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Le Prince du désert
Histoire gay publiée le 05/02/2019
Je vous ai déjà parlé de Slimane, le rebeu algérien aux yeux d’émeraude. Je vous ai raconté à quel point j’étais accro à ce boxeur de rue et comment notre relation a évolué de bons amis de la téci à plan sexe chaud bouillant. Je dois dire que les choses ont pris un tournant que je n’espérais même pas tant je pensais ça impossible. Depuis qu’on baise ensemble régulièrement, mon pote sourit plus, il est moins agressif et j’ai la sensation qu’il prend plus le temps de réfléchir. Ses plans d’action sont plus précis. J’avoue que des fois ça me fait un peu peur de le voir pensif, comme s’il allait se rendre compte que notre deal silencieux n’est qu’une passade. J’ai beau jouer le macho devant les autres, j’suis rien sans Slimane. J’ai souvent peur que ce qu’on a ne durera qu’un temps, avant qu’il ne se remette sur le marché de la schneck et courir la gueuse. Quand j’imagine ça, je deviens putain de ouf dans ma tête. C’est moi sa chatte, personne d’autre. Mais ça n’dépend pas de ce que je veux. C’est Sli qui a le pouvoir et s’il veut aller voir ailleurs, j’ai juste à fermer ma gueule. Il sait que pour moi, il n’y a que lui. Il n’y a pas un autre keum qui me la mettra, jamais. C’est son corps basané qui me fait bander, c’est son odeur épicée qui me met dans tous mes états, c’est son chibre circoncis, ses grosses burnes velues et les poils de son torse qui hantent mes fantasmes. Lui, seulement lui. Quand il y a toute la clique, nous sommes comme avant, rien ne change. Mais quand on est que tous les deux, on passe la moitié de notre temps à oilp, l’un sur l’autre. Quand il me prend si fort qu’il rugit comme un lion, je sais qu’il n’a jamais eu ça avec quelqu’un d’autre. Quand il est soulagé et qu’il me sert contre sa peau chaude, j’ai l’impression d’être spécial et je jouis mentalement. Et puis, à puissance d’être intime avec lui, il s’est mis à me parler davantage. C’est comme s’il me laissait le droit de voir ce qu’il y a de docile en lui. J’aime qu’il n’ait honte de rien quand il n’y a que nous. Avec les lascars il se montre toujours fort et directif, mais il n’est pas que ça. Slimane est plus complexe que son allure le laisse voir. Il n’est pas qu’un tas de muscles et un chef de bande. Il n’est pas qu’une grosse queue dans un caleçon. Il m’a même fait entendre certains slams qu’il compose. Putain, il a de la poésie dans l’âme ce type, il a tellement de facettes insoupçonnées. En fait, le jour où tout a changé, Boris a cru qu’il pouvait affaiblir Slimane en montrant à tous que je n’étais pas un vrai bras droit. Quel con. D’après ses dires, j’étais une lopette qui se cachait derrière la puissance du chef, sauf que Sli n'est pas du genre à s’entourer de faibles. J’ai été obligé de donner une leçon au minable, lui foutre une putain de trempe devant les gars. Il n’y a qu’une paire de couille que je lécherai dans ma vie et c’est pas celle de Boris. Je suis la chienne d’un seul calot, pour les autres, je suis juste un danger qu’ils feraient mieux d’éviter. Sli dit que je suis comme le serpent qui frappe au moment où on s’y attend le moins (j’ai un serpent en forme d’infini tatoué sur le cœur). Boris a fini à mes genoux. Les yeux au cocard, la bouche et le nez en sperme. C’était presque trop facile d’appliquer tous les conseils de combat de mon rebeu. C’est vrai que Slimane me baise dès qu’il a besoin de se décharger et que je suis une vraie lopsa quand il le veut, mais je suis aussi son meilleur pote d’enfance. Il s’entraîne avec moi depuis toujours et c’est parce que j’arrive à le contrer qu’il me fait confiance. Je n’suis pas aussi fort que lui, je n’en ai même pas envie. Mais tous ceux qui restent suffisamment longtemps dans le groupe savent qu’il ne faut pas me sous-estimer parce que je suis fidèle à mon chef. C’est justement ce qui me rend dangereux. Enfin, tout est parti en vrille le soir même sur un pari débile. À ce moment et pour nous, Boris est loin de nos pensées, même si ma tempe est encore rouge d’une esquive que j’ai loupée. En pleine nuit, Slimane et moi fumons des oinjs en calbar sur son canapé, et on se mate une série policière à la noix. Là, il se retourne vers moi et il me dit : « c’est lui le coupable », en désignant le personnage qui se défend devant les flics. Je ris en me foutant de sa gueule et je réponds : « n’importe nawaque. Lui c’est le type que tout le monde croit coupable, mais la vraie crevure de l’histoire, c’est le gérant de la boîte de nuit ». Pour Slimane, je joue au plus malin et il veut parier. Je souris en lui volant son pète pour tirer dessus et j’acquiesce : « d’accord, mais il faut un enjeu ». Je recrache la fumée et mon rebeu préféré me reprend le bédo des doigts. Il réfléchit et ses lèvres se sont étirées jusqu’à lui donner cet air canaille qui me fait toujours craquer. Beau gosse de , on a envie qu’il ait raison juste parce qu’il a un putain de visage d’ange quand il sourit. « Si t’as vu juste, Bambi, c’est toi qui dirigeras notre partie de jambe en l’air après. Si c’est moi qui ai raison, je te mets mon poing dans le uc ». À ces mots, je me mets à bander comme un malade, peut-être même que ma chatte suinte déjà d’anticipation. Pourquoi j’ai envie de ça ? « Dieu des fumeurs de liberté, faites que je perde ». Je me retrouve à prier silencieusement, devant le regard badass de mon comparse. Quel salaud, il me fait tourner dans la paume de sa main. J’ai beau être un combattant comme lui, quand on est que tous les deux, je suis sa chose. Je ne débande pas en attendant le dénouement de cet épisode. Je me tortille seulement comme une salope en chaleur et un sentiment étrange vibre en moi quand il s’avère que j’ai gagné. Slimane se lève et éteint son ordi. Il me regarde, se débarrasse fissa de son sous-vêtement et ses sourcils froncés montrent sa contrarié. Pourtant, il y a cette pointe d’amusement dans son regard perçant. « T’as gagné », dit-il, bon joueur. De mon côté, je suis désemparé. Je ne sais pas quoi faire, c’est toujours Sli qui dicte les conditions de nos baises enflammées. C’est ce que j’adore en fait, me mettre au service de ses besoins, quand il le veut. Et puis, alors que mon rebeu reste silencieux et attend, sérieux comme un soldat au garde à vous, je comprends. Il a fait exprès de perdre. Il souhaite que je lui dise ce que je veux aussi, que je lui montre. Slimane se bat encore contre le silence de mes souhaits, il me réclame sans rien me dire que je lui montre mes désirs. « Je n’te donnerai pas mon trou ce soir, Bambi, je n’suis pas prêt pour ça, mais tu peux avoir tout le reste » dit-il, comme s’il cherchait à me sortir de mon silence. Mon cœur part en deuspi. Je ne sais pas quoi quémander, mes idées partent dans tous les sens. Et je finis par dire ce qui me passa par la tête : « si c’est moi qui choisis, on ne baisera pas ». Slimane me fusille du regard et la rudesse de sa frustration me fait immédiatement déglutir. « J’veux que tu m’fasses l’amour, c’est ça que j’veux. Cette nuit, t’es mon prince du désert. Tu vas célébrer mon corps comme si j’étais ton promis et pas seulement une lopsa quelconque ». À mes mots, le perdant de notre pari relève la tête et son visage se repeint d’enfance avant de se verrouiller dans le sérieux. Je tremble sur place. Puis son attitude change et il acquiesce avec toute la classe orientale qui l’anime. Magnifique dans sa nudité, il vient vers moi d’un pas assuré, son regard profond. Je suis incapable de quoi que ce soit tant son charisme m’tise. Bordel Slimane, t’es magnétique, entêtant, tellement puissant. « Nardin, j’ai cru que t’allais jamais l’demander » soupire mon cadeau humain derrière mon oreille, alors qu’il se colle à moi pour presser son énorme sexe contre le mien, encore protégé. Il m’enlace avec virilité et douceur à la fois, il me presse contre son poitrail bombé. Je me laisse supporter par ses bras possessifs. Je me soutiens à ses hanches, baise son cou, suçote sa peau timidement, mordillant et léchant ensuite. Slimane inspire et j’entends la puissance de son cœur résonner dans ma propre carcasse. Il nous sépare alors et agrippe ma main pour m’entraîner à sa suite. Docile, je le suis. Une fois dans sa chambre, il ferme la porte, allume la lampe de chevet et revient vers moi. Je ne l’ai pas quitté des yeux, contemplant chacun de ses gestes, l’allure féline de ses mouvements contrôlés. Putain de roi prédateur, comme j’aime être la proie de tes désirs. Il prend rudement mon visage dans ses mains de combattant pourtant si douces sur mes joues, et rapproche sa bouche. Il plaque ensuite ses lèvres contre les miennes, durement, et son baiser se fait tendre dans la foulée. Nos langues ne tardent pas à se chercher, se rencontrer, se caresser. Slimane embrasse comme un dieu. Il est autant directif qu’attentionné et ses mains dans mon dos m’obligent à me coller à lui. Je m’accroche à ses épaules comme s’il venait de me réanimer après une noyade. « T’es pas une lopsa. T’es à moi, et j’adore quand tu fous des raclés aux cons qui croient que t’es faible parce que j’te défends ». Il dit ses mots qui m’excitent à donf et me retire mon maillot. Je ne sais plus parler, je me laisse juste faire. Ça vient seulement de commencer et je suis déjà sur le point de juter dans mon calbar. Slimane se met à genoux devant moi et fait glisser mon survêt et mon boxer dans un même mouvement. Il se saisit de ma queue raide et panachée. Ses yeux me foudroient de provocation avant qu’il lèche ma mouille et ne gobe mon gland. Il commence à avaler mon zgeg et je soupire d’aise. Le chef de meute me suce, l’alpha lèche mes couilles. C’est comme une putain d’offrande, comme si j’étais soudainement béni par les puissances de l’univers. Je grogne doucement, je pars total en vrille tellement cette sensation me fait décoller. Slimane est à moi, c’est mon mâle, le mien. Il s’arrête et me regarde de nouveau alors que je vibre sur place. Il me faut quelques secondes pour comprendre qu’il veut dire quelque chose : « t’as intérêt à me donner ta chatte comme il faut ». C’est un ordre qu’il me lance sans ciller et je me retrouve à le taquiner. « T’as intérêt à honorer le pari, on n’parle pas comme ça à son promis ». Ma voix tremblote presque, mais je joue le vaillant quand-même. Mon rebeu me fait sa gueule d’ange, ses yeux sont comme des joyaux qui me brûlent l’âme. Je suis certain que je suis seul à avoir droit à ce regard. Et il reprend vivement ma bite en bouche, pour la sucer avec envie. Je n’arrive plus à tenir debout, je suis sur le point de cracher mon foutre et je suis obligé de stopper les mouvements de Sli pour pas que ça arrive. « Arrête, je vais... je n’vais pas tenir ». Je suis essoufflé de plaisir, je bafouille comme un puceau et suis obligé de me retenir pour pas tout laisser venir. Personne ne m’a jamais aussi bien sucé. Slimane se relève, prédateur, et prend ma bite en main pour me inviter à reculer lentement vers son lit. J’ai le pantalon en bas des jambes et je fais de petits pas, mais mon keum me regarde intensément. Mon cœur bat si fort, j’ai l’impression de ne plus rien savoir. Je m’arrête en sentant le matelas derrière mes jambes. J’ai la tête à l’envers, j’ai tellement envie de lui. Il me pousse un peu plus fort pour que je m’allonge et quand je m’exécute, il finit par virer mes loques pour venir me couvrir de sa chaleur. J’écarte les cuisses pour accueillir son corps contre le mien et il prend mon visage dans ses mains avant de baiser mes lèvres. Il est si doux et fougueux à la fois. En même temps, je sens qu’il retient la puissance de ses caprices et j’agrippe ses fesses velues tandis que nous simulons la position du missionnaire. Nos queues glissent l’une contre l’autre, et nos grondements de satisfaction se font écho. J’adore nos caresses tendres et passionnées à la fois. J’ai tellement envie de lui, de le sentir en moi, d’être sa chienne qui lui tendrait le cul jusqu’à se faire dépouiller. Mais j’aime aussi l’idée que c’est à moi de jouer avec sa matraque, c’est à moi de décider quand elle me giclera dedans. Ce soir, c’est mon tribut. Le prince berbère assure sa race, putain. Il est trop doué, il me fait perdre la raison. Il bouffe mon cou, mordille le lobe de mes oreilles, revient pour caresser ma langue avec la sienne, et je sens sa grosse bite qui se frotte sur mon ventre alors qu’il ondule sensuellement contre ma peau. Je le caresse, je griffe son dos, j’appuie sur ses fesses quand je veux le sentir plus fort sur moi. J’ai envie qu’il me marque de sa présence, je veux qu’il se tatoue dans ma chair, j’ai besoin qu’il me fasse sien. J’enserre mes jambes autour de son cul. « Bambi, j’ai la trique à mort... Donne-toi à moi. » Slimane est exigeant et parait fiévreux quand il dit ça. De mon côté, je suis comme un ouf dans ma tête. Je lui réponds : « même si c’est dans mon boule que ça va se passer, c’est toi qui me donnes ton gros chibre ». Mon rebeu se fout gentiment de ma gueule et cache son visage dans mon cou avant de murmurer à mon oreille : « c’est pas comme ça qu’on parle à un prince du désert ». Je profite de sa moquerie pour le faire basculer sur le dos et me mettre à califourchon sur lui. Il me regarde, soudainement avide. Je crache dans ma paume et m’humidifie la rondelle avant de prendre l’imposante bite de Slimane en main et guider son gland entre mes fesses. Mon trou a tellement l’habitude de se faire pilonner par cette queue qu’il s’ouvre comme une fleur. En fait, je crois que je suis tellement en manque... alors je m’empale lentement sur le braquemart de Slimane. Je contemple mon rebeu qui ferme les yeux tout en posant ses mains sur mes hanches. Notre position est inhabituelle, mais c’est excitant comme jamais. Quand il est entièrement en moi, je me retrouve à onduler langoureusement du bassin alors que mes doigts se perdent sur les joues velues du prince qui m’offre sa divine virilité. Il me regarde de nouveau et je le provoque en faisant de petits allers-retours du cul. La bouche de Slimane est entrouverte et il passe sa langue sur sa lèvre inférieure. Il tient ma queue raide dans sa main droite et il est magnifique. Je le veux avec une telle puissance que je me resserre autour de sa putain de bite magique pour la piéger dans ma chaleur. Sa présence m’écartèle de l’intérieur et j’ai l’impression de prendre feu tout entier. « Recommence ça », m’ordonne Sli. Je le refais direct et nous pâmons tous les deux comme des cons. C’est si bon, alors je remets ça encore et encore, me contractant et me décontractant sur toute la longueur qui m’investit. Je continue ce jeu jusqu’à ce que mon mâle ne décide de hocher plus fort en moi. D’habitude il me ramone avec toute sa fougue et j’adore tellement que je couine comme les traînées que je baisais avant. Mais là, il est tout en contrôle et ses coups de rein se font précis, érotiques. Je crois qu’il veut m’entendre le supplier d’être plus animal, me mettre au défi. Alors je joue avec ma chatte. Je la serre quand il sort et la desserre quand il revient au plus profond de moi. Ça me fait presque voir des étoiles tant toutes ces explosions de sensations font dérailler ma respiration. Slimane gronde de satisfaction. Sa sueur sent l’amour. Il me encouragé àans ses bras musclés, pour venir goûter ma langue en même temps qu’il me dose l’arrière-train. Ouah, je suis foutu de partout, je tremble, je n’arrive plus à maintenir la régularité de mes mouvements. J’ai juste envie de perdre la tête sous les coups de queue de mon rebeu préféré. Il est dans moi et j’ai l’impression qu’il n’y a qu’ainsi que je suis entier. « Défonce-moi Sli. empêche-moi de crier et dérouille-moi le fion jusqu’à ce que je n’puisse plus penser à rien d’autre ». Je dis ça à bout de souffle, la voix suppliante. Je ne sais même pas comment j’arrive encore à articuler des mots cohérents. « Parle-pas comme ça » grogne Sli. « Ce soir j’te baise pas, c’est ce que tu voulais, non ? ». Sa voix est rauque, puissante, impérieuse. Il emprisonne mon visage dans ses paluches de combattant et il me met un coup de bite bien pesé en même temps qu’il fronce son regard d’émeraude. Je ferme les yeux rêveusement et me crispe sur sa matraque. J’en veux encore plus. Mais il reste langoureux et à la place, il me roule une nouvelle galoche tout en hochant doucement dans mon uc. Putain, j’ai l’impression de flotter, d’avoir la tête à l’envers, de ne plus savoir comment je m’appelle. Slimane est bon, tendre, si animal. Il me soulève pour m’empaler sur sa bite merveilleuse. C’est fluide, et je vibre sur son chibre comme si je devenais de la musique pure, sauvage. Il me prend si bien, c’est pareil à des vagues de plus en plus rudes. Quand il recule je me retire, quand il avance je reviens vers la collision, prêt à encaisser l’assaut de sa virilité qui m’envahit totalement et décide de moi. Je suis à lui, je le veux et je participe activement à lui prouver. Il se redresse un peu sur ses coudes, boit à mes lèvres, assoiffé d’elles. Nos langues se querellent comme des gamines qui veulent décider tour à tour, mais à chaque fois que la queue de Slimane culbute le fond de mes sens, je sais qu’il a déjà gagné et je souhaite m’ouvrir à tout ce qu’il peut déchaîner. C’est zarb, mais je crois que Sli le comprend. En fait non, j’en suis sûr. Il sait qu’il gouverne mon uc, que sa putain de grosse queue est ma raison de respirer. Je n’ai plus besoin d’être un homme qui s’affirme. Là, maintenant, je suis seulement ce qu’il désire et j’adore ça. « Prends-moi fort, oh oui... » je grogne ces mots à son oreille et il me soumet directement à sa toute-puissance. Il m’emprisonne dans ses bras et me bombarde le trou d’assauts aussi francs que plaisants. Je m’amollis dans ses bras, je mords la chair de son trapèze pour m’empêcher de hurler comme une lopsa et ses coups de butoirs m’envoient dans l’invisible. « S’il te plaît, gicle-moi dedans, mets-moi tout ton jus, dégouline de moi tellement tu me remplis ». Mes paroles sont désespérées et ça excite encore plus Slimane. Sa cadence se fait plus sportive. J’veux tellement m’ouvrir pour le recevoir que j’en tremble de partout. Lui, il grogne de plus en plus fort et chaque incursion de sa matraque dans mon cul est une lumière de plus derrière mes paupières. Je n’vois plus rien, je suis ébloui et mon rebeu endure avec encore plus de fougue. Il s’essouffle, il gronde, il tremble aussi, il va exploser en moi, se répandre dans mes veines. Il arrive, il vient, je le sens. Son chibre allume un brasier dans ma chair et quand je sens la puissance des derniers coups de reins arriver, je me resserre si fort autour de lui. Il se vide dans mon corps en cherchant à se perdre le plus loin possible, et j’éjacule entre nos ventres, sous sa totale emprise. Je n’existe qu’avec lui. Les soubresauts de sa jouissance gouvernent désormais nos hochements et même après s’être libéré, il est tenté de persévérer. Il continue d’aller et venir en moi plus doucement alors qu’il parait tout aussi défait. Nos corps suent, nous sommes à bout de ce que nous pouvons supporter et pourtant, on s’regarde sans se lâcher des yeux. On sait. Il s’est passé quelque chose en plus cette fois. Ici, il vient de se produire un truc qui rend accro, qui nous relie comme jamais, et c’est aussi bon que c’est dangereux. Slimane me invite à m’allonger sur son torse et j’entends le tambour de son sperme qui se répercute dans mes os. Sa respiration est profonde et tous ses poils sont collés par la moiteur de sa peau, de mes giclées de sperme aussi. Son zboube finit par sortir de moi. Je vibre autant de frustration que de soulagement. Nous sommes poisseux mais nous n’arrivons pas à nous lâcher. Nous cherchons à reprendre nos esprits, mais la tempête sexuelle qu’on a partagée nous a abattus. Sli me caresse les cheveux. Il me puissance ensuite à relever la tête pour baiser ma bouche. « T'es vraiment mon promis » murmure-t-il tendrement, les yeux mi-clos. À l’instant même où il dit ça, je sais qu’on est foutu.