Histoires de sexe

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Mon 1er plan avec un rebeu
Histoire gay publiée le 17/04/2019
Salut c’est Kevin le renoi de retour. Je vais vous raconter 3 plans avec des rebeus que j’ai rencontrés il y a quelques années. A cette époque, j’habitais en province du côté de Montbéliard. Un soir, je me connecte sur Beuronline et au bout d’une vingtaine de minutes, Mohammed, un rebeu de Metz, vient chatter avec moi. Le feeling passe bien et le mec est bien chaud. Le truc, c’est qu’on n’est pas l’un à côté de l’autre et donc pas possible de se faire du bien dans l’immédiat. Je me dis que c’est pas grave et qu’on verra ce que l’avenir nous réservera. En attendant, le chat est chaud, très chaud même (il me demande si je suis clean car il veut mon jus), on s’échange des photos et on se branle en s’imaginant notre hypothétique plan. On remet ça plusieurs fois dans le mois qui suit puis Mohammed me propose de passer le weekend avec lui à l’hôtel. Je suis chaud mais je reste un peu méfiant : je me demande vraiment s’il va aller jusqu’au bout. Le lendemain de sa proposition, il m’envoie la confirmation de la réservation de l’hôtel. Ah bah là, je crois que c’est clair. Le vendredi qui suit, je me mets en route après le taf. 2h30 après, me voilà arrivé devant l’hôtel. Je me dirige vers la chambre qu’il m’a indiquée par SMS. Je frappe, Momo m’ouvre. Le mec est bogosse, pas très grand mais bien gaulé. On discute un peu, on boit un verre vite fait puis on passe aux choses sérieuses. Il commence à me galocher. Putain c’est bon, j’avais envie de ce moment depuis longtemps : me taper un rebeu rien que pour moi. On se déshabille et direct je lui colle ma teub contre sa bouche. Il l’ouvre et commence à me tailler une pipe. Pas beaucoup d’expérience mais le mec gère. Il salive bien ce qui a pour effet de bien faire coulisser ma tige sur sa langue. Le mec tente une ou deux gorges profondes : il se débrouille bien dis donc pour un débutant. Moi je bande bien dur et je pense à l’après fellation. Je commence à m’intéresser à son boule. Sa rondelle est imberbe, ce qui a le don de me rendre dur comme du bois. Je lui fais lâcher ma teub, je l’allonge sur le dos, je relève ses jambes et je commence à lui bouffer le cul. J’alterne avec des doigts histoire de voir comment il encaisse : eh bien, on dirait qu’il a fait ça toute sa vie ! Assez tourné autour du pot, c’est l’heure de la sodo. Je badigeonne son trou de gel, je sors une capote de son emballage et Momo me sort : « Tu fais quoi là ? » Je lui réponds qu’il vaut mieux le faire avec un préservatif que sans. Il m’assure qu’il s’est fait tester récemment et qu’on peut y aller au naturel. Je lâche la capote, je fous du gel sur mon gland et je rentre au naturel dans son cul. Le gland passe sans souci. J’attends un peu avant de m’enfoncer jusqu’à la garde dans son boule. Momo soupire et me dit que c’est trop bon. C’est pas moi qui vais lui dire le contraire !! Je commence mes va et vient en lui tenant les jambes. Ma teub a trouvé sa place en lui et lui arrache des gémissements de plaisir. J’augmente doucement le tempo et lui suit sans broncher. Je me penche sur lui et je lui roule des pelles, ce qui a le don de bien m’exciter. Je continue d’accélérer histoire de profiter comme il se doit de ce cul de rebeu : je crois rêver mais mon fantasme est bien en train de devenir réalité ! La cadence devient soutenue et je sens mon jus qui commence son ascension dans ma bite bien dure. J’ai envie de tout balancer mais envie aussi de me retenir histoire d’un profiter un max. Je le sens contracter sa rondelle autour de ma teub, ce qui fait monter le jus à vitesse grand V. Je vais exploser dans son cul mais au dernier moment, un éclair de lucidité me dit de juter en dehors. Je dois balancer le premier jet en lui et le reste vient s’écraser sur le dessus de lit. Putain, vu la quantité de jus balancé, j’ai l’impression que le cul de Momo est une vraie machine à traire la bite. Je m’allonge à côté de mon rebeu qui reprend lui aussi ses esprits. Il s’allume une clope et on commence à discuter tranquille à oilp. Il reçoit un message sur son portable et me dit qu’il doit sortir régler un truc pour sa sœur. Il se relève, s’habille et sort de la chambre. Moi je reste à poil à l’attendre. Au bout de 20 minutes, je l’entends revenir et frapper à la porte. Je lui ouvre et il bugge sur le fait que je sois encore nu. Je lui réponds : « J’ai encore envie de ton cul. » Il me dit OK. Ni une ni deux, il se déshabille, s’allonge sur le dos et me tend son boule. Je prends le gel et veux lui tartiner la rondelle mais il repousse ma main. « Tu m’as déjà bien lubrifié, t’as pas besoin de gel ! » OK si tu le dis. Je pousse ma teub encore plus dure (à croire que je n’ai pas juté une heure auparavant !!) sur son trou qui s’ouvre comme par enchantement. Il a raison, c’est encore bien lubrifié là-dedans. Vu comme il est bien ouvert, pas de tour de chauffe, j’attaque direct les bons coups de bite et Momo ne peut s’empêcher de gémir. Pour qu’il fasse moins de bruit, je le galoche en même temps que je le nique. Ca fait pas 10 minutes que je le bourrine que déjà, je sens le jus monter. Putain, ce qu’il me fait kiffer ce rebeu ! J’essaie de ne pas jouir trop vite mais rien à faire, son cul recommence à vouloir me traire. Je dis à Momo que je vais bientôt cracher. Pour être sûr d’avoir tout mon jus, il colle ses mains sur mon boule pour m’obliger à décharger en lui. La situation m’excite de ouf et dans un râle puissant, je me vide intégralement dans son cul. J’ai l’impression d’avoir encore bien craché (au moins, 5 jets). Là, j’ai enfin les couilles vides. J’embrasse doucement Mohamed qui, de son côté, a joui du cul. Je le prends dans mes bras et on s’endort instantanément. Quel kif ce rebeu !