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L'initiation à l'Arabe
Histoire gay publiée le 31/12/2020
J'avais 18 ans, je venais d'arriver à Paris pour mes études. Grand mais crevette, j'étais puceau. C'était du temps où il y avait des kiosques à journaux à tous les coins de rue. Celui du métro Stalingrad, à la sortie du métro aérien (ligne 2) était tenu par un Algérien un peu âgé (à 18 ans, tout le monde est vieux), qui passait la journée dans son petit kiosque rond où il n'y avait pas beaucoup de place. Était-ce parce que j'étais pas très viril? En tout cas il m'a vite repéré: je lui achetais un quotidien presque tous les jours, et à chaque fois en me rendant la monnaie, il me frôlait la main en me disant "tu es tout mignon, tout gentil". Même un peu innocent comme j'étais, c'était pas compliqué de comprendre où il voulait en venir. J'aimais bien sa voix et il était sympa : j'avais quitté mes parents, j'étais seul à Paris, même si le type il avait l'âge de mon Homme mur, j'aimais bien comment il me regardait et au fil du temps, il retenait carrément ma main pour la caresser. Bref, un jour où je suis passé comme il fermait son kiosque, il m'a dit "viens avaler le thé chez moi", et je me suis laissé entraîner. Ça a été très doux et progressif: chez lui, je me suis déchaussé, il s'est approché de moi et m'a caressé très doucement: les mains, les bras, le torse, le dos, tout en me déshabillant. A cet âge-là, même un type quelconque qui vous touche, vous avez la bite au garde-à-vous. Et puis c'est mieux de se laisser peloter que de se branler soi-même en imaginant comment votre premier mec va vous la mettre profond (sans expérience, je sentais depuis mes 16 ans un creux à combler dans le cul). Je me suis donc laissé faire, principalement. Il n'avait pas l'air de vouloir que je m'occupe de lui, me caresser semblait lui suffire. C'était vraiment un expert et ses deux mains étaient très douces. Il m'a peu touché le sexe, en revanche il m'a vraiment chauffé les fesses, tripotant autour de l'anus sans jamais rentrer ni toucher la corolle. J'ai cru devenir fou tellement c'était excitant cette manière de tournoyer dans la raie des fesses sans jamais y aller, je me cambrais, je me sentais m'ouvrir du trou sans aucune préparation, c'était comme une promesse d'enculade. Bref, j'ai joui sans me toucher en en foutant partout sur le canapé. Il m'a nettoyé et rhabillé, en disant "maintenant tu bois le thé que je prépare, et la prochaine fois que tu passes devant le kiosque tu me fais signe". Je ne l'ai pas beaucoup revu sexuellement après cette initiation (je suis passé à des mecs de mon âge, et aussi à des types beaucoup moins doux et beaucoup plus entreprenants du côté de ma chatte), mais à chaque fois que je passais devant le kiosque, je lui faisais un signe amical et j'avais une demi-molle.