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Les coups de Nassim
Histoire gay publiée le 10/12/2018
Nos regards se sont croisés quand je suis monté dans le bus. Je me suis assis à côté de lui, échanges de sourires et puis mains qui passent sur les jambes. Quand il est descendu, je suis descendu aussi. Il m'a invité à le suivre. On est arrivé dans son appart, au cinquième étage d'une cité quelconque. À peine la porte a-t-elle été fermée qu'il se retournait pour me plaquer à la porte, et on s'est embrassés avec fougue. Vite, son T-shirt a valsé : beaux pectoraux bien durs et bien massifs surmontant un six-pack des plus enviables. Je ne suis pas aussi bien bâti, mais tout de même assez dessiné : fruit de mes séances de natation hebdomadaires. J'ai commencé à lécher son corps pour descendre vers sa bite, j'ai baissé son short et mordillé sa queue à travers son caleçon et il m'a interrompu pour m'emmener sur le lit. À son tour, il a fini de me désaper et a foutu ma queue bien dure dans sa gueule pour m'octroyer une pipe magistrale. Je gémissais bien. Et d'un coup, en plus de me sucer, il m'a mis un doigt, par surprise. J'ai tellement kiffé que j'ai craché direct comme un puceau. Pas du tout rassasié, Nassim a enfilé une capote, étalé mon jus sur sa queue et m'a enculé direct. J'avais déjà capté que j'allais prendre cher, mais elle m'a parue énorme. J'ai couiné : « Ta gueule », m'a-t-il dit, « t'avais qu’à pas juter sans prévenir, maintenant encaisse ». Et j'ai encaissé. Il a commencé assez doucement, mais mon cul s'est vite ouvert et sa bite m'a labouré avec puissance. Il m'a limé comme ça pendant un certain temps, j'ai gémi sous ses coups de butoir. Il a sorti son portable et filmé pendant une minute, « je garde un souvenir de ton cul de chienne » qu'il m'a dit. Il a continué à donf, j'en pouvais juste plus, jusqu’à se retirer, virer la capote et venir me baiser la gueule pour finir en fond de gorge. J'ai tout avalé.