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Une nuit d’été
Histoire gay publiée le 21/09/2019
C’était une nuit d’été en plein paris je rentrais un peu déchiré d’une soirée arrosée il devait être 2h du matin, j’habitais pas très loin donc je prend l’initiative de rentrer chez moi à pied, arrivé en bas de chez moi en bas de mon immeuble j’aperçois un homme la trentaine typé maghrébin habillé en survêtement gris qui laissait paraître la de sa bite qui avait l’air extrêmement bonne, a peine arrivé un contact visuel est enclenché des jeux de regards constant je vois qu’il commence à se toucher, au bout de 5 minutes figé à se caresser le survêtement il s’approche étant totalement bourré je ne savais pas quoi faire quand il m’attrape par les cheveux et me fait mettre à genoux totalement soumis à lui je baisse son survet avant de découvrir une énorme bite de 22 cm bien grosse et bien dure que j’avale sans discuter en faisant des vas et viens juteux je l’entend gémir dans les rues vides de paris ses couilles attendaient depuis un bon moment d’être vidée, au bout de plusieurs minutes des minutes intense il s’accroupit et commence à me doigter sous le pantalon sa bite éssoufflait mes petits cris de plaisir quand ce bel inconnu préparait mon trou à accueillir cette grosse bite juteuse, soudainement il me relève et me prend par le poignet nous nous dirigeons dans un petit passage vide les pantalons à moitié baissé , arrive à l’abris dès regard il enfonce son chibre dans mon cul en posant sa main respirant le mâle sur ma bouche pour éviter de réveiller le voisinage, il me casse le cul comme on me l’ajamais fait une bonne grosse bite d’arabe que je ressentirais encore quelque jour après ses quelques minutes magique il me lèche la nuque en y laissant ses filet de bave chaud qui ne font qu’augmenter mon excitation je sens que la sauce monte il continue à me baiser de façon rude en claquant mes fesses avec ses boules bien remplie avant de me laisser juter au bout de 10 minutes de branle, j’ejacule dans un cri sourd qui ne fera que pimenter cette baise intense, ce bel inconnu se retira au bout de 20 minutes de baise intense avant de cracher sur mes fesses, je sens qu’il glisse quelque chose dans la poche de mon blouson, avant de s’en aller comme un voleur, les yeux pleins de paillettes je plonge la main dans ma veste avant d’y ressortir un papier avec écrit un numéro de téléphone, il avait déjà tout prévu et je compte bien le re contacter.