Driss, mon voisin rebeu
Histoire gay publiée le 18/11/2019
Salut, Je commence par me présenter, je m’appelle Vincent, j’ai 26 ans, je suis de taille moyenne et plutôt mince. Je suis en couple avec mon mec depuis 3 ans. On est un couple tranquille mais ouvert. Je vais vous raconter ce qu’il m’est arrivé en juillet dernier. J’habite à Clermont-Ferrand et à côté de chez moi il y a un parc où je promène mon chien plusieurs fois dans la journée et notamment avant de me coucher. Il devait être 22h30 quand après notre petit tour je traverse le parking qui mène à mon immeuble et là je croise un rebeu en voiture que je laisse gentiment passer pour qu’il puisse se garer. J’avais tout mon temps et vu qu’il avait la vitre ouverte je l'’ai un peu maté. De son côté, il me salue avec sa main pour me remercier et esquisse un joli sourire. Putain quel beau gosse. Je pense qu'il a capté ce que je pensais. J’arrive au niveau de la porte de mon immeuble et je vois qu'il m’a déjà rattrapé. Là il me dit : « – Ah t’habites ici ? » Et moi balbutiant en peu tout en cherchant mes clés : « – Oui oui ». De son côté il semblait très à l’aise et continua : « – Ben je t’ai jamais vu, c’est sympa d’avoir des jeunes dans la résidence. Moi c’est Driss, le jour où ça te branche un petit apéro t’hésites pas, c’est mort ici pour les couches-tards comme moi. » J'essaye de paraître naturel face à son charme ravageur qui me trouble. Son regard aussi, il avait un regard profond et un style plutôt lascar. Une casquette, un T-shirt bien taillé et la peau basanée, un peu plus grand que moi et bien musclé, ce qui se voyait vu son T-shirt moulant. On prend le chemin de l’ascenseur ensemble, là on se parle toujours un peu vite fait. Arrivé dans l’ascenseur, je vois qu’il pousse le bouton du 5ème, moi le 3ème et quand les portes se referment un grand silence … Je sens son regard sur moi, par politesse je me tourne vers lui, croisant ses yeux, et encore ce maudit sourire qui me trouble tant !!! C’était super embarrassant et super excitant à la fois. Je commençais à me demander s’il ne cherchait pas à m’allumer ou dragouiller … mais pour autant j’avais du mal à y croire. Et puis, ce n’est pas la première fois que je pense à ce genre de chose alors qu’il n’en est rien. Il est peut-être juste cool, ou cherche à se faire un pote. La porte s’ouvre, c’est mon étage, je lance un « Allez, à bientôt peut-être » avant de tenter de quitter l’ascenseur mais tout d'un coup je sens sa main qui me touche au niveau des côtes. Je me retourne et il me dit : « – Hey, tu fumes ? on peut se fumer un joint et un petit verre chez moi, ça te branche ?« . Je ne savais pas trop quoi dire ni quoi faire. A la rigueur j’avais plus de raisons de refuser l’invitation : il y avait mon chien, mon mec chez moi, je ne fume pas et surtout je ne le connais pas … Mais d’un autre côté, le doute subsistait : est-ce qu’il me drague ? Et je voulais vraiment le savoir, quitte à jouer un peu avec le feu. Je lui ai expliqué que je ne fumais pas mais que je n’étais pas contre avaler un petit verre pour faire connaissance entre voisins. Aussi je lui demande de retenir l’ascenseur deux minutes que j’allais juste rentrer mon chien. Je retrouve donc le rebeu dans l’ascenseur et 1 min. plus tard me voici chez lui, sur le canapé. Toujours avec quelques banalités je parle un peu plus, il a le don de mettre à l’aise et je le trouve cool. Il paraît à la fois sûr de lui et en même temps il est cool et tranquille. Jusqu’ici la discussion reste superficielle, je ne sais rien de lui, ni lui de moi, donc je ne suis pas encore 100% à l’aise, je me demande même à certains moments pourquoi je suis là et pourquoi j’ai accepté. Après avoir regardé des vidéos clips il me sert une limonade et vient s’asseoir à côté de moi. Il continue à me parler de tout et de rien. Puis vient un petit temps de silence, on se regarde. Et là, en moins de temps qu’il n’en faut pour le dire, il me dit « t'as envie ? » puis il baisse son survêt et sort sa queue direct. Je ne l’ai pas vu venir ! Mais ça m’a excité de voir sa bite circoncise, d’un diamètre énorme au repos, gonfler à vue d’œil. Et là il me dit : « – Tu vois, je préfère plutôt te la mettre dans le cul celle-là. » J’esquisse un sourire pour lui faire comprendre que je n’ai rien contre. Il prend alors ma tête et l’emmène droit sur sa queue pour que je la suce… Je ne me fais pas prier car je raffole de ça. Il appuie sur ma tête en même temps pour que je la gobe en entier. Elle vient me chatouiller la glotte ce qui a pour effet de me faire saliver comme un dingue. Ainsi au plus proche de la bête, je peux apprécier sa circonférence : elle est assez longue, facile 19 cm. Mais ce qui m’a surpris c'est son diamètre de 7 cm. Je suis donc en train de lui pomper joyeusement le dard en me branlant à travers le short, je suis encore tout habillé et lui devient de plus en plus directif, limite un peu vulgaire et macho. Il est toujours confortablement assis comme un pacha, moi j’ai la tête appuyée contre son chibre et il commence à me limer la bouche comme si c’était mon cul en lâchant des « aah oui ». Sa main restée libre descend le long de ma cuisse et vient caresser mon sexe sous le short. Il vient ensuite tirer le short en arrière et commence à me palper les fesses. Je sens ses doigts chauds qui se faufilent un chemin le long de ma raie et se dirigent droit vers mon trou. Il me titille l’anus puis glisse deux doigts d’un coup et fait des va-et-vient avec. Après plusieurs minutes, il me demande de me foutre à poil. Je me retrouve tout nu et là il me plaque contre le mur à coté du sofa et se positionne à genoux pour me bouffer le cul. Une sensation trop agréable m’envahit. Ensuite, je l’entends baisser son froc et il m’enfonce son dard dans le cul, sans autre lubrifiant que sa salive. Debout et légèrement cambré je sens son membre en moi. Il me sert contre lui et vient me lécher le cou et les oreilles. Je sens son corps contre le mien, sa chaleur contre moi et sa bite en moi. Après un petit moment, il accélère la cadence et le bruit des claquements de ses couilles sur mon cul résonne dans le salon. Ensuite, il me pousse vers le canapé, en position assise puis me relève les jambes. Mon croupion dépasse, bien élargi et là il me pénètre de nouveau. C’est à ce moment-là que j’aperçois enfin ses grosses couilles. Je vois aussi ses abdos se raidir à chaque coup de rein, son torse est trop beau, avec des pectoraux bien dessinés, je prends mon pied comme jamais. En me traitant de petasse, il pousse des râles de plaisir et me tient par les hanches de façon à rentrer sa bite au plus profond de moi. Puis il ressort et me demande de m'asseoir sur lui. Je me positionne comme il faut, une main en appui sur son genou et l’autre sur son torse bien ferme. Je m'assieds doucement sur sa bite et cette position que j’adore me conduit au septième ciel. Sa bite glisse en moi et je me rappelle avoir gémi très fort comme si j’étais en perte de contrôle de moi même. J’accélère le mouvement et lui pendant ce temps-là me dit « vas-y, vas-y salope » d’un ton animal tout en me maintenant fermement les fesses. J’ai envie de jouir mais je me retiens … et comme je le devine sur son visage, lui aussi je pense. A un moment, il s'arrête et me et me guide vers le canapé. Je me mets à genoux cul en arrière et lui debout derrière moi, les mains sur mes hanches pour définir la cadence et voilà qu’il me lime encore de plus belle. J’essaye de cambrer bien comme il faut et il me pénètre bien profondément. Il va jouir, c’est obligé, je le sens à ses mouvements qui deviennent encore plus rapides et saccadés, de mon côté, je suis dans état second, je commence à transpirer comme un dingue. Il m’annonce enfin qu’il va jouir. Je l’encourage et là il retire rudement sa queue et vient debout sur le canapé au-dessus de mon visage. D’une main il se branle et de l’autre m’enfonce un doigt dans la bouche pour me la faire ouvrir bien grand. Je continue à me branler mais j’attends qu’il largue le premier pour jouir à mon tour. Je me rappelle encore son visage se crisper, ses yeux se fermer puis se rouvrir soudainement en me regardant et en poussant un râle a faire vibrer les murs. Son sperme jaillit de sa queue : un premier jet me passe au-dessus de ma tête pour atterrir sur le canapé, un second jet atteint mon front et le reste gicle dans ma bouche. Son sperme est liquide et ses giclées abondantes, je sentais que ça me coulait le long du visage et de ma gorge. Il y en avait tellement. A un moment, j’avais pas mal de sperme dans la bouche, à tel point que j’ai dû avaler. De mon coté, je ne pouvais plus me retenir, j’allais pourrir son canapé, mais rien à foutre, c’était trop bon. Mon visage était recouvert de sperme comme si 3 ou 4 mecs m’avaient fait une éjac faciale en même temps ! Puis il me dit d’attendre et me ramène une serviette. Là je m’essuie et je constate les dégâts avec un trait d’humour : « Putain, tu m'as aspergé toi ! ». Il me répond « ouais je sais, quand je suis bien excité c'est comme ça ». Après une minute, il revient en survêt et me dit : « – T’es un bon coup toi ! » On a bavardé un moment avant que je parte. Là j’ai appris que lui aussi était en couple et que sa copine allait bientôt s’installer avec lui. Il est donc hétéro. Mais il me dit qu'il aime baiser les mecs aussi. Depuis on se croise souvent dans le bâtiment et on se dit bonjour mais sans plus. Jusqu'à dimanche dernier .... mais ça c'est une autre histoire.