Histoires de sexe

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Promenade dans les bois
Histoire gay publiée le 27/04/2020
A toi, bel inconnue, j’aurai tant voulu apprendre à mieux de connaitre pour t’avoir avec moi, rien que pour moi, en moi, présent tous les jours de ma vie. Merci! Samedi, il fait beau et la température est de 26° degré, je décide de quitter la maison pour aller marcher dans la forêt. Je m'en vais et je prends le chemin d'un des plus grands parcs de la ville. Je gars mon véhicule et je récupère mon sac à dos dans le coffre et tout doucement je prends le parcours qui longe le fleuve et se termine par un archipel de mini presqu'île. Alors que j'admirai le paysage et contempler le reflet du soleil sur l'eau, toute mon attention est attirée par ce cycliste lambda. Un bel étranger qui me fixe du regard comme pour insister sur son désir ardent de me consommer là maintenant sans plus attendre tel un fou avide d'amour charnel. Son désir et son attirance pour moi émane de son coeur, de ses tripes et de son membre viril et finit par sortir par tous les pores et m’irradie sensuellement et sexuellement, mon être tout entier et mon cœur palpite la chamade jusqu'à l'érection pénienne. Sur son vélo, il emprunte un chemin qui remonte jusqu'à moi. Mais je ne lui laisse pas venir à moi, je vais à sa rencontre. A chaque pas que nous posons l'un pour l'autre, c'est notre désir qui grandit l'un pour l'autre. Je tremble de désir pour cet inconnue, cet homme que je ne connais ni d'Ève ni d'Adam mais je ne lui montre pas. Nous nous trouvons face à face et il me dit " Bonjour" avec en prime un charmant sourire, je lui réponds de la même manière. C’est un bel athlète sportif, la trentaine musclé, sec, les cheveux gris clair coupés court à ras avec un beau dégradé sur le côté descendant le long de sa nuque et une belle peau blanche, lisse de porcelaine sans défaut. Ses yeux sont vert, gris, marron qui lui donne un regard profond, puissant, intense mais à la fois sensible, fragile, doux, enivrant dont lequel je me noies à cœur, corps nue en mon âme-frère consentit. A cet instant, je veux faire durer le plaisir, je continue ma route jusqu'à la sortie, sur le chemin je sens son regard se poser et peser sur moi comme pour me dire que de moi dépend son plaisir dont seul un homme avec un homme sait s'offrir. Je me retourne, demi-tour et je reviens vers ce bel inconnu à qui je décroche un second sourire jouissif, à la fois soulager et heureux de me voir revenir vers lui. Il ne m'attend pas, il prend de l'avance pour m'attendre dans un mini bosquet. En route, un couple avec leurs deux chiens me barre le chemin, je patiente le temps qu'ils passent près de moi. Nous nous regardons avec des sourires aux lèvres, nous nous échangeons un chaleureux et respectueux "Bonjour". Je remonte dans la mini forêt, sur le plateau, j'ai le souvenir d'un couple qui se tient sur une des plages façonnées par le fleuve lors des Saintes Glaces. Je prends donc le soin de ne pas les déranger pour causse le jeune homme était assez entreprenant envers sa belle compagne. Je poursuis ma quête où le chemin me fait remonter le courant du fleuve. Lorsque j'arrives au bout de l'île, je tombe nez à nez avec des arbres qui sortent d'une crevasse accompagnée par un sapin verdoyant. J'admire sa grandeur, sa beauté et je puis une fois que j'ai eu terminé mon tour, je suis resté planté là tel un flamby, ne sachant plus quoi faire, ni quoi penser de ce râteau pris en pleine tronche. Isolé et abandonnés, je repris lentement le chemin du retour sans trop me poser de questions, je scrute l'horizon, son vélo est toujours là. Mon cœur reprend ses premiers battements, je sens sa présence dans les bois, je ralentis le pas pour lui faire comprendre également mes attentes. Je stoppe ma marche et je refais le chemin inverse, au même instant je sens sa présence, je sais qu’il est là quelque part et qu’il me regarde et je veux l'obliger à me suivre jusqu'au bord des falaises. A la pointe de l’île, je porte mes 77 kilos le long de mon 1m77 et j'ouvre les bras grands ouvert face au fleuve et le soleil. Je suis dessiné musclé et sec couvert d'une peau caramel, lisse, douce et bronzée à souhait par le soleil de grand yeux accompagnés par de long sourcil et de long cil intensément noir surplombé d'un sublime sourire ravageur que je dessine que pour la gente masculine exclusifs. Je scrute l’horizon pour le chercher et je descends dans le creux de la crevasse et m’adosse sur un des arbres qui avait poussé en ondulant. On détaillant son look je comprends que j’ai affaire à un militaire, un gendarme ou un policier, il maitrise l’art de de camoufler à merveille, notre PCS (plan cul spontané) prend alors des allures de parties de cache-cache où la patience laisse place à l’excitation à l’érection à la mouille pénienne et anale. Dans ma réflexion, il me surprend, il se tient là debout face à moi, se palpe le paquet pour masser son membre gonflé et dur qui est prêt à surgir, cet alors que je coulisse le long de l’arbre pour me laisser descendre en écartant les cuisses au maximum pour l’inviter dans cette grande ouverture dont il s’engouffre. Je m’assois sur mes cuisses et lui ouvre ma bouche. Sans un mot, nous sommes connectés et nous sommes à l’écoute des désirs et des envies de l’autre. Il me présente son intimité la plus secrète. Elle arbore une pilosité taillée et bien entretenue, un muscle parcouru par des veines, une grosse bien dure dont je vais apprendre à mes dépends combien elle est endurante et dynamique. J’embrasse son gland et succombe au délice d’embrasser son frein et puis j’embrasse le tout en entier et aspire en avalant sa mouille son parfum exalte celui d’un homme propre sur lui et saint de corps et d’esprit. Je l’entends gémir de plaisir, je remonte le pan droit de mon short jusqu’ à mon entre jambes pour présenter mon membre déjà durci par la masturbation effrénée que je lui prodigue. Ma bouche est ouverte, je me tiens sur la pointe des pieds assied sur mes cuisses, je me masturbe et il ne sait pas que je ne veux pas lui prodiguer une fellation bien au contraire il va devoir se servir de ma bouche pour se vider en moi. Je prends mon pied avec son pénis dans ma bouche, je le biberonne mais il n’ose pas encore et il ne se contente que de m’effleurer la bouche, avec des vas et vient timides. Mais il n’arrive plus à se contenir. Le bassin vers l’arrière, il est en squat et balance son bassin de l’avant à l’arrière. Des assauts de coup pine bien dure et viril se répète avec une cadence effréné qui indique que cet homme ne s’était pas vider depuis quelques jours voir plus…….. Il enchaine une première et plus il accélère et plus j’accélère mes va et vient avec main sur mon pieux. Il laisse éclater sa frustration, son envie et son désire, ses peurs, ses doutes, ses ennuis… et glisse son membre toujours plus loin pour entamer une gorge profonde. J’avale, avale et le pousse avec puissance pour prendre le temps de respirer. Quand je relève la tête, j’embrasse son gland, il reprend de plus belle pour une deuxième gorge profonde, qui se veut cette fois plus franche et moins timide. Le Lyon mal alpha est sorti et me lime me baisse littéralement l’orifice buccal, mes lèvres encerclent son muscle sans poser de résistance. Mais il augmente la cadence et alors qu’il me bourre la gorge, je secrète énormément de salive que j’avale en même temps qu’il m’enfourne, s’engouffre, gémis, se cambre, écarte et agrandit l’angle de son squat. Il attrape ma casquette en arrière et la cale pour ne pas que je parte en arrière mais nous sommes tous les deux entrainer par la poussée de ses coups queue nerveux. Ma tête est calée maintenant contre l’arbre et ses mains lourdes et puissantes agrippe ma tête par l’arrière à la nuque pour m’aligner dans la trajectoire de ses grands coup sec de pine chevronnés par toutes ses années d’expérience. Une troisième vague arrive, la dernière, je devine mon inconnue. Il me pénétre les lèvres sans retenues, j’émets en abondance de la salive mais je n’ai pas pour habitude et la réputation d’être un salaud. Alors qu’il me déboite la mâchoire, je continue d’avaler plus, encore et toujours. Lorsque j’avale, mon bel inconnu gémis d’une voix rauque et discrète à chaque fois. Sa vitesse à atteint son apogée, j’ai du mal à tout avaler, il effleure, glisse, caresse, racle et me pénètre mes lèvres, mon palis et ma gorge avec une grande vigueur. Il appui sur ma tête et se surélève sur la ponte de ses pieds pour me fêler le palais de sa semence crémeuse et onctueuse qui à jaillit de ses testicules et jouit, jouit, je jouis, il jouit dans une synchronisation parfaitement orchestrée. Nous restant dans le silence pour récupérer de notre activité physique et de nos émotions pour reprendre notre esprit.