Histoires de sexe

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Partie de campagne
Histoire gay publiée le 17/07/2020
Je m’appelle Paul, j’ai 30 ans, blond, les yeux bleu, 1m70, 75kg, passif et assez kinky. Après cette période bizarre et compliquée de confinement, j’avais une semaine de vacance autour du 14 juillet. Je rejoins donc des amis dans le sud, à la campagne, pour une semaine de vert et de repos. Le troisième soir ma libido, qui ne cessait de s’accroître depuis mon arrivée, explose ! La soirée et le soda aidant, je me retrouve grisé et au moment de me coucher j’allume une fameuse application de rencontre. C’est vraiment la campagne profonde. Personne avant 60km, et presque aucun visage affiché. Frustré je ferme l’appli pour essayer de calmer mon envie de sexe. À peine 5min après, une notification : un mec connecté a 5km me dit direct « dispo pour plan ? » sans même me demander plus de photos. Excité comme une chienne, je m’organise avec lui sans même lui demander la moindre photo ou le questionner sur ses trips car mon principal soucis était que je ne pouvais pas recevoir, et devais être ultra discret vis-à-vis de mes amis. Une fois mes amis couchés et endormis, je suis ressorti vers 2h30 pour rejoindre discrètement ce mec : environ 40ans, sûrement en couple avec une meuf, pas très beau (selon mes goûts) mais avec un corps très bien foutu. Sans un mot à part « Salut, c’est toi de l’appli ? Monte ! », il m'a embarqué dans sa voiture pour trouver un coin tranquille. Après 10 minutes de route dans le silence, il s'est garé dans un sous-bois pas très loin de chez mes potes. Toujours excité mais stressé par ce silence et la situation, je n’osais rien dire ou faire. Une fois le moteur coupé, il sort de la voiture, claque la porte puis se dirige de mon côté. Il ouvre la portière et direct il me sort de la bagnole. Debout face à lui, un peu surpris de la situation je n’ose pas bouger ni émettre un son. Il se rapproche de moi, me toise de sa hauteur puis d’un geste rapide attrape mon t-shirt et le fait passer par dessus ma tête pour le jeter plus loin. Il se baisse tout aussi rapidement pour virer mon short et mon caleçon et me mettre à genou face à lui, à poil et en basket. Je lève les yeux vers lui et d’une main il m’attrape par les cheveux, remonte son t-shirt derrière sa tête et baisse son survet de l’autre main, me lance un crachat au visage puis approche mon visage de sa queue. Son gland déjà humide de mouille est gonflé de sperme et vient se frotter sur mes lèvres entrouvertes. D’un coup de bassin il passe la barrière de mes lèvres et commence à coulisser dans ma bouche. Il entame des va et vient brutaux, tandis que sa queue durcie dans ma bouche et que par automatisme ma langue se met à jouer avec son gland. Il lève la tête au ciel et entame des mouvements de plus en plus amples jusqu’à ce qu’il s’e car une de mes mains s’est approchée de ses couilles pour les caresser et que l’autre s’était posé sur ma queue devenue raide par la situation. Il me regarde durement et me dit : - « Retire tes mains tout de suite. Mains dans le dos ! » Obéissant, je mets mes mains dans mon dos alors que sa queue reprends son travail de ma bouche et de ma gorge durant de longues minutes. De nouveau il s’arrête, se recule un peu, me crache de nouveau au visage et me sort : - « On sait bien que les petites pédales de Paris elles encaissent tout. Depuis le début tu le laisse faire sans rien dire. Ça se voyait direct à ta gueule sur les photos que tu étais une lope. Et les chiennes comme toi, ca se traite comme ça. » Au même moment un jet de pisse sort de sa queue et il commence par m’arroser le torse, la queue, puis le visage. Excité et sonné par tout le déroulement de ce plan depuis le début, je suis resté immobile sous son jet chaud, la queue toujours dure, et la chatte de plus en plus mouillée d’excitation d’être tombé sur un vrai Domi. Les dernières gouttes s’écrasent au sol, puis il se rapproche, viens essuyer sa queue sur mes lèvres puis puissance ma bouche en disant : - « Ouais, nettoie bien, lèche tout. Sale petasse. Tu vas avoir droit à tous mes fluides. Sale chienne. Tu vas morfler. » Il ponctuait ses phrases de crachats sur mon visage déjà couvert de pisse alors que ma bouche était toujours déformée par sa queue. De nouveau il s’arrête, sort sa queue de ma bouche, m’attrape par les cheveux d’une poigne forte, me relève et en deux pas me colle à plat ventre sur le capot de la voiture et m’écarte les fesses. Je n’ai même pas le temps de prendre appui sur mes bras que j’entends le bruit d’un crachat en même temps que je sens un truc humide s’écraser sur mon trou, puis dans l’instant son gland puissance et sa queue s’enfonce d’une traite en moi. De douleur je me cambre et je tente de pousser un cri qu’il éssouffle direct de sa main sur ma bouche. Il approche son visage de mon oreille et me dit : - « Tu vois, direct au fond » tout en poussant un peu plus son bassin contre mon cul. « Ta chatte est faite pour recevoir des grosses queues et satisfaire les mâles. Tu le sais. Tu étais déjà toute mouillée et dilatée. » il ponctue de nouveau ses mots par quelques coups de reins. « Maintenant, les choses sérieuses. » D’un coup les mouvements de reins se sont accélérés et ont pris de plus en plus d’amplitudes. Habitué à sa queue en moi après la surprise et la douleur de l’entrée, j’ai commencé doucement à gémir, toujours tiraillé entre la peur et l’excitation. M’entendant prendre mon pied, il retire sa main de ma bouche puis appuie sur mon dos pour me maintenir sur le capot et me démonter encore plus fort. Je gémissais et perdais totalement la notion du temps, emporté par l’excitation de la situation, les sensations de cette queue qui me limait comme la dernière des lopes, et la peur qui était toujours là depuis que j’étais monté dans sa voiture. D’un coup, ses coups de reins se font plus brusques et sa main sur mon dos m’écrase encore plus alors que je l’entends grogner et que je sens sa queue tressauter en moi pour se vider de plusieurs jets puissants. Il s’affale sur mon dos quelques instants, sa queue pulse toujours en moi, je n’entends plus que nos respirations saccadées et le vent. Au bout de quelques secondes, il se redresse, se retire de moi, me tire par le bras pour me remettre à genoux devant lui et d’un signe de tête me fait comprendre ma tâche : - « Et surtout nettoie bien. Lèche tout ce que j’ai pas laissé dans ta chatte. » Docile, j’ai obéis et léché consciencieusement sa queue qui se ramollissait doucement pour faire disparaître toute trace de goutte tout en réalisant que je ne bandait plus mais que je m’étais joui dessus (et sur le capot) en me faisant sauter. Mon cul palpitait et semblait inondé d’une quantité phénoménale de sperme. Toujours à genoux et à poil dans le sous-bois, je l’ai regardé remettre son t-shirt, remonter son survet puis me lâcher en souriant pour la première fois : - « T’es une bonne vidangeuse. Rhabille toi ptite petasse, chuis vidé, jte ramène. » Je me suis rhabillé en silence alors qu’il montait dans la voiture et allumait le moteur. Le foutre coulant de mon trou devenu béant. Je suis monté dans la voiture toujours en silence, puis il m’a ramené à quelques pas de la maison de mes potes pour que je finisse à pied, pour pas les réveiller. En voyant les phares de la voiture s’éloigner, je me suis senti très salope, et j’avoue avoir ressenti un peu de fierté. Pour une simple baise discrète improvisée via une Appli, la campagne peut parfois être pleine de surprises.