Un samedi je reçu un coup de téléphone de mon client Rachid. Il était dans l’urgence et il fallait absolument qu’il me rencontre au bureau. Demandant au préalable si son problème problème pouvait attendre lundi ou se régler à distance, il insista pour me rencontrer. Le temps de me préparer je lui fixais un rendez-vous vous pour 11h. J’arrivais une demi heure à l’avance. A 11h on sonna à l’interphone. J’ouvris et je le vis rentrer dans le bureau. Nous étions au mois de juillet et comme à chacun de nos rendez-vous m’a teub tressaillit. Il portait un short en coton gris et un débardeur large qui laissait découvrir un torse très développé et des bras très musclés. Son short était bien rempli par ses cuisses puissantes et larges et je puis voir son gland dessinait par son short. Il m’expliqua rapidement l’objet de sa demande et je l’invitai à passer dans mon bureau. Je le fis passer devant. Je n’en pus m’empêcher de regarder son cul. Il était parfaitement dessiné sous son short en coton gris. J’en arrivais à la déduction qu’il ne portait pas de sous vêtement. Mes yeux se levèrent, partirent de sa taille en V et remontèrent jusqu’à ses épaules larges et je devinait ce dos musclé qui se dessinait sous son débardeur large qui montrait également des triceps très développés laissant déviner des bras musclés. Il se retourna subitement et m’interrogea sur ce que je regardais. Sans voix je ne puis que dire que je réfléchissais à son problème mais je me sentais rouge écarlate. Je compris que j’étais grillé. Il eu un moment d’attente et sans m’y attendre, il m’attrapa par les épaules et me plaqua contre l’armoire de fourniture de bureau. Mon cœur s’emballa je sentais son torse puissant contre moi il approcha ses lèvres des miennes et il m’embrassa langoureusement. Il finit par un bisous et il le dit bon ma petite chienne on va avancer sur mon dossier. Il rejoignis mon bureau, s’installa sur la chaise écarta les jambes et avant même que je puis puise rejoindre ma place il me chopa par le coup et colla ma tête contre son paquet. Il dit alors qu’il aimait avoir les français à ses pieds pour qu’il lui serve de femelle. Il avait un regard sérieux, dominateur et moqueur. Sa queue gonflais sous mes coups de langue sur son short. Je voulais sortir son paquet mais il me gifla et me dit que c’est lui qui décidait. Une fois bien gonflée et raide, il me l’offrit. Je me délectait de ce membre dont je rêvais depuis si longtemps. Il se mis en mode pacha, mis ses mains derrière sa tête. Il était encore plus sexy. Ses biceps étaient gonflés et montrait sa puissance. Il me dit de bien lécher ses couilles et de remonter le long de son engin particulièrement long et large et me demanda de terminer par son gland. C’est alors que d’un seul coup de rein il me fit une gorge profonde. Et il enchaîna les va et viens en les accompagnant de râle particulièrement puissant. Il me colla la tête sur sur sa queue et j’éssoufflais. Il rigola et me dit c’est bien ma suceuse tu t’appliques bien. Il retira alors son débardeur et je découvris ses abdos secs et bien dessiné et son torse puissant et poilu. Il était avachi sur la chaise les jambes écartés avec moi à ses genoux. Il m’ordonna de me mettre à poil. Excité comme jamais et sans aucune hésitation je m’exécutais. Une fois a poil je le suçais toujours en gorge profonde et je lui massais ses burnes bien lourdes et poilues. Il m’attrapa par les cheveux et me roula une pelle magistrale en m’ordonna de m’assoir sur lui. Nos queues se frottaient l’une contre l’autre et je frissonnais. Il saisit son sac à dos, en sorti un tube de gel et en appliqua sur nos deux queues et il nous masturba nous procurant à tous les deux moments de plaisirs immense. Il commença ensuite à titiller mon trou avec le gel et il prépara ma chatte avec un puis deux puis trois doigts. Je lui disais s’y aller doucement que c’était sensible et je n’avais comme seule réponse ta geule, une petasse ça ne se plaint surtout avant de prendre mon calibre. Il me souleva un peu, fit passer son chibre derrière et contre mon trou et il m’ordonna de m’empaler dessus. Le fait que j’y aille doucement dû l’agacer car d’un coup une douleur immense m’envahit car d’un simple coup de rein il m’avait pris. Il avait un sourire moqueur et dominateur qui m’excitais encore plus. C’est alors qu’il s’allume une clop et qu’il me dit vas y femelle fait on travail et donne du plaisir à ton homme. Je me m’y a sauter sur sa queue plus ou moins vite tout en l’embrassant. Par moment comme bon macho il appuyait sur mes hanches pour me prendre bien profond. Au bout de 10 minutes il me prit par la taille, se leva tout en me soulevant de ses bras musclés et il continue à me prendre contre le mur sans qu’en je ne touche le sol. Je sentais toute sa puissance physique et sexuelle qui se déversait contre moi. J’étais en extase il poussait des râles de satisfactions comme quand on fait un effort physique. Puis il me posa, me retourna contre la table et il me pilonna encore. Au bout d’un certains temps je le sentis gémir et je compris qu’il venait. Il déversa alors tout son jus dans ma chatte. Il s’écroula sur moi et m’embrassât goulûment. Quand il se retira il se tînt debout et il me dit d’en finir le travail en nettoyant sa queue encore bien pleine de son sperme chaud. Je me rhabillais et lui aussi nous reprîmes nos places et nous pûmes enfin traité son dossier. Tout au long de notre discussions, je sentais son jus qui coulait dans mon caleçon qui était trempé. A la fin il me salua en me plaquant contre le mur, en m’embrassant, en caressant mon entrejambe. Je caressais également son entrejambe et je vis qu’il bandait toujours. Il me dit dans une heure à cet hôtel et je te refais ta fête. Ne sois pas en retard et ne me plante pas.