Histoires de sexe

aller bosser à l'entrepôt était devenu un vrai régal car Akim, un rebeu aux yeux inquisiteurs, hyper viril, y travaillait en permanence et mon chef m'y envoyait pour l'aider de temps en temps. Entre les rayonnages, en bonne salope, j'avais pris l'habitude de mettre mon petit cul en évidence quand je bossais car j'avais remarqué que mon rebeu me matait et qu'il se tâtait parfois la braguette. C'est venu très vite, il me prit par derrière et me souffla à l'oreille "t'es une bonne petite salope toi, hein ?" Je sentais sa queue bien dure plaquée contre mes fesses mais il ne passa pas à l'action tout de suite ... Pendant plusieurs jours, il avait un malin plaisir à faire monter ma tension en me massant le fesses au travers de mon jean moulant, de me mordiller l'oreille et de me dire de jolie choses du genre "je vais faire de toi ma petite petasse, ma chienne, ma lope à dispo pour me vider ... Il déboutonna vicieusement mon jean et plongea dans mon slip hyper tendu pour me caresser les boules ... Je gémissais de plaisir ... "j'exige que ma lope porte un jock strap ça m'excite, si tu veux que je te baise débrouille toi pour en trouver un". Ca tombait bien, je venais juste d'en acheter un dans une boutique spécialisée, en cuir et avec tirette. Certain que cela allait lui plaire. Le lendemain, à peine arrivé, il me tira rudement à lui. "Ouvre ta bouche salope" et il me colla deux mollards puis une bonne gifle. "A mes pieds" m'ordonna-t-il. J'entrepris de lécher ses skets en bon bâtard, puis il enleva sa ceinture et ouvrit son jean. Sa queue était énorme, bien épaisse comme je les aime et il bandait ferme, comme un étalon. Il agrippa mes cheveux et me fit lécher son gland puis sucer et enfin il me pilonna en gorge profonde jusqu'à l'éssoufflement. Chaque fois que je ralentissais le rythme, il me menaçait de sa ceinture ... "Alors ma chienne voyons voir si tu as tenu ta promesse", il me déculotta de puissance, "très bien très bien ça". Il bandait à mourir. Il mouilla mon cul puis me déchira d'un coup sec. La douleur fit vite place à un plaisir insensé car le rebeu savait comment faire gémir les petites chiennes comme moi. La position qu'il m'avait imposée pour me bourrer le conduit m'excitait à mort, lui debout contre moi et mes pieds posés fermement sur un rayonnage. J'en ai pris pendant une bonne quinzaine de minutes, ensuite il me jeta à terre et éjacula avec une puissance rare dans ma gueule. Le nectar brûlant coulait partout. Mais mon rebeu savait aussi se montrer reconnaissant. "A toi ma chérie de juter". Il me pris sur une chaise, ouvrit la tirette de mon jock strap et me branla fermement. Ca montait, montait ... J'ai hurlé quand il m'a libéré d'une tension qui était à on paroxysme