Histoires de sexe

Histoires de sexe écrites par des clients

Les rebeus sont des amants merveilleux
Histoire gay publiée le 13/01/2021
J’ai toujours eu un faible pour les rebeus, ce sont des amants merveilleux, bien dotés, qui cherchent leur plaisir et kiffent me faire couiner, quand Djamel vient je mets souvent deux jours pour m’en remettre tellement son fucking est puissant. Mon portable sonne hier soir: Djamel « Yo bastien tu es dispo ? » Moi « il est 22h30 j’allais me coucher ? » Djamel « trop besoin de me vider, je peux passer, et tu me fais ta lope… ? » Moi « ok, mais pas longtemps. » Il a déjà raccroché, c’est un mec qui ne se branle jamais, il ne touche jamais une queue en érection, même pas la sienne… J’avais laissé la porte d’entrée entrouverte, c’est un truc entre nous, je l’entends se déshabiller, il souffle fort, il grogne comme un mâle avant la saillie, il est déjà en mode baise. Djamel « putain j’ai les couilles trop pleines, tu vas prendre salope » Je ne l’ai même pas regardé, j’attends le cul à l’air en levrette, au milieu du lit, du gel, du poppers à côté de moi. Oui il refuse la capote, ça le fait débander dit-il. Je le surnomme la petite trompe. Mon rebeu régulier de 24 ans est splendide, son engin est immense, 23x7 veiné de partout qui part d’une paire de couilles ridicules par rapport à la masse. Le mec est affuté, pas un poil de graisse, pas un poil non plus, un six-pack impeccable, des cuisses très épaisses, des mollets le double des miens, une coupe de cheveux soignée, rasée sur les côtés, tonique monté sur piles, endurant… bref je vais déguster, mais avec Djamel je jouis sans me toucher plusieurs fois de suite. J’en ai trop envie maintenant, il écarte mes fesses et bouffe ma rondelle. Sa langue est grosse et longue, elle dilate bien ma techa, je pousse des petits cris de bonheur, sa salive dégouline sur mes couilles, je la recueille dans ma main et la porte à la bouche. Il plante ses deux index en moi et écarte mon anus à m’en faire hurler, il me prépare à son gourdin énorme. Il me gaze 3 fois par narine, et bien synchronisé, au moment de la montée de chaleur, le zob dégoulinant de gel il m’embroche jusqu’aux couilles. J’hurle à la mort, j’ai l’impression que mes sphincters ont craqué, je dois être déchiré. Djamel est désolé. Djamel « ça va ma chérie ? Scuze ça fait 4 jours que je n’ai pas ken » Disant cela il se retire dans un chloup visqueux, sa queue bat mon cul et m’encule d’un coup jusqu’aux couilles. Je gémis moins fort, la douleur est moins présente, je suis rempli, Djamel commence ses va et vient puissants, il m’a basculé sur le dos et il puissance mon puit d’amour tout en puissance, de temps en temps il me crache à la gueule ou largue un gros molard sur mon trou. Il me ramone avec puissance, j’essaye en vain de serrer mon anus, celui-ci ne répond plus, il est trop dilaté, son énorme gland fait un pop quand il sort, quand il replonge en moi, je bascule de bonheur la tête en arrière, il saisit ma gorge, il bloque ma respiration avant le point de non retour, quand je respire bruyamment il me baise rudement, je suis sa chose, il me donne deux baffes magistrale et me gaze immédiatement, je fais un malaise, il décule et à deux mains il ouvre mon cul, l’émotion est trop forte, je me vide sur mon torse, les jets atteignent ma bouche. Il ne veut plus me voir, il me bascule sur le flanc, tient mes jambes en l’air et me pilonne à nouveau, je ne suis plus qu’un pantin comblé, aux yeux fatigués, mon colon chauffe trop sans gel, Djamel ça le fait durcir. Djamel « Bastien, j’aime trop ton cul » Je sens sa queue grossir encore dans mon cul, il se dégage en un éclair et branche son gland dans ma bouche, je fais le tour avec ma langue, j’accentue sa jouissance. Un flot de jus se déverse pendant qu’il crie son bonheur, j’avale son nectar sucré viril, son énorme membre tressaute dans ma bouche, les jets sont puissants, une dizaine en tout. Il s’effondre à côté de moi, derrière moi, et caresse mon cul ultra-sensible, je me cambre à chaque changement de zone, sa main est calleuse. Il fouille avec ses doigts en moi, je recule ma tête sur son épaule, il prend à nouveau ma gorge et bloque ma respiration par moment pour jouer. Je me soumets, je suis sa chose, il me rude, me donne des gentils coups de poing dans le ventre pour tester mes abdos, appuie sur ma vessie, je pars en live, mon ventre est rouge de ses coups amoureux Il cale à nouveau son zeb en moi, je me recule pour bien l’avoir au fond de moi, il est très long à débander, son gourdin m’accompagne dans ma somnolence, je sens son corps musclé, dur contre moi, il me chuchote des mots d’amour en arable, il veut que je sois sa deuxième femme, il a trop de besoins pour n’en avoir qu’une seule, je saisie ses couilles, je les serre fort, il crie, je les colle bien contre moi. Je m’endors ainsi. Je me réveille à 4h du matin, son membre, toujours en moi me pistonne, comme ça à sec, je déguste, Djamel fait semblant de rêver, je me recule sur Djamel, il re-largue 100 litres de foutre et se rendort immédiatement en grognant, en me serrant fortement contre lui, je suis bien, rien ne peut m’arriver, je l’aime. Il débande un peu, du jus coule de mon cul, je resserre mon anus pour bien le garder en moi. Il partira en râlant vers 6h, saluera la voisine effrayée par ce beau mâle encore bandant, checkera Youri, mon autre voisin russe de palier, qui rentre du boulot, qui me baise aussi et qui a son style plus en amoureux, moins viril, presque aussi bien doté, moins endurant.