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Au service de mon maitre arabe - 2
Histoire gay publiée le 04/01/2021
Je me mis alors à genoux, mains dans le dos, la langue tirée. Prêt à recevoir la pisse de mon maitre arabe. « Non non, relève-toi, je t’emmène dans la chambre, on recommence comme la dernière fois, je ne veux pas que tu en manque une seule goutte. » Il me prit donc par les cheveux et me dirigea vers la chambre. Une fois arrivé prêt du lit, je me mis en position, tête dans le vide, langue tirée. Je crois qu’il aime vraiment cette position et je dois avouer que moi aussi. Un doigtage de ma gorge et quelques crachats plus tard, il inséra sa queue qui était mi-molle. J’ai tout de suite compris qu’il voulait qu’elle gonfle dans ma gorge. Qu’est-ce que j’aime cette sensation ! une fois atteint la bonne taille, il me bloquait bien la tête pour que je ne puisse plus m’enfuir et une fois de plus, il se servait de ma gorge comme d’un urinoir. Je sentais ma mouille dégouliner de ma cage, et une fois de plus ça me rendait fou. C’est quand il se remit à pilonner ma bouche comme si c’était une chatte que je compris que j’étais à ma place. Utilisé par un maitre rien que pour son plaisir, et pour le miens. Ces vas et vient s’intensifiaient, je sentais sa queue se gonfler, ces vas et vient étaient encore plus intense, je me retenais de pas cracher. Il me rebloquait la tête entre ces cuisses, mis sa main sur ma gorge et me fécondait la gorge. Sperme, pisse, dans tous mes trous. J’étais une cuve à fluide d’arabes. Je ne comptais plus ces jets tellement qu’il se vidait, à croire qu’il ne s’est pas vidé depuis 3 semaines ! « RAHH putain depuis le temps que j’attendais de me vider dans cette gorge, tu n’imagines pas la e que c’était de te voir te faire prendre par mes potes, de te voir leur servir de chiotte et de femelle ! » Il continuait de tasser son sperme bien au fond de ma gorge quand il se retira. « J’espère que tu ne crois pas que c’est fini, je vais m’occuper de ton trou, j’ai acheté quelques accessoires que je voudrais essayer avec toi. Relève-toi » Il me prit par la main et me déplaça. Je pensais qu’il allait enfin me rendre la vue mais ce ne fut pas le cas. Je pense qu’il veut vraiment me donner une bonne punition et je commence à flipper. « Derrière toi, il y a un sling. Tu as juste à grimper dessus et te laisser faire. » Je m’installai donc, il me prit les pieds et me les fixait. J’étais offert à lui. Une bonne petasse jambes écartées, trou à l’air, à dispo. Je m’imaginais déjà la cascade de mec qui viendraient me baiser et baiser de moi. Je suis devenue une vraie chienne accro à la queue. Je pouvais, une fois de plus sentir cette mouille qui coulait le long de ma cage. Il commençait par me doigter. Un doigt, deux doigts, trois doigts, tout passait ! « Bah putain, je vois que mes potes t’ont bien ouvert, et ça sent le bon chiotte d’arabe à l’intérieur, tu serais ravi ! est-ce que tu aimes ce que je fais ?» Pour la première fois il était doux et je dois avouer qu’après des heures à faire la chienne pour 4 mecs, ça fait du bien. « Oui MAITRE » Je sentais quelque chose d’énorme me pénétrer. « Détends-toi, tu es une bonne chienne, tu vas pouvoir le prendre. Je veux que ton trou soit bien dilaté, je veux que tu aies une chatte car tu ne pourras plus utiliser ta bite. » Sur ces paroles, je sentais que mon cul se dilatait. Attends, je pourrais plus utiliser ma bite ? après tout, elle ne me sert pas à grand-chose. Je prends tellement mon pied avec ce mec qu’il pourrait me faire tout ce qu’il veut. « Vas-y, acceptes le gode, accepte ta condition de petasse » Plus il entrait le gode et plus je me sentais libéré. Mon cul se dilatait et je sentais qu’il entrait de plus en plus profond, là ou aucune bite n’est encore jamais allé. « Attendez MAITRE là j’ai mal » Il retirait le gode doucement et me fis reprendre mes esprits en moi doigtant. « C’est très bien, je pense que la longueur on va attendre un peu d’accord ? » Je l’entendais fouiller puis quelques instants plus tard, je sentais un gode encore plus gros. Il veut vraiment transformer mon cul en vrai chatte accueillante. Je ne m’étais encore jamais fais goder. Mais c’est une sensation vraiment à part. sentir son cul s’ouvrir au fur et à mesure. J’avais vraiment mal à la bite tellement que j’étais excité. « C’est bien, tu acceptes tout type de grosseur. Tu es vraiment une chienne qui n’est jamais rassasiée ! » « C’est grâce à vous MAITRE » Il s’approchait de moi, et me roulait une grosse pelle. Il m’enlevait ma chaussette en guise de bandeau. Il me fallait quelques secondes pour me réhabituer à la lumière. « C’est compliqué quand on passe des heures à faire la lopette hein ! » dit il sur un ton ironique. Je rigolais un coup et me releva. « Je veux que tu gardes ta cage, tant que je ne l’aurais pas décidé, tu ne prendras du plaisir que par le cul d’accord ? » « Oui maitre » « Maintenant rentre chez toi, je te recontacterai quand j’aurais besoin » je ne veux pas que tu te douches du week-end, je veux que tu gardes cette bonne odeur de chiotte à arabe sur toi tout le week-end d’accord ? ce que je t’ai fais subir ce soir n’était pas vraiment une punition mais je te conseil de ne pas jouer avec le feu d’accord ? » « Oui maitre » Je me rhabillais et avant de prendre la direction de la porte j’osais lui poser une question. « Comment tu as su pour le travail ? où je travaillais ? tu m’as suivi ? » « Eh petite petasse, ce n’est pas parce que je t’ai fait des compliments ce soir que ça te donne le droit de poser des questions. Je veux juste que tu me sois dévoué clair ? » « Oui MAITRE » Je parti en refermant la porte derrière moi, je regardais l’heure sur mon téléphone, 1h du matin. Putain je vais vraiment avoir une gueule de demain. Je pris l’ascenseur en repartant car je n’avais vraiment plus de puissance, deux soirs à me faire sauter comme une petasse, je n’étais pas habitué. En repartant j’apercevais que le groupe de jeune était toujours devant l’entrée. Pour le coup j’étais moi rassuré que plutôt dans la soirée. Je puais clairement la salope qui sort de se faire tringlée. Je baissais la tête et faisait semblant d’être au téléphone en étant pressé. « Excuse moi mec, tu aurais pas une clope ? » « Désolé, j’ai rien sur moi » « T’étais pas chez Fadil ? » Je suis certainement devenu tout rouge. Je ne savais plus quoi improviser pour sortir rapidement de se bourbier. Mon cerveau était clairement hors-service « Non non je suis venu voir un pote on est resté tard sur la play » j’étais tout sauf crédible et je bégayais. « Tu sens la petasse à plein nez et on sait que Fadil aime dresser des mecs pour en faire des vraies femelles » Je ne savais plus quoi dire. J’étais entouré de mecs qui n’avaient clairement pas l’air de rigoler. Je me voyais déjà aux urgences avec la gueule cassée. Je commençais à me tailler quand un des gars me prit par le bras. « non non, on sait tous ce qu’il s’est passé dans cet appartement et on a envie de tester la marchandise »