Histoires de sexe

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Comment j'ai rendu service à mon meilleur pote
Histoire gay publiée le 27/10/2020
Avec mon meilleur pote Hakim on se fait souvent des soirées juste tous les deux. Pour déconner on les appelle nos « soirées en amoureux ». La semaine dernière on s’est vu. Il allait pas très bien alors je lui ai proposé de noyer le chagrin dans l’. La soirée était bien entamée, on parlait de tout et de rien quand, l’ faisant effet, il me lance : – Ça fait combien de temps que t’as pas baisé ? – Beaucoup trop longtemps à mon goût. – Vas-y dis combien. – Presque deux semaines. – Moi ça fait plus d’un mois et j’en peux plus. Avec le recul, je me rends compte que nous n’avions jamais vraiment parlé de cul avec Hakim. On se racontait des conneries à longueur de journée, on se faisait marrer, mais on ne se parlait que très rarement sérieusement. L’ le faisait se débrider d’une manière inattendue. – Je bande. – Tu veux que j’arrange ça ? Je ne sais pas exactement à quel moment ce qui n’était qu’une blague un peu beauf mais vraiment pas sérieuse se transforma en réelle envie de sexe, mais toujours est-il qu’en échangeant un regard, on comprit tous les deux qu’on en avait envie. Je m’approchai de lui, ma main s’activa toute seule, elle alla contre son pantalon. Une s’y formait et tendait le tissu au maximum. Je le regardai dans les yeux une dernière fois. Il haletait. Il ne semblait attendre que ça. Une petite voix dans ma tête me disait que c’était peut-être pas une bonne idée, mais elle n’était pas de taille à lutter contre le soda. Je déboutonnai pas à pas la braguette de mon ami, avant de baisser son pantalon, le laissant en boxer face à moi. Alors que je ne m’étais jamais vraiment posé la question, je commençais à le trouver beau. Son caleçon était tendu au maximum. Je ne me fis donc pas prier pour le baisser, et commencer à toucher cette belle bite. J’étais tellement en manque que je me serai contenté de n’importe quoi. Pourtant, le morceau que j’avais dans la main n’était pas n’importe quoi. Il était loin d’être extrêmement gros. Il n’était pas très épais non plus, mais absolument pas petit pour autant. Juste une taille convenable, ce qu’il fallait. Il avait un pénis parfait. Mon euphorie était renforcée par le fait que je m’apprêtais à sucer mon meilleur pote. Je n’avais rien à attendre de lui, je savais que ça ne signifiait rien, un simple service rendu. Ainsi, je ne pouvais pas être déçu. C’était le mieux que je pouvais espérer. Je commençai à agiter ma main sur ce vît. Hakim réagit en tressautant. Sa bite était chaude, et c’était horriblement agréable. Je la saisis plus fermement, pleinement conscient des enjeux, et en même temps, ne contrôlant pas tous mes gestes. Un long râle sortit de sa bouche, et je sus que c’était le bruit le plus excitant au monde. La suite une autre fois.