Dans les bras d'Idriss, mon petit cousin rebeu
Histoire gay publiée le 10/12/2019
Voici la suite de mon histoire gay ”Idriss mon petit cousin rebeu”. J’en pouvais plus j’étais chaud je voulais qu’Idriss me baise le cul là maintenant, à ma demande il me regarda d’un air surpris et me re embrassa avec passion il était d’accord. Mon petit cousin rebeu allait me faire l’amour avec Passion. Pendant qu’on se roulait de grosses pelles je décidais de virer mon caleçon et me positionner à califourchon sur mon cousin. Encore sous l’effet du désir et de l’excitation j’ondulais mes hanches et mon bassin contre le sien. Tandis qu’il me palpait les fesses, je lui ôtà son caleçon. Nos regard se croisèrent, on n’en pouvait plus. Soudain Idriss me retourna avant d’attaquer ma nuque de petit baiser et de suçon ce qui me provoqua des gémissements aigu, Idriss continuait son chemin le long de ma colonne vertébrale et descendit peu à peu. Arrivé au niveau de la courbure de mes fesses il les lécha avec avidité avant de me les mordre gentiment « Putain cousin tes « gé-char » D’un coup il écarta mes lobes fessiers et y plongea sa langue « Oh putain Idriss, ouiiii » je me surpris moi même. Il me bouffait littéralement le cul, j’aimais ça je gémissait à plein régime (vive le double vitrage et la bonne insonorisation de l’appart’). Je sentis contre mon entrée, quelques choses de beaucoup plus dur plus épais. J’allais enfin sentir sa grosse teub de rebeu en moi. Idriss n’en pouvais plus il débordait lui aussi de désir de me baiser le cul. Il était en feu, ce soir j’allais être sa chose. Il m’agrippa puis enfonça sa grosse bite en moi, je hurlais à la fois de douleur et de satisfaction enfin il était en moi. Il resta sans bouger pendant quelques minutes à m’embrasser puis entama des va et viens, la douleur disparu le plaisir avant pris le dessus au point même où je l’encourageait « Idriss vas-y, hmmm plus vite oui comme ça ptn t’es bon je kiffe hmmm » et lui me répondait « putain si seulement on avait fait ça avant, te baiser c’est le feu ». Les va et vient se faisait plus puissants, plus rudes, on allait pas tarder à lâcher la sauce, il tambourinait sur ma prostate, j’en pouvais plus. J’étais ailleurs, mon trou se resserrà autour de sa grosse queue toujours en moi puis de gros jets de sperme chaude ont jaillit sur les draps, mon torse il y en avait des tonnes. Il en a fallu de peu pour que dans un dernier gémissement Idriss se vida en moi, dans un dernier et long baiser sensuel je sentis son sperme se déverser en moi et coulait le long de mes cuisses. On alla ensemble à la douche bien trop épuisés pour recommencer quelques choses. Avant de se coucher il me chuchota « à charge de revanche cousin » puis on s’endormit dans les bras l’un de l’autre.