Histoires de sexe

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Le livreur rebeu 2
Histoire gay publiée le 02/03/2020
Mercredi matin, à 8 heures le téléphone sonne : « Allo, ma petite petasse ? C’est ton livreur préféré, je ne suis pas loin, je passe avec Malik mon pote marocain qui veut te ken… » « Mais euh, non je ne peux pas ce matin, j’ai un rendez-vous à ma banque… » « Tu fermes ta petite gueule, tu laisses ta porte d’entrée grande ouverte, tu te fous à poils appuyé à ta commode à l’entrée, on arrive… » « Mais je… » J’ai encore le souvenir de son corps contre moi, de ses coups de reins puissants, je suis comme abruti par son ordre, je me positionne le cul cambré, je porte un joli string rose, la porte d’entrée est grande ouverte, mes voisins peuvent me voir, j’ai préparé du gel et des capotes, j’ai le cœur qui bat la chamade. L’air frais qui entre me donne des frissons, j’ai la chair de poule, j’ai juste le temps de reporter mon rendez-vous à la banque, que j’entends les portes de l’ascenseur. Mon livreur rebeu entre avec un autre mec, très baraqué, très puissant. Ils se désapent tous les deux, mon livreur rebeu bande déjà comme un fou, son long membre de 25x8 balance et semble me pointer du doigt et son copain a exactement la même queue, même format, elle suinte du précum. « À genoux petite petasse, suce nos queues ! » Je tiens leurs deux queues, je colle les glands et les lèche comme je peux, c’est comme deux abricots bien rouge, les mecs gémissent… je gagne des points. La porte est restée ouverte, j’essaye de me lever… « Laisse ouverte ta porte, sale petite petasse, il faut qu’on voie comme tu es dépravé ! » Je panique à mort, mon voisin Bruno va partir au taf… je n’ai jamais réussi à baiser avec lui… lui un hétéro… » Son copain me soulève comme une plume, bouffe mon cul, et m’enfile direct jusqu’aux couilles très poilues, il n’a pas mis de capotes. Je serre les dents, je me sens dilaté à mort, les veines de mon cou ressortent, mon livreur se marre, il est adossé à la commode les bras croisés, sa queue collée contre ses abdos… « Je t’avais dit qu’il en avait une grosse, tu morfles hein, pétasse, tu sens bien son gland énorme, c’est bien il prépare bien ta chatte pour mon zob » Je caresse ses grosses cuisses velues, je veux qu’il me démonte, à chaque butée il puissance, je suis saillie comme une jument… je m’ouvre d’avantage… mon livreur est hilare, ses abdos se contactent à chaque rire, ses bras croisés sont très virils, très puissants, ses cuisses sont énormes… Son copain me baise comme un métronome, sans pitié, il veut juter au fond de mon cul, il est à peine essoufflé, il essaye de sucer ma langue, je bouge tellement… Il décule, s’allonge au sol et me fait m’assoir sur son Monster. Je me laisse tomber, la pénétration est hyper profonde, j’écrase ses couilles, ma queue hyper tendue, bat la mesure. Mon livreur la saisit et la comprime à mort, je hurle de douleur. Je vois passer la voisine du fond du couloir avec sa poussette, elle regarde droit devant elle, elle ne m’a pas vu…ouf ! Je veux mettre du gel, sa queue me pilonne à sec, ça chauffe à mort. Mon livreur ouvre ma bouche et me crache dedans plusieurs molards. Il enfourne sa grosse teub arabe dans ma bouche, direct dans le gosier. Il saisit ma gorge, il bloque ma respiration, je panique, je panique, je panique, il relâche juste avant la syncope, dans mon cul la grosse queue a encore grossi. « Putain, mais qu’est ce qui se passe ici ? C’est chaud ! Cool je vais pouvoir vider mes couilles, j’en étais sûr t’es une vraie petite salope toi, tous les jours tu mates mon gros paquet» Mon voisin est à la porte, son pantalon marron a du mal à cacher une grosse érection. Il entre et ferme la porte. Il se met à tout nu, son pantalon et son boxer baissé, il se penche en avant, je mate son cul très poilu et le haut de ses cuisses noires de poils, ses couilles vues de derrière forment une grosse masse, il est très athlétique, sa queue est longue et plus fine, et il me colle sur le copain de mon livreur… il revêt une capote, et tente une double pénétration alors que mon livreur bloque ma respiration. J’ai les yeux exorbités, mon voisin ne s’embarrasse pas et enfonce sa lourde queue, plus fine, jusqu’aux couilles. Je crois que je vais mourir… il est impossible que mon colon encaisse de telles grosseurs… Et pourtant il y a maintenant deux queues dans mon cul et une grosse teub de rebeu dans ma bouche. Je suis complètement dévasté. En même temps je l’ai cherché. Les deux mâles s’activent dans mon cul, je prends un plaisir infini, soudain le copain du livreur grogne, il vient de se vider, il déclenche celle de mon voisin, qui souffle comme un boeuf. Les deux queues sortent, mon voisin se retire, mais mon livreur rebeu préféré entre en moi. Sa queue provoque en moi des connexions de plaisir, les autres c’était mécanique, lui c’est affectif… elle provoque plus que du plaisir, je sens ses muscles fermes à chaque poussée. Il me baise à fond, il claque son bassin contre moi, il me fait plus que l’amour, il me déchire, il me ramone puissamment, il embrasse mon cou en même temps « tu vois ma petite petasse, tu prends ton pied je l’avais promis ». Les deux autres mecs sont assis parterre une limonade et un coca à la main. Leurs queues sont en mode demie-molle, encore grosses, luisantes, prêtes à repartir. Mon livreur lèche mon cou, cela déclenche ma jouissance, 5 longs jets blancs atterrissent au sol, je ne peux pas hurler tellement sa baise est forte, quand j’ai joui j’ai eu mal, mon anus n’a pas pu se serrer sur une queue en béton. Mon livreur adoré tape dans les mains de ses copains, il ressort complètement et me réinvestit à fond d’un coup. Il livre sa marchandise en m’insultant : « tiens sale petasse, je te féconde ta race, ahhhhhh ». Je m’effondre sur le sol, le tapis rapporté du Maroc est sale de nos fluides, mon livreur claque mon cul, il sourit, il a eu ce qu’il voulait. Mon voisin très poilu s’est rhabillé… « à bientôt, mon petit voisin salope, tu vas morfler tous les jours », le copain au livreur s’est endormi et ronfle façon diesel. « Tu vois zamel, on a trouvé un régulier vide couilles. Tu vas avoir du taf, j’ai beaucoup de potes qui rêvent de ça, une vide couille, leurs femmes sont trop sages. » Moi je nage dans le bonheur, mon cul c’est Beyrouth, je n’arrive plus à serrer mon anus, mes cuisses sont sales de jus et d’autres sécrétions… je veux embrasser sur la bouche mon livreur, il refuse. Il repart aussi sec, en me promettant de revenir bientôt. Je reste seul avec son copain qui dort nu dans le couloir. Je mets une couverture sur lui. Et vais me recoucher. Il a dû repartir discret, lui aussi j’ai bien aimé. Je veux encore son zob.