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Mes 5 voisins, 3 rebeus, 1 black et un blanc
Histoire gay publiée le 11/09/2020
Salut les mecs, je me présente Julien 35 ans, 1m80, blond, yeux bleus, musclé sec et un bon petit boule rebondi qui me permet d'attirer un bon nombre d'actif. Plutôt mignon et faisant moins que mon âge, je collectionne les jeunes actifs. Je vous raconte cette histoire qui m'est arrivé il y a un mois pendant mes vacances d'été sur la côte Atlantique. Je suis partis cette année avec ma meilleure amie sur la côte vendéenne, près des Sables d'olonne, pour 15 jours de détente et de plein air. On a loué un appart avec vue direct sur l'océan. Le top. La 1ere semaine se passe tranquillement, et nous profitons tranquillement de la cité balnéaire. Ma libido commençant à me titiller, je me suis connecté sur une appli gay pour essayer de rencontrer un mec, mais rien de sympa à l'horizon. Je décide donc de laisser tomber. Un soir, alors que je sors en bas de l'immeuble pour fumer tranquillement un pet avant d'aller coucher, j'aperçois une voiture se garer devant l'immeuble. Après un rapide coup d'œil sur la plaque, je comprend que c'est des jeunes banlieusard du 92 qui débarquent dans mon immeuble. Ils sont 5 à sortir. 3 rebeus, 1 black et un blanc, tous plus beaux les uns que les autres, habillés en jogging stylés lascards et bien musclés . Ils arrivent devant la porte de l'immeuble et un des rebeus s'exclame : " Ça sent le bedo ici !" Et les 5 se tournent vers moi, seul sur le côté de l'immeuble. " Eh oui c'est moi !" leur dis je. Le plus grand des rebeus balance alors : " T'as raison mec y a que ça de bon dans la vie, avec la baise", et ils se mettent tous à éclater de rire en choeur. Ils passent ensuite devant moi pour accéder au hall d'immeuble, avec toutes leurs affaires et j'en profite pour scanner en scred les bosses au niveau de leurs joggings. Et visiblement y a du bon matos là dessous. Le dernier qui passe devant moi, le black se retourne alors vers moi et me balance : " Si tu veux du bon matos, on est au 4 ème, t'es le bienvenu mec" ,en continuant son chemin en me fixant dans les yeux et d'un coup avant de prendre l'ascenseur, il met direct sa main sur son paquet et l'agite en me redisant " Moi et mes potes on a du bon matos à goûter !". La porte de l'ascenseur se referme et je les entend éclater de rire à nouveau. Je reste comme un con dans le hall d'immeuble. Je me suis fais griller c'est clair, ils ont capté direct que j'étais gay. Un sentiment d'inquiétude et d'envie monte en moi, mais j'ai trop peur que se soit un traquenard. Je préfère rentrer dans mon appart. Je décide de prendre l'escalier, vu que les jeunes sont dans l'ascenseur et je les entend décharger leurs affaires. Je suis au 6 ème, je monte les marches, je passe devant le 4ème et je les entends parler devant leur appart. Les voix sont distinctes et je comprend vite qu'il parle de moi : " Je suis sûr que c'est un pd le mec d'en bas, je l'ai grillé en train de mater mon paquet. " _" T'es sûr ?" _" Carrément, je lui ai dis qu'on avait du bon matos et je me suis touché le paquet en lui disant et ses yeux sont restés bloqués dessus." _" Si on se trouve pas de meuf pendant les vacances, on sera qui aller chercher pour nous vider" Toujours à l'écoute derrière la porte, je sens l'excitation monter en moi, je commence à me toucher la queue pour me branler à travers mon jean et par mégarde je fais tomber mes clefs. Putain quel con me dis je intérieurement. Je ne fais plus un bruit et marche à petit pas discret dans le noir pour monter les marches jusqu'au 6ème. Arrivé au 6eme j'ouvre la porte et me retrouve nez à nez avec le black de toute à l'heure qui a pris l'ascenseur pour m'attrapper en flag. - " Alors tu nous espionnes ?" me dit il. - " Euh non, non je montais les escaliers" je bredouille avec crainte devant ce colosse de plus d'1m90. - " Te fous pas de ma gueule, tu nous espionnais petite petasse, et j'espère que tu es bien pd comme on a dit parce que là il va falloir que tu te fasses pardonner d'écouter aux portes." me dit il en remettant bien sa queue en place dans son fute. À peine le temps d'essayer de répondre quelque chose que je sens une main m'attraper les cheveux par derrière. C'est le blanc du groupe, il me choppe par la taille et me porte sur lui, il me descend jusqu'au 4 ème et me rentre de puissance dans leur appart. Vite rejoint par le black, les 3 rebeus sont déjà dans le salon à rouler des pets sur la table basse. Le blanc, qui s'appelle Kylian, me balance à terre au milieu de la pièce. Kylian dit à ses potes : " Regardez ce que moi et Djibril on vous ramène les gars" " Elle écoute aux portes cette petite petasse, on va lui faire comprendre que ça ne se fait pas" balance Hakim le plus grand des 3 rebeus. Terrifié, paralysé par cette scène, je me retrouve à genoux devant ces 5 mâles bien vénères. Djibril me fout debout et arrache mon t-shirt et mon petit short, je me retrouve à leur merci, en boxer au milieu du salon. " Montrez lui à cette petasse, qu'on a du bon matos les gars" Les uns après les autres, ils déballent leurs queues de leurs jogging, une farandole de grosses teubs s'offrent à moi, de bonnes queues circoncises bien larges et longues. Acculé devant toutes ses queues, je ne peux plus faire autre chose que le soumettre à elles. J'ouvre la bouche grande ouverte en signe d'obéissance à mes nouveaux boss. " T'avais raison Djibril, c'est une bonne salope que tu nous a trouvé là" Pendant 30 bonnes minutes, je me retrouve à sucer une à une ces 5 grosses queues, toutes plus délicieuses l'une que l'autre. D'un sentiment de crainte, je suis passé à un sentiment de vénération devant ces jeunes mâles virils. Ils me traitent de petasse, de lope, me crachent à la gueule pendant que je pompe sans discontinuer. Je suis au paradis de la bite. Je m'active sur leurs matos comme si la vie en dépendait. J'alterne bouffage de couilles, de queues, de pieds. Djibril vient m'attrapper par la taille, et je sens sa langue titiller ma chatte qui mouille déjà de plaisir. Il y enfonce de plus en plus généreusement ses doigts, crache sur ma rondelle et rentre d'un seul coup sa grosse queue d'un bon 20 cm dans mes entrailles. J'hurle de douleur et Hakim se charge de me faire fermer ma bouche avec une bonne baffe dans la gueule suivi de sa queue en fond de gorge. Je me retrouve avec 4 queues à sucer non stop et une queue en train de me labourer la chatte. Telle une petasse des caves de cités, ils alternent tous les 5 entre ma chatte et ma bouche. Mes trous sont tout à eux, je ne suis qu'une bonne lope dressée à satisfaire ces mâles de banlieues. Au bout d'une heure de ramonage intensif, tous les 5 m'attrappent et me ramène dans la salle de bain, à poil dans la baignoire, à genoux la bouche ouverte, j'attends qu'ils m'honorent de leurs semences. Mes 5 mâles se tiennent devant moi, la queue prête à fournir leur jus. Ils poussent des râles, se contractent et en moins de temps qu'il n'en faut, je me retrouve là gueule recouverte de 5 jus différents, dégoulinant chaudement sur tout mon visage. " Ah putain, les gars c'est de la lope de compet qu'on s'est chopé, on en a pas finit avec toi." Et une a une les 5 teubs déversent leurs pisses sur ma gueule recouverte de sperme et intérieurement je me dis que je dois être aux paradis des lopes. Une fois vidés, mes bons mâles m'autorisent à prendre une douche. Je les retrouve dans le salon, en train de fumer des joints, ils me font tirer dessus. " C'est ta récompense ça la petasse, après avoir tirer sur nos queues" Je les remercie et m'apprête à rentrer chez moi. Djibril me dit avant de partir : " Rendez vous ici tous les soirs, tu seras notre vide couilles des vacances, et t'avises pas de nous faire faux bond, on sait où tu crèches." Je rentre enfin dans mon appart, déjà excité à l'idée de servir de vide couilles quotidien à mes voisins du dessous.