Histoires de sexe

Hakim arriva au resto, veste serrée cuir brun et jean très moulant qui sculptait à merveille ses cuisses et qui mettait en relief une braguette bien fournie, un apanage de la virilité de ce mâle dominant. Il me lança un regard noir. Le boss le mit à l’aise direct avec un verre et pendant qu’on étudiait la carte, il dit à l’adresse de mon rebeu : « j’ai upgradé ton pote, maintenant Hakim c’est à ton tour, tu seras chef d’atelier et ton salaire bien augmenté. Ceci dit, j’ai pas du tout l’intention de créer un malaise et je vous propose un « mise au vert », évidemment à charge de la boîte, dans un chalet que j’ai loué en montagne. Mais je vous préviens il n’y a qu’une chambre et un lit ». Le jour J, il vient nous chercher en voiture à un endroit convenu. 4 heures de route … alternance de voiturage entre le boss et mon rebeu qui m’en voulait encore, je le sentais, mais cela ne l’empêchait pas de bander ferme. Ca je le voyais aussi. Le chef dit « Hakim donnes toi du repos, on n’est pas pressé ». Il gara sa voiture dans un chemin, me sortit de puissance, me renversa sur le capot de la voiture et me baisa sauvagement en mode Tmax. Il me dit « prends encore ça salope » et deux fois j’ai eu droit à ses assauts. Les larmes me coulaient sur le visage. Le boss matait cette scène téci, une clope au bec, et dit « ne casse pas trop notre jouet, on en a encore besoin ». Arrivé au chalet, on a fait du feu (faisait glacial) puis, après un bref repas, on s’est préparé pour avaler un verre … Je fus le dernier à sortir de la douche et à pénétrer dans la pièce de séjour. Hakim était en chaps, lunettes noires et cravache à la main. L’ annihile vite jalousie et rancune. D’une main à la nuque, Hakim approcha mon visage des leurs. Nous commençons par un jeu de langues à trois, très sensuel, très mouillé. Me deux comparses me caressaient les cuisses nues car je n’étais vêtu que d’un jock strap, très BDSM, avec tirette à l’avant. A deux ils me firent lécher leurs bottes militaires puis Hakim se retira et dit «faites le sexe devant moi et gare si … ». En guise d’encouragement, je reçus un coup de cravache sur le dos. Les caresses très étudiées du boss me faisaient l’effet d’une bombe, je gémissais sous son travail mais je goûtais aussi ses paroles « ma chatte en chaleur, t’aime qu’on te calme ». J’ai déchargé grave dans mon jock. Il déboutonna sa braguette et me fit lécher son gland puis il m’engloutit de puissance en me tenant par les cheveux. Hakim s’était dégrafé et sa superbe bite était raide comme la tour Eiffel. Il cravacha le boss, nous sépara puis m’ordonna : « baisse ta culotte salope ». Je me suis exécuté puis ils m’entraînèrent en riant, près du feu, et m’obligèrent à lécher mon jock-strap. Après avoir été encouragé àe lécher leurs culs, ils m’attachèrent et me baiseèrent : sucer leur queue en même temps, puis un seul pendant que l’autre me grimpait, le boss lui le faisait avec un énorme gode … Je couinais comme une truie. Les trous bien remplis, un peu sonné, j’allai à la douche avant de les rejoindre pour le dernier verre. A la salle-de-bain, Hakim vint me retrouver et me fit une pelle monumentale et me glissa « tu vas voir cette nuit avec le boss, une vraie lope aussi ». A suivre …