Histoires de sexe

Histoires de sexe écrites par des clients

Réduit à un objet sexuel 1
Histoire gay publiée le 26/04/2021
C’était dans un bar gay, ils étaient entrés à deux en fin de soirée visiblement pour chasser car ils m’ont directement repéré et fixé des yeux. Faut dire qu’ils étaient super virils et on sentait toute la puissance qui se dégageait de ces deux mâles en rut. L’un, un rebeu au regard de voyou, barbe de trois jours, peau mat, était bien cambré dans un jean étroit qui accentuait ses formes de manière provocante. Il s’assit face à moi, jambes écartées, je vis le tissu de son jean se tendre au maximum. Sa braguette était entre-ouverte et laissait deviner qu’il ne portait pas de sous-vêtement. J’eu un frisson d’excitation en observant son paquet très prometteur. Il le remarqua et introduisit vicieusement deux doigts dans l’ouverture de son jean et massa son engin. L’autre, plus âgé, était poilu, torse nu sous une veste de cuir noir. Ses pectoraux étaient puissants et il portait une casquette en cuir et des bottes cloutées. Il se plaça derrière moi, me collant aux fesses et me faisait sentir qu’il bandait comme un âne. Sa présence était électrique. Il introduisit sa langue dans mon oreille puis me chuchota : « on t’embarque pour te faire la fête, certain que t’aimes être dressé comme une chienne ». Je me tortillais contre lui, sentant son souffle chaud et frissonnant de désir, le cœur battant. A peine sortis, ils ne firent pas dans la dentelle. Jeté à l’arrière d’une voiture, ils me mirent de puissance un bâillon boule. « C’est pour que tu fermes ta gueule de petite petasse ». Le trajet dura à peine 10 minutes. Le rebeu me sortit sans ménagement de la voiture. Dans l’ascenseur ils détachèrent le bâillon : « ouvre ta bouche salope » et, à tour de rôle, ils m’envoyèrent un mollard. « On va activer tes trous, les remplir pour éviter qu’ils deviennent le désert". Traîné à quatre pattes dans un living, ils arrachèrent mes fringues et ils se mirent d’abord à inspecter mon jock-strap. « Mais elle a mouillé la salope ». Ils rirent, me firent avaler de puissance un verre d’ (« ça détend » me dit le plus âgé) … Ensuite, comme une chienne, collier autour du cou, j’ai été encouragé àe lécher leurs pompes, les bottes du plus âgé devant briller sans quoi j’allais ramasser une raclée à l’aide d’une cravache. Me prenant par les cheveux, ils me forcèrent à lécher leurs colonnes et leurs glands comme on lèche une crème glacée (ils gémissaient sous mon travail « très bien petite salope, t’es trop bonne, continue, encore et encore … ») puis me baisèrent en gorge profonde jusqu’à l’éssoufflement. Mais ce n’est pas que leurs grosses bites que j’ai avalées. J’ai dû honorer également un énorme gode qui - je le devinais - allait servir aussi à autre chose … Emmené dans la chambre, la vraie baise pouvait commencer. Ils me mouillèrent la rondelle à l’aide d’un lubrifiant. En vraie salope, j’étais déjà naturellement bien ouverte depuis le temps que je me faisais sauter par des mecs (rebeu de préférence) … Ils le remarquèrent, ce qui justifia leurs solides coups de butoir. Plus je couinais comme une truie plus ça les excitait ... Comme j’aime résister pour faire monter la tension (tactique des lopes pour bien en « recevoir »), ils ne furent pas avares en gifles et fessées. L’un me tenait les poignets pendant que l’autre me défonçait impitoyablement … J’ai eu droit à toutes les positions avant de sentir leurs jets puissants me brûler les entrailles. Pour finir, le rebeu me menotta aux barreaux du lit, m’écarta les jambes et me baisea avec le gode. Mes cris de douleur puis de plaisir insensé emplissaient désormais tout l’appart et un sourire vicieux éclairait le regard de mes « bourreaux ». Le travail terminé, le plus âgé me prit sauvagement entre ses cuisses et introduisit le gode dans mon jock après me l’avoir fait lécher. Quand la tension contre mon sexe fut « à point » et que je commençais à haleter comme une chienne, il me branla de toutes ses encouragements … « allez allez, c'est l'heure de la traite de notre petite chèvre, c’est bien ma petasse, ça monte je le sens, tu vas cracher … ». En jutant, tout mon corps vibra. Après un temps de repos et un petit verre, ils me raccompagnèrent jusque chez moi en me fixant un nouveau plan pour la semaine suivante. Je leur appartenais désormais …