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Lopsa niquée par un beau rebeu à Bagnolet
Histoire gay publiée le 26/01/2021
Y a un couvre-feu, mais ça apaise pas celui que j'ai au cul. Je suis grand, cheveux longs, avec un joli derrière musclé, et comme je trémousse un peu en marchant dans la rue, dans mon quartier je me fais vite repérer. Dimanche, je rentrais chez moi en pressant le pas vers 17h50, mais avec la neige qui fondait, j'ai glissé, et me suis vautré par terre comme une crêpe. Et puis mon sac à dos s'est ouvert: du popps et une cagoule - bref, l'attirail de la petite lope en vadrouille mais prête à tout - s'échappent sur le trottoir. Un petit mec qui traînait par là m'aide à me relever. Il me dit en rigolant: "même sans ce qui vient de tomber de ton sac, je t'avais déjà repéré ma mignonne". Le type qui me parle au féminin, ça suffit pour que ma chatte s'ouvre. Il doit avoir 25 ans, joli beur frisé, musclé et un peu enrobé (j'adore, c'est tellement confortable pour téter la tête sur le ventre), il m'attrape par l'épaule, me dit "faut que je te raccompagne, tu t'es peut-être tordu la cheville, je te fais un massage". Il y a des propositions qu'on peut pas refuser. Me faire lever dans la rue, c'est le kiff absolu. On monte chez moi, déjà dans l'ascenseur il me palpe les miches (je sens que le massage ça va être très localisé). Je tripote le paquet, ça promet: jolie queue droite, très épaisse apparemment. Arrivé chez mois, je fais comme d'habitude avec les vrais mâles: je me colle, je caresse, je titille le bout des seins, je mordille les épaules, je tortille du croupion, et zou je me mets à genoux, je gobe le dard qui bande déjà bien, je tète, je branle, je flatte les couilles et le cul. Quelques coups de bassin me montrent que ma rencontre - il s'appelle Mehdi - aime bien aller au fond. Youpi ! Je l'entraîne vers le lit, où je lui fais un fond de gorge : la bite gonfle encore et se durcit, j'ai du mal à tout avaler jusqu'aux couilles, mais en faisant un effort (de toutes façons il pousse bien de son côté), tout rentre bien derrière la glotte. C'est le truc le meilleur: tu t'éssouffles mais tu en veux encore. Il me caresse les fesses, semble bien s'intéresser à mon trou, qui ne demande qu'à être visité. Si tu entres doucement avec plein de crème ça glisse facile, je lui dis (je préfère qu'il soit doux au début, et sauvage après). Il comprend tout de suite le message, me retourne sur le dos et y va tranquillou. L'avantage avec les jeunes c'est qu'ils bandent bien dur; et l'avantage des mecs circoncis c'est qu'ils pistonnent bien longuement avant de cracher la purée. Mehdi fait partie de bons coups: c'est pas un tendre, il aime bourrer profond, mais il alterne, vous laisse reprendre haleine. Le type qui prend son pied mais vous en donne aussi pour votre content. Je couine, je hurle tellement ça chauffe bien mon petit cul; lui il ahane, accélère et... ralentit le rythme: mon cul est tellement ouvert qu'il peut sortir, et re-rentrer quelques secondes après comme si c'était un petit tunnel moulé à la forme de sa bite. Il me dit "serre un peu": je fais comme il dit, du coup j'ai l'impression de masser sa queue, dont je sens le gland frétiller. normalement, c'est quand tu prends la bite en bouche que je peux sentir toutes les réactions qu'une bite peut manifester. Là, c'est dans le cul. Mais comme je lui ai dit que j'aimais aussi le jus sur ma gueule, au moment de jouir, il sort, et m'arrose bien la face. Je lèche son foutre, un peu épais, un peu salé. il me caresse les fesses et je jouis sans presque me toucher. Je n'arrêterai jamais de tortiller du coup dans les rues de Bagnolet.