » Il se mets alors en mouvement. Sa queue coulisse de plus en plus profondément et surtout de plus en plus facilement en moi. Je sens mon cul se détendre au fur et à mesure que je m’adapte à son calibre. Je suis toujours le torse collé au bureau, les mains attachés dans le dos, cambré comme une chienne, et en train de me faire enculer sauvagement sur mon lieu de travail. Mon cerveau semble s’être mis en Pause, mais les sensations de mon corps, et surtout de mon cul sont intenses. Ses coups de reins sont de plus en plus brutaux. J’entends sa peau qui claque contre mes fesses, mon trou mouillé comme jamais face à un tel supplice facilite sa baise bourrine. - « Putain. T’es vraiment une chienne. T’encaisse directe. J’ai bien fait d’insister pour voir la vidéo quand j’ai cru te reconnaître. Et surtout pour avoir les détails. Si j’avais su que j’avais ça sous la main depuis toutes ces années, je t’aurais démonté bien plus tot. Tiens ! Tiens ! Prends ma queue ! Tu la sens bien, hein ?! Putain sale chienne ! » Je ne sais combien de temps cela dure, mais j’ai l’impression que ce limage sauvage a duré au moins 20 minutes, entrecoupé d’insultes, de crachats, de mes cheveux tirés en arrière pour me cambrer. Au bout d’un moment, je sens son rythme s’accélérer encore et ses coups devenirs plus forts et plus désordonnés : - « Haaa ! Haaaa ! Sale chienne ! Je vais te remplir ! Putain ! Je vais t’engrosser ! Haaaaaa ouiiiiii ! Putainnn ! » Je sens sa queue se tendre et gicler en moi. Je ne sais combien de foutre il lâche mais j’ai l’impression que ça ne s’arrête jamais. Je me sens rempli. Et toujours incapable de bouger et de parler. Il s’affale sur moi, la queue toujours profondément logée dans mon cul. - « Putain. Rachid (prénom changé) avait pas menti. Ton cul c’est du velours. Il est fait pour être démonté et rempli à la chaîne. Avoue, t’a kiffé. » Submergé par le plaisir qui avait envahi mon cul, je remue la tête pour acquiescer. - « C’est bien la petasse. Tu sais qu’elle est ta place. Et puis on m’a montré tout ce que tu étais capable d’encaisser, tu vois ce que je veux dire ? » Interpellé, je remue la tête négativement, puis d’un coup je me rappelle que ce Rachid m’avait filmé me faisant baiser à la chaîne, puis avait finit en me remplissant le cul de sa pisse tout en me filmant. Je tente de crier NON, mais je sens les mains de Nabil appuyer sur mon dos, son corps se redresser, puis les premiers jets de pisse chaude commencent à me remplir. Je sens mon ventre se gonfler à mesure qu’il se vide et qu’il soupire de soulagement. - « Chuuuuut. Tout doux ma belle. Tu vas bientôt rentrer. Je finis de me vider. Calmos.» Je sens sa bite ramollir, et les derniers jets fuser en moi. Je panique à l’idée que tout sorte quand il va retirer sa queue. - « Serre bien les fesses, je vais sortir. Prépare toi à courir si tu veux pas de loper tout le service. » Je sens la ceinture se dénouer autour de mes poignets en même temps que sa queue se retire. Je crache la chaussette de ma bouche, je serre les fesses, je remonte maladroitement mon boxer et mon pantalon, et je courre vers les chiottes les plus proches. À peine assis, je sens la quantité de pisse et de foutre s’évacuer de mon trou béant. Je prends quelques secondes pour retrouver mes esprits et m’essuyer comme je peux. Je me rhabille et me dirige vers le bureau où je viens de prendre un pieds d’enfer avec la queue de l’homme d’entretien. Je le vois sortir, rhabillé, souriant. Il vient vers moi et me dit. - « Alors, j’avais pas raison ? Tu étais pas à ta place là, avec une queue dans la chatte ? » - « Si, mais c’était vraiment inattendu. J’ai rien vu venir. Mais j’ai kiffé autant que j’ai paniqué au début. » - « T’inquiète pas, ma p’tite vidéo va pas tourner tant que tu es sage et obéissant ? » - « Comment ça ? Tu as tout filmé ? Efface stp ! » - « Pas tout de suite. J’ai besoin de tes services avant d’effacer et de te laisser tranquille. » - « C’est-à-dire ? » - « Tu verras bien petite chienne. Mais sache que tu as toutes les compétences requises pour les satisfaire… » Il me laisse alors et repart sans un regard pour moi. Je finis de fermer puis je rentre chez moi, me doucher en tenter de tirer au clair cette fin de journée. D’un coup je reçois un message d’un numéro inconnu. Une vidéo de 45 secondes où l’on me voit me faire prendre sur le bureau, et où je suis clairement identifiable et en train de prendre mon pieds, accompagné d’un message : "Samedi, soit prêt à 12h. Jogging sans rien dessous. On vient te chercher. Promis tu seras rentré dimanche midi." Je me suis couché l’esprit plein de questions. (A suivre…)