Histoires de sexe

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Akim le rebeu - 3
Histoire gay publiée le 12/10/2020
Cela faisait plusieurs jours que j’avais plus vu mon rebeu de l’entrepôt et je déprimais. Quand vint le dîner annuel de l’entreprise, je m’y rendis le cœur battant. Il était là, entouré de meufs, très sexy dans son jean rude qui accentuait les muscles de ses cuisses, barbe bien taillée, les manches de son étroit blazer remontées pour faire entrevoir ses tatouages virils … Voyant toutes ces meufs qui tournaient autour de lui, vexé je fis semblant de ne pas le voir. Mais lui il m’observait, je le sentais trop bien. Le « salopard » s’arrangea pour se mettre juste en face de moi à table. Nous n’échangions aucun mot, mais je senti à un moment donné qu’il me faisait discrètement du pied sous la table. A la fin du repas, il me suivit aux toilettes et là profitant qu’il n’y avait personne il me colla contre le mur et chuchota à mon oreille « viens demain après-midi, j’ai besoin de toi à l’entrepôt, tu vas voir je vais te faire couiner comme une bonne petasse et je vais aussi traire ma chèvre ». Je mouillais direct, voulus palper la grosse de son jean mais il se dégagea et … sortit. Le lendemain je mis mon jock strap de salope (qui le faisait trop bander) et je me rendis dans l’entrepôt à 15h. Hakim mon beau rebeu était introuvable. Déçu, je me mis au travail en rangeant des boîtes sur les étagères. Soudain, il m’attrapa par derrière et me bâillonna de puissance avec un foulard. J’ai senti sa langue explorer vicieusement mon oreille, son souffle chaud, son zob grossir contre mes cuisses qui frétillaient d’excitation … Il n’en resta pas là et entreprit de m’attacher les poignets aux barres de l’étagère puis baissa mon froc. Je mouillais comme une vraie femelle. Là j’ai senti qu’il ne s’occupait pas de ma chatte avec ses doigts mais avec un god d’envergure qu’il maniait avec une dextérité d’expert, un vrai connaisseur de salopes comme moi. En me disant « t’aimes ça hein ma salope » Il avait commencé par des va-et-vient entre mes cuisses pour faire monter la pression puis il me goda doucement puis de plus en plus fort. Je gémissais à tel point que le bâillon se détacha … Pour me punir, il me fessa vigoureusement, me tira en arrière et m’envoya deux bons mollards. Il libéra les liens, me pris par les cheveux et m’entraîna dans un lieu obscur où - bonne surprise - il y avait un matelas … Là il m’a enculé grave et - chose qu’il m’avait promise - j’ai couiné dans toutes les positions quand il a cassé mon boul en bon ouvrier. Pour m’exciter davantage, il ne portait qu’un shorty en cuir et des santiags. Il m’a chevauché et dompté comme un cow-boy. « gobe mes boules salope » me dit-il … « Mieux que ça et lèche mes santiags « et je reçu une bonne gifle. Tout en gémissant sous ma langue de chienne, il se branla et m’envoya trois jets brûlants à la gueule en me regardant droit dans les yeux (qu’il a de braise). Puis il me mit en position humiliante, à quatre pattes, jambes écartées, et il se mit à me traire en m’obligeant en même temps de lécher le god : « va y ma chérie, ma chatte, ma petite chienne, tu es aussi ma chèvre qui a besoin de libérer son lait ». J’ai jouis en hurlant tant la tension accumulée chez moi était forte. En le quittant, il m’a dit « n’oublie pas que tu m’appartiens et qu’avec une femme ce sera jamais pareil, ça m’ennuie ».