Histoires de sexe

Histoires de sexe écrites par des clients

En extase avec Yussef, Kamel et Boris
Histoire gay publiée le 03/05/2019
C’est fou comme c’est souvent les jours ou tu n’as envie de rien qu’il t’arrive le plus de choses. Ce jour-là était en fait un jour de . Un jour de profonde, ou tu en viens à sentir physiquement le mal psychologique tellement il est intense. Mon homme m’avait quitté après plus de deux ans d’amour fou. Il était plus vieux que moi d’une dizaine d’année, avait la trentaine et le visage jeune et beau. Nous avions commencé notre relation grâce au sexe, on se voyait alors assez souvent, lui était actif soumis et moi passif dominant. C’est cette disposition particulière qui m’attira chez lui. Entre nos parties d’amour nous étions pourtant très doux l’un et l’autre et l’évidence arriva, nous nous sommes mis en couple. Tout allait bien mais il savait que j’avais d’autres liaisons, lui non. Je l’aurais pourtant laissé faire mais son tempérament soumis avait tendance à resurgir hors de nos ébats. Ainsi il ne prenait pas cette liberté ce qui mis à mal l’équilibre de notre couple, de plus il travaillait et j’étudiais, nous ne vivions pas ensemble et mes histoires me prenaient du temps. Nous ne nous voyions donc pas assez à son goût. Il était pourtant la seule personne que j’aimais au monde. Ce jour donc je ne me sentais pas bien, rongé de culpabilité je décidais de rester chez moi à lire un peu n’importe quoi afin de pouvoir réfléchir et me morfondre, caché de moi-même. Pourtant vers 21h on sonne à ma porte. Je n’attendais personne mais je vais voir. Je tombe alors sur Clément, Marie et Assen, des amis de longue date qui viennent me récupérer pour aller à un concert. J’avais complètement oublié le festival open air ou j’étais sensé aller ce soir-là, et malgré mon état je n’abandonne pas mes amis et m’y rend peu convaincu de passer une bonne soirée. Le désavantage de ces soirées gratuites est le genre de personnes que l’on peut croiser, c’est le rendez-vous de tous bons comme mauvais et j’appréhende les des inévitables. Finalement la soirée se passe bien, la musique est bonne, de la techno japonaise, du rap old school… j’en oublie ma peine. Vers 4h mes amis partent, je m’amusais pourtant bien et décide de rester avec un groupe d’amis à eux. Je reste malgré tout distant ils sont assez différents de moi, plutôt style mecs de banlieue machos. Un notamment me donne chaud, il est très fin et plutôt de caractère posé contrairement à ses potes, il m’a vendu un ecsta ce qui m’a aidé à me détendre. Il s’appelle Yussef et plus la soirée avance plus il me vend du rêve. Il est le premier à vraiment me parler et grâce à lui bientôt je finis par m’intégrer au reste du groupe. La soirée finit le groupe se réduit encore il ne reste plus que moi, Yussef, Kamel et Boris. On ne veut clairement pas s’arrêter en si bon chemin et la remontant nous donne la puissance de dix hommes ! Ainsi nous nous rendons chez Boris qui possède en plus de son appartement un petit grenier, ancienne chambre de bonne un peu aménagée pour recevoir du monde, plongée dans l’obscurité. Seule la lumière de la rue provenant d’une petite fenêtre nous éclaire. On se pose donc après avoir marchés un bon moment. On écoute de la musique que je n’apprécie pas vraiment en fumant. Je me rapproche de plus en plus de Yussef tout en restant encore purement amical. Il me fait de l’effet mais je ne sais pas quoi faire. D’ordinaire j’aurais osé mais là entouré de gens que je ne connais pas et qui ont l’air parfaitement hétéro… Et puis même si Yussef était aussi chaud que moi le montrerai-t-il devant ses potes ? Certainement pas. Je m’abstiens donc et profite simplement de mater, de m’imaginer… C’est le moment de reprendre de l’ecsta mais je n’ai plus une thune. Yussef m’aime bien et m’en propose un gratuit. Je suis aux anges ! A ce moment un ami fait une allusion « ça te coûtera une pipe ! » tous rient et moi je suis déçu. Allé je tente le tout pour le tout « A cette heure je suis prêt à faire tout ce que vous voulez je crois ! dis-je en rigolant un peu. - Fait gaffe on pourrait te prendre aux mots ! - Ça fait longtemps que je ne me suis pas fait sucer perso. - J’avoue ce serait tentant ! » Je n’arrive pas à savoir s’ils sont sérieux ou non mais je l’espère. Après cette discussion une sensation de gêne s’installa, tout le monde semblait me chercher du regard afin de voir s’il s’agissait d’une blague ou pas. Il me fallut un certain temps pour comprendre la situation puis finalement je me suis levé. Tout était enfin clair, c’est alors que Yussef se leva et m’embrassa. « Pas besoin d’être debout » me dit-il. Je le regardais droit dans les yeux et savourait la situation. Je vis en lui autant d’excitation qu’il n’y en avait en moi et me mis à genoux. Je vis alors la lumière du jour percer à travers la lucarne ce qui me donna des frissons d’excitation. La remontant commençait à vraiment m’atteindre ce qui me faisais tout ressentir, l’excitation de ces mâles, la lumière du soleil me baigner, la musique me transpercer et voir à nouveau les couleurs du jour me donna l’impression de renaitre. J’avais une tâche à accomplir et m’y attela bien vite. J’étais en recherche perpétuelle de sensations ce qui me fit me concentrer sur tout. L’odeur de mâle, forte, enivrante, le goût de son survêtement tâché de mouille légèrement salée, les couleurs de son caleçon, l’odeur de ses poils pubiens et enfin l’objet du désir proéminent. Je suis tombé amoureux de son gland au premier coup d’œil, gros, d’une belle couleur brunâtre, circoncis… Je le goûtais d’abord doucement puis j’englobais sa queue entièrement. Enfin l’extase ! Je me mis à le pomper de plus en plus intensément et était parcouru de frissons sur tout mon corps dans une bulle de désir et de plaisir. Je touchais ses abdos, il caressait ma nuque et mes cheveux. D’un coup je fus ramené à la réalité par un des amis qui me caressa le bas du dos ce qui me fit sursauter tant j’étais en transe. Son ami se fit plus directif, m’assénant des ordres, « redresse toi », « cambre-toi ». Ça a eu pour effet de me faire encore plus bouillir de désir. Il me massa le cul pendant quelques instants avant de présenter son chibre à l’entrée de mon fondement. Sans préparation ni lubrifiant il poussa et je ressentis le déchirement d’une naissance, ce cri que je poussais était celui de ma première respiration, j’étais enfin né tel que j’aurais dû l’être, en objet de sexe. Les choses s’enchainèrent vite. Boris lovait son membre profondément en moi, me transperçant par des coups de butoirs semblables à l’empalement d’un sabre. Yussef s’était assis et m’éssoufflais par sa bite. J’étais salis de salive, de mouille et de larmes. Je me sentais bien. Ces deux encouragements contraires qui se rencontraient en moi, l’une provenant de ma bouche et l’autre de mon trou de balle, me donnaient l’impression d’être le lieu d’un combat interne entre énergies masculines. J’en perdais tous repères et toute conscience propre. L’euphorie collective envenima alors les choses. Me sentant plus que réceptif les deux compères décidèrent de passer à la vitesse supérieure. Ils échangèrent un mot auquel je ne fis pas attention puis Boris sortit de mon antre et Yussef posa sa main sur ma joue pour que je relève la tête. Il me regarda de ses yeux dilatés par la remontant, d’un regard différent de tout à l’heure puis me cracha au visage et dans la bouche. Je ne m’y attendais pas mais appréciais grandement. Soudain il enleva complètement son t-shirt et je pu admirer son beau corps. Rapidement il prit ma tête et la colla sur son aisselle dégoulinante de sueur. Cette odeur de transpiration a toujours agi sur moi comme une phéromone m’attirant irrémédiablement. J’en devint vite accroc ne pouvant plus m’empêcher d’humer, de lécher et de recouvrir mon visage de ce liquide me faisant encore plus d’effet que du poppers ou n’importe quelle autre remontant. D’un coup Boris me tira par les pieds ce qui me fit tomber à plat ventre, il me retourna et vint debout devant moi. Yussef vint le rejoindre puis Kamel, resté assis seul jusqu’à présent. Tous se mirent à sortir leurs verges et à répandre sur mon corps un jet d’urine chaud. J’étais couché sur le dos sur un sol en béton froid, presque entièrement nu et recouvert d’urine. Des éclaboussures me rentraient dans les yeux et dans la bouche quand soudain Kamel dirigea son jet directement sur mon visage. J’avais la bouche remplie d’urine et je fermais les yeux, cette odeur forte et ce liquide chaud m’emplirent de plaisir. Ces trois mâles ont marqué leur territoire de leur pisse, je suis leur chose, leur objet de sexe, je leur appartient maintenant. Cette sensation définitive d'obéissance d’appartenance finale à ses maîtres est indescriptible et n’a en ce monde aucun pareil. Cette extase représente le point d’orgue de la soirée, le point de jouissance ultime. Je me suis finalement masturbé couché là sans bouger devant ces trois hommes qui m’observaient. Je joui dans un râle sourd et un spasme me traversa tout le corps. Le jet de sperme arrosa mon torse et mon visage. Yussef attrapa ma main et m’aida à me relever de moitié. Il me regarda et prit du bout des doigts le sperme luisant sur mon visage mélangé d’urine et m’y fit goûter. Il me présenta finalement son membre devant la bouche pour que je le finisse. Les effets de la remontant s’estompaient en moi ainsi que mon excitation après cette extase. Je le suçais jusqu’à ce qu’il déverse sa semence en moi. Je me délectais de son jus tandis que Boris et Kamel se masturbaient autour de moi et dans un élan collectif éjaculaient sur moi me recouvrant de leurs fluides. Je gisais donc finalement là, entouré de trois hommes, recouvert d’urine, de sueur, de sperme, de salive et de larmes… Je n’aurais pas pu être plus comblé. J’ai passé la journée qui suivit à rêver chez Boris après avoir pris une douche. J’ai revu Yussef une fois depuis et espère un jour les revoir tous ensemble.