Histoires de sexe

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Grosse bite bite musclée
Histoire gay publiée le 10/04/2017
Un musclé peut cacher un autre muscle, Je suis invité ce soir à me rendre à une soirée ou je dois trouvé tous le mondain français gays de ma ville. Pour cet événement, j'ai choisi un style class et décontracter, une paire de chaussure en cuire marron foncé, un magnifique jean bleu qui dévoile les formes les plus intéressantes de mes membres inférieures, une marinière à manche courte et une veste de costumes cintré bleu nuit ajuster d'une ceinture marron claire. Parfumé aux jasmins et à l'huile de banane pour la barbe, je me dirige doucement mais surement à la première soirée de printemps de l'année. Lorsque j'arrives, la terrasse est bondée de monde, différentes personnes ont pris possession de l'espace, certaines prennent l'air, certaines discutent autour de leurs verres et d'autre fument, tous ça dans un cohue et dans des ricanements mêlé de fumée de cigarette et de cigare. Je prends mon courage à deux mains et traverse toute la terrasse sans baisser les yeux, le torse bombé, les fesse bombé naturellement, et la marche d'un pas décisif je franchit pas à pas on prenant soins de ne pas bousculer les invités, je m'arrête pour dire "bonsoir" et faire la bise à mes quelques amis, j'arrive au bar tant bien que mal et me prend un verre de rosé avec un glaçon. Mon verre à la main je ressors tellement la chaleur est éssoufflante bien qu'il est plusieurs ventilateurs dans la pièces qui nous envoyaient en même temps quelque goutte d'eau fraîche. Je rencontre des amis attabler autour d'une table et me font signe de venir les rejoindre, je m'installe après avoir fait le tour pour leur fair la bise et dire bonjour. Tous mes amis comme à leur habitude ne manque pas d'éloges pour l'instant d'après me faire ma fête, ce soir c'était vraiment mon soir. Mais l'amitié est tellement belle lorsqu'elle est réciproque. Trois hommes se tenaient à l'égard du monde, et s'étaient installaient à côté de nous, debout sans une table, nous les invitant à prendre place auprès de nous. On parlant de tous et de rien, j'attire l'attention d'un des trois, qui était le plus beau d'entre eux, un homme âgé bien conservé qui avait le look de Gorges Clooney les cheveux poivre et sel dégradé sur les coté et sur le haut un style coiffé décoiffé, des yeux bleus, des lèvres pulpeuse et un magnifique nez qui mettait tous son visage en valeur et en harmonie avec tous le reste, il portait une chemise blanche dont il avait laissé déboutonné jusqu'au troisième bouton avec un jean bleu qui laissait deviner dans tous son ensemble un corps d'athlète musclé à souhait et une peau déjà bronzé et imberbe. Pendant que les autres parlaient entre eux, nous nous étions isolé du reste du groupe, et on n'en pouvaient plus. Nous avons quitté la soirée pour aller manger un bout dans un restaurant, puis nous sommes sorti faire la fête en boîte, vers 03H00 du mat, j'ai demandé à Jean-Marc si ça ne le dérangé pas que je reve chez lui car j'étais trop déchiré pour rentrer jusqu'à chez moi. Nous sommes rentré chez lui et avons dormis. Le lendemain, matin, j'ai payé chers ma nuit, non seulement il était musclé à souhait mais son entrejambes également, je ne sais pas quel était sa mensuration car je me le suis pris directement dans l'anus au réveille. Et dans ses vas et viens il me dit "putain je t'avais vu dès que tu étais arrivé et quand je t'ai vu je voulais de prendre dans mes bras". Puis il gémit et me pilonne avec beaucoup de douceur et tendresse parce que son membre était énorme, heureusement pour moi j'étais lubrifié de l'intérieure mais cela ne m'a pas empêché d'hurler comme une petite petasse, il l'a pris son pied à me voir souffrir lorsqu'il était en train de m'ouvrir la chatte, il me disait "hmmmmmm, j'avais envi de faire l'amour tout de suite quand tu m'as parlé pour la première fois". Sa queue a une belle courbe droite qui pointe vers le haut, sa pénétration m'est très douloureuse car sa courbe me demande de me cambrer également mais cela lui est complètement égale, il continue et me déchirer les parois de mon anus. Son pénis a maintenant pris possession du lieux dans toute son intégralité, il me pénètre encore et me déchire les parois ( je suis quelqu'un de très serrer) sa queue sur-dimensionné m'éclate l'anus d'une puissance, que j'éssouffle mes cris de douleur dans l'oreiller, pour la première fois de ma vie, je mors vraiment l'oreiller. Dans son emballement, il me puissance à encore plus écarter les cuisses à quatre pattes et viens m'embrasser de sortes que je puisse lui présenter un orifice des plus ouvert au maximum, car il n'avait pas tous rentrer, lorsqu'il entreprit de me l'enfourner profondément on s'agrippant de part et d'autre de mes hanches, je ne pu pousser de cris car il m'embrasse goulument pour qu'aucun son ne puisse sortir de ma bouche. Tout on m'agrippant et on me chevaucha, il me dit : " Oh! se cul", un homme musclé avec un membré musclé qui me prenait ma virginité pour la deuxième fois, j'avais l'impression à des moments qu'il allait arracher mon anus tellement sa pine était longue et épaisse. Il m'a pilonné pendant au moins 30 minute, ce fut la baisse la plus interminable et la plus éprouvante pour moi. Je criai et hurlai de douleur dans les draps et les oreillers et ça la tellement excité qu'il a finit par me féconder. Quand il s'est allongé à mes cotés, et que j'ai vu son membre, j'ai compris pourquoi il me l'avait mis direct dans l'anus, car si je l'avais vu avant je lui aurai dit "non" direct. J'ai jamais vu ça pourtant j'en ai vu mais alors celui là c'était une bête de course. Il voulait qu'on le refasse encore mais je lui dit "non" car j'avais un rendez-vous super important avec ma cousine que je n'avais pas vu depuis 3 ans. Elle est descendu exprès pour me voir ce weekend, alors je ne pouvais pas faire autrement n'en plus. Jean-Marc, ne m'a même pas laissé le temps de au moins de me laver, il m'a écarté les cuisses sur le coté et il m'a enculé encore une deuxième fois sans ménagement cette fois, avec animalité et rudesse tous ça mêlé de sueur, de souffle et de gémissement. Tout en me déchirant l'anus, il me branla, j'avais vraiment été encore déchiré du fion, il me défonça l'anus sans me demander si ça me plaisait, j'étais sa petite petasse entre ses mains, et il tourna et me coucha sur le ventre, et au fur et à mesure qu'il m'enfonça son énorme pieux dans ma fente remplit de son sperme, il m'écarta toujours encore plus au gré de ses coups de bassin. Il me fait des éloges "Oh! se cul, il est trop bon ton petit cul bien serré, je kiffe ton petit cul, hmmmmmm, oh ouiiiiiiiii", Il me démonta l'orifice, je cris et pleure dans l'oreiller car il me déchire vraiment et il ne le voit ni n'entend ce que j'endure par amour pour lui et me dit " je voulais tellement te faire l'amour et te prendre dans mes bras, que lorsque que tu m'as dit si tu je pouvais rêver chez moi, je n'ai pas pu te dire non", et il m'enfourche sa fourche toujours plus profondément dans mes entrailles, et au même moment ou il m'empoigne la verge et qu'il m'encule, je jouis fort et en abondance pendant qu'il me démonte la rondelle durant 5 minutes encore et me féconde. Puis après une bonne douche et un bon café une globe et un verre de jus de pomme, il m'embrasse et me laisse partir à la rencontre de ma cousine. C'était Billy pour citébeur, une histoire pour un maximum de relation.