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La perquisition
Histoire gay publiée le 05/04/2020
C'était il y a deux mois, super tôt le matin. Mes parents étaient partis au bled et j'étais seul dans l'appartement avec mon frère plus âgé. Je m'étais endormi après m'être branlé en pensant à Samir un pote du lycée. J'ai été réveillé par un gros boum et des mecs sont entrés dans l'appartement en gueulant "police". J'ai pas eu le temps de faire quoi que ce soit, deux mecs en uniformes sont entrés dans ma chambre et ont arraché la couette, ils m'ont mis debout, plaqué contre le sol dans un premier temps. Mon frère gueulait tout ce qu'il pouvait. Je savais qu'il dealait un peu de mais rien de plus. Un des flics a dit "situation figée". Alors les deux flics m'ont relevé et l'un d'eux m'a plaqué contre le mur. Moi aussi j'étais énervé, je lui disait "doucement Monsieur", lui me disait de fermer ma gueule, que j'allais en prendre une. Le mec a commencé à me fouiller mais y avait pas grand chose à fouiller vu que j'étais torse nu, en short avec dessous un jock strap rouge avec des élastiques blancs. Le deuxième flic est sorti pour fouiller l'appartement et l'autre a commencé à m'écarter les jambes. Puis il a mis la main sur mes couilles et ma bite. "T'as rien là ?" J'avais un peu honte d'être en jockstrap, mais c'était bizarre parce que le flic, la trentaine, bien viril comme un rugbymen, eh ben je le trouvais beau. Il me dit "enlève ton short". Je l'ai supplié, je voulais pas que mon frère me voit comme ça. J'ai refusé et puis il m'a attrapé par le cou "tu vas faire ce que je te dis". Me suis retrouvé presque à poil. Quand ils ont eu fini de fouiller, mon frère m'a vu. Il s'est mis à gueuler "c'est quoi ça ?" "Tu fais quoi là?". Et puis un des flics a dit, il faut qu'on aille fouiller la cave et les bagnoles. Il s'est adressé au jeune flic qui était avec moi en lui disant "Florian, toi tu le gardes ici". Me suis retrouvé seul dans l'appartement avec le flic. Je regardais par terre, parce que j'avais un peu honte et puis en fait il m'excitait aussi. Il me dit "sympa ta tenue" "t'as une gueule à sucer des bites toi". Je lui dis "non m'sieur, c'est pas ce que vous croyez". Et puis il s'est approché de moi. "Je crois rien, ferme ta gueule". Il m'a attrapé le bras et a dirigé ma main vers son paquet. Je sentais derrière son pantalon d'uniforme qu'il bandait un peu. Je lui dis "qu'est ce que vous faites Monsieur ?" Mais je sentais aussi que j'allais pas résister. Il m'a fait mettre à genou devant lui et m'a collé la gueule contre son paquet. J'ai essayé de résister et puis il s'est fait plus pressant. Je sentais qu'il était bien musclé et que je pourrais rien faire. Il a sorti sa queue qui était large avec un gland super gros. Il bandait à fond. "Ouvre ta gueule il m'a dit" Et sans que je comprenne ce qu'il se passait, il m'a enfourné sa queue direct dans la gorge. J'avais jamais fait ça comme ça. Il donnait des grands coups dans ma gueule tout en me traitant de salope de cité. Il s'est arrêté d'un coup en me disant on doit encore avoir 10 minutes. Il m'a relevé et m'a plaqué contre le mur. Il m'a écarté les fesses. Je pouvais rien faire, il était trop fort et puis il m'excitait trop maintenant. Il a mollardé sur mon trou et a craché sur sa grosse queue. Il me dit "t'inquiètes je vais bien faire attention". Il a présenté son gros gland sur mon trou et s'est enfoncé en moi. J'ai eu super mal au début puis il y est allé de plus en plus fort au fur et à mesure que mon cul se dilatait. "T'aimes ça on dirait". Il a attrapé ma queue en même temps pour me branler. Je bandais dur aussi. "t'es bien monté aussi on dirait". Moi je commençais à gémir. Me sentais lui appartenir. Et puis il a accéléré. Ca cognait fort, ma tête tapait parfois contre le mur. Je sentais son ceinturon avec son arme qui tapait contre mes hanches. Et au bout de 5 minutes j'ai senti le sperme chaud couler au plus profond de mon trou. J'avais l'impression que ça s'arrêtait pas. Sa grosse queue se contractait en lachant le foutre et lui il gémissait comme un taureau. Moi j'ai éjaculé de plaisir dans mon jockstrap. Ca m'était jamais arrivé de jouir sans me branler. Il a juste eu le temps de rentrer sa queue, les autres sont revenus. "On dégage" a dit son chef. Tout le monde a vu que mon jockstrap était mouillé. J'avais bien juté aussi. Les flics se sont barrés. Florian m'a dit, à bientôt en me faisant un clin d'oeil. J'ai baissé la tête. Me suis assis sur le lit, j'ai passé ma main sur mon trou. Il y avait plein de sperme. J'avais le cul douloureux mais je n'arrêtais plus de penser à ce qu'il venait de se passer. J'ai juste espéré les jours d'après que mon frère continue les conneries pour revoir le keuf.