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Week-end en Syrie 4
Histoire gay publiée le 24/04/2021
Je n'en pouvais plus de porter des caisses et charger les camions. Et entre deux de faire une pipe à l'un ou à l'autre des routiers qui déchargeaient dans ma bouche, certains insistant pour que j'avale... je ne sais pas comment j'ai fait pour tenir aussi longtemps, et je me demandais toujours ce que je faisais là...mais j'étais heureux, je me sentais bien petasse, bien chienne, et ça ne me gênais pas. Ali et moi on est devenus très potes et toute la journée, on restait ensemble (même quand j'étais la petasse de service). En fin de journée, Hassan nous dit qu'il partait le soir même pour l'Irak et me confia officiellement à Ali. T'inquiète, il t'enverra demain ou lundi avec l'un de nos amis qui part à Beyrouth...et il m'emmène dans le hangar où Saïd nous attendait. Il me tend quelques billets d'argent: tiens, tu as mérité ça on en a gagné beaucoup hier grâce à toi, les 8 routiers que tu as vu en début de soirée et 15 autres quand tu avais pris le hachiche...putain de salope, je ne m'attendais pas à ce que tu assures comme ça...et tout à l'heure il y aura quelques uns dont tu vas t'occuper et même quand on sera partis, ceux qui viendront voudront te baiser aussi...eh oui, tu es connu maintenant ici...Ali te donnera aussi de l'argent avant ton départ...Je n'en revenais pas, j'étais vraiment devenu une petasse qui se fait payer... Et sans ménagement, Saïd me tira vers sa bite que je dus sucer un moment puis, me retournant comme un crêpe, il me la plongea dans le cul la sort la plonge à nouveau...non, c'est Hassan qui l'a remplacé...ils ont continué comme cela pendant une heure au moins et dans un râle qui a dû être entendu jusque Damas, ils m'ont joui l'un dans la bouche, l'autre dans le cul...devant un routier qui attiré par le bruit, était entré dans le hangar et excité par le spectacle, remplace à son tour mes baiseurs...et c'est parti, le défilé recommence, hachiche et bites se mêlant de telle façon que je n'ai même pas su quand Saïd et Hassan étaient partis...J'étais un objet sexuel je passais d'une bite à l'autre