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Le kaïera du train
Histoire gay publiée le 16/08/2019
Après un week end chez les parents à ne rien faire si ce n’est mater la TV et bouffer la cuisine de Mamy, je prenais le train de retour pour Paname, et c’était parti pour 3 heures. Bercé par le ronron du Corail, je m’rêvaiais avec les écouteurs en écoutant des podcasts sur mon siège casquette vissée sur la tête et lunette noir. Je devais rêver depuis 5/10 minutes quand je sens que quelqu’un vient se poser juste à coté de moi. J’ouvre les yeux à moitié, et je vois un beau lascars rebeu en survet / casquette d’une vingtaine d’année avec un regard chaud - excuse moi c’est libre la ? Un peu en attitude Kaïera , je lâche juste un « ouai ouai » et ferme les yeux en écartant bien les jambes pour être à mon aise. Je sais pas trop pourquoi mais me souvient que ma cuisse collait un peu contre la sienne, et avec les mouvements du train, je sentais que ça frottait un peu, sans calculer plus que ça. Ca à dû durer 5 minutes quand je sens qu’il réagi , on continuait à se frôler la cuisse et les genoux mais je voyais bien que c’était pas naturel et qu’il en rajoutait, et en confiance (dans ma bulle) je ne réagissait pas trop appréciant sentir ses jambes musclées contre moi . Je choppe un début d’érection, ouvre les yeux pour voir si c’était pas trop visible, mais le rebeu avait déjà les yeux dessus, pas scred avec un jogging de sport Japan Rags. Toujours feignant rêver, je m’amuse à contracter ma teub comme si j’envoyais des clins d’oeil, je suis pas con, j’ai bien vu que le mec n’était pas en mode choqué ou outré, et donc qu’il pouvait y avoir moyen. Je pose ma main sur la sienne par dessus l’accoudoir. Discret pour pas attirer l’attention, j’attrape son poignet et le pose sur mon paquet. Il palpe et me malaxe la teub par dessus mon survet sport tout en calant son autre main sur son entrejambe. Putain, trop facile ! Le kif ! Je repousse sa main doucement, cale ma teub dans l’élastique du boxer pour pas qu’elle soit trop visible, me lève en lui lançant un « Tu me suis? » et je trace dans les chiottes où il me rejoint quasi aussitôt. Il se colle contre moi et me roule une pelle , ça doigts viennent explorer le dessous de mon boxer et entourent ma teub raide comme la justice. Toujours en me la pétant un peu, je pose mes mains sur ses épaules, il capte et se met à genoux devant moi. Je baisse mon froc tandis qu’il passe une de ses mains dans son survet pour se branler et attrape ma queue de l’autre pour la mettre en bouche.Pendant que ma teub limait sa bonne petite bouche qui salivait comme un malade, je le matais se branler, la queue sortie du survet : un bon zob de rebeu , foncé et circoncis, pas très long, mais bien épais. Les bruits du train et des rails masquait les bruits de sucions et surtout ses gémissements qui s’intensifiaient . Ce sont ses râles de plaisir qui m’ont fait monter la sauce , j’écarte sa bouche de ma teub, me pougne et voilà que des salves de sperme vont s’éclater contre les murs des chiottes, il n’en rate pas une miette, toujours en s’astiquant comme un deguin. Il me rechope la queue toujours gonflée et ramollie , la remet en bouche en aspirant et en poussant des gémissement et balance la purée sur le sol, une belle flaque crémeuse se colle sur le lino crade. L’extase, je me sentais comme un ouf, l’expérience était à la fois aventureuse et excitante, le genre de plan suce auquel tu ne t’attends pas et peut te coller le sourire pour toute la journée. Apres s’être essuyé et rincé la gueule suintant le jus, il se relève me fait un baiser rapide sur les lèvres. Je lui aurait bien roulé une mega pelle et chopé son numéro, mais j’étais encore dans mon rôle de macho rebel, peut être par ce que j’avais l’impression que c’était ça qui l’excitait sur le moment et que je ne voulais pas passer pour un con. On est retourné s’assoir comme si de rien était, on a pas parlé sur le restant du trajet à part un « salut / ciao » quand on est arrivé en gare. Seulement quelques regards complices et me souvient qu’on avait recommencé à se palper le paquet en scred à en moment, mais on arrivait presque et les gens du wagon commençaient à s’activer et y’avait du passage. Si je te recroise, aucun doute la dessus mon frère, on passe à l’étape suivante , j’ai fantasmé sur toi certaines fois, m’imaginant passer ma main sur ta raie , te titiller le fion puis te limer. T’as bien apprécié ma teub, tu l’aimeras encore plus !