Histoires de sexe

Histoires de sexe écrites par des clients

Réduit à un objet sexuel 3
Histoire gay publiée le 10/05/2021
Mes deux boss n’étaient jamais en manque d’imagination pour dresser leur lope. Mais ils avaient aussi leurs petits caprices, fantasmes personnels. Si Tom raffolait de s’assoir derrière moi et d’introduire ses mains dans mon short de sport pour me « visiter » puis me « corriger » si j’avais mouillé de la chatte (il maniait très bien la cravache et j’adore ça), Khalil était plus imprévisible. Lorsque nous allions avaler un verre dans un endroit public, le code était simple. S’il se levait et me faisait un signe, cela voulait dire qu’il avait un besoin urgent de se vider les couilles. Je devais alors instamment le rejoindre dans les WC où soit il m’éclatait sauvagement le fion soit il se branlait pour ensuite m’inonder la gueule de son sperme toujours très abondant et brûlant. Faire ça dans une cabine, avec le risque que l’on nous entende, m’excitait grave ... Un soir où nous prenions un verre dans un hôtel, il me glissa à l’oreille « tu dois aller aux toilettes du sous-sol, c’est discret, et attendre ta surprise ». Intrigué, je m’y suis rendu sans discuter. J’étais en train de me laver les mains quand surgit un rebeu qui se colla à moi, me mit les mains aux fesses puis m’entraîna sans ménagement dans une cabine où attendait un autre rebeu, bogoss musclé, sourire ravageur mais prédateur, son énorme bite raide de raide et exhibée comme un trophée … « Voilà c’est la salope de K. » chuchota mon ravisseur qui me poussa vers l’engin sacré qu’il m’était enjoint d’honorer convenablement. Ma bouche est chaude, mes lèvres expertes et ma langue agile (« putain il fait mieux qu’une meuf »), mais là j’éssoufflais sous les coups de butoir du beau mâle. Mon gosier était en feu et l’autre me tenait par le cou et les cheveux pour m’empêcher de mettre un temps d’arrêt ou même de partir. « Avale Salope, Encore … ». Le rebeu qui me tenait ouvrit son jean, cracha deux fois dans mon trou, me monta comme on monte un cheval ou plutôt comment on doit dompter un jeune cheval sauvage. Pendant qu’il me pilonnait avec une dextérité déconcertante pour me donner l’extase qui envahissait tout mon corps, en me tenant la bouche pour m’empêcher de crier, l’autre matait et se branlait. L’explosion fut intense, j’ai eu du foutre en interne et en externe … Après un lavage avec les moyens du bord, ils me raccompagnèrent au bar où nous attendait le Khalid. Ils nous ont offert un soda, deux mecs à vrai dire très sympa. Khalid me dit « tu dois être épuisé mais là prêter ma petasse à deux potes de teci ça m’excite grave, aller je t’invite au resto et puis on va chez moi et faire dodo, ce soir je ne te baiserai pas dans la cuisine ou sur la machine à laver même si tu raffoles de ça » …