Histoires de sexe

Histoires de sexe écrites par des clients

Dans le garage avec Mehmet
Histoire gay publiée le 24/06/2020
Je vis à Paris depuis quelques années, mais je viens de la banlieue, en cité où ma Mamy vit toujours. En lui rendant visite, je recroise le premier mec que j'avais pépon à 18 ans dans mon hall un soir d'hiver, Mehmet. Mehmet est grand, footeux, musclé et surtout, je crois me rappeler qu'il avait une belle bite. On discute en bas de l'immeuble, et très vite il me propose de descendre au garage du sous-sol pour qu'il me montre sa nouvelle voiture. Je bande à moitié rien qu'en m'imaginant seul avec lui mais je préfère rester discret, et j'accepte sans montrer mon plaisir.. Mais à peine arrivé dans le garage au sous sol qu'il m'agrippe et me puissance à mettre à genoux. Il frotte ma gueule contre sa bite qui est déjà bien dure. J'en reviens pas, j'avais oublié à quel point il était bien gaulé (elle doit bien faire 22cm et tellement large que j'en fais à peine le tour quand je la tiens en main). Je baisse son caleçon, et j'avale sa teub direct. Il commence doucement à faire des va et vient et au bout de quelques instants, je le sens de plus en plus chaud, et il se met à me baiser la bouche bien rude. Les pauses se font seulement quand il me biffle en me disant que ma petite bouche de salope lui avait bien manqué. Je le suce pendant de longues minutes, et je suis tellement excité que j'ai envie qu'il me lime le cul. On décide d'aller dans son box pour être plus à l'abri, et il referme derrière lui. J'ai à peine le temps de comprendre ce qu'il va se passer qu'il me bouffe déjà le cul, et à peine 2 min après, il m'empale. Je suis hyper dilaté tellement je suis bouillant mais je lache un cri de douleur mais surtout de plaisir. Il me met la main sur la bouche pour me faire taire, et commence doucement à me faire des va et vient dans mon cul. Je suis sur le capot, en levrette, et il me défonce pendant de longues minutes, en me mettant des grosses claques sur le cul. J'adore, je suis clairement en train de prendre un plaisir de ouf. Je lui dis que j'ai envie de jouir, que je vais exploser mais il accélère comme un dingue et je peux plus me retenir. Je gicle partout sur le capot de sa caisse en retenant mon cri. Il me retourne et commence à se branler sur ma gueule, il me fourre son chibre dans la bouche et me dit qu'il veut se vider lui aussi, je le suce il se branle en même temps, et au moment où je sens ses couilles se durcir, ma bouche se remplit de son jus bien chaud et bien épais. J'avale tout son foutre et je le suce pour bien lui nettoyer le gland. A peine on se rhabille, qu'il me dit que ça faisait plaisir de revoir les anciens, et qu'on peut se revoir à l'occaz, comme si rien ne s'était passé.... Ah ces hétéros..