Histoires de sexe

Mes deux potes (Khalid et Tom) allaient me recontacter très vite pour de nouveaux plans. Bien que j’étais devenu leur salope attitrée, ils étaient très protecteurs avec moi et ne manquaient jamais de respect. Un soir, en rentrant de son boulot, Tom (le plus âgé des deux) m’appela pour que je vienne prendre un verre chez lui. Khalid allait nous rejoindre mais plus tard. A peine la porte franchie, j’ai commencé à bander à la vue de mon maître dont les muscles se tendaient sous un harnais très serré. Il portait sa casquette et des chaps en cuir sur un jean délavé. Son jean était tellement étroit que sa braguette semblait prête à exploser. Il nous servit un verre puis on s’installa dans le canapé. Très vite, il commença à me tâter, déboutonna de puissance mon jean et entreprit d’explorer ma petite culotte. « Très bien, elle mouille ma petite chienne, elle est à point ». Il me prit par les cheveux, me força à ouvrir ma gueule et me lança un puissant mollard. Il me mit à genoux entre ses jambes qu’il avait écartées un maximum. « Fais ton travail salope » et il plaqua ma tête contre son paquet. J’entrepris de lécher sa braguette, ma langue s’introduisait vicieusement entre les interstices des boutons et je sentais son puissant membre viril tripler de dimension ... Il penchait la tête en arrière et grognait de plaisir. Lorsque ma bouche fit sauter le dernier bouton et que sa colonne fut libérée, je lui ai léché délicatement le gland avant de marquer une petite pause qui n’en était pas vraiment une car je me mis à lécher ses chaps comme une chienne. Sentir le cuir m’excite au point que je n’ai plus besoin de poppers pour m’envoyer en l’air ... Ensuite il déchira mon teeshirt, me déculotta et m’installa rudement sur ses genoux. « Tu aimes être sur les genoux de ton Maître, hein t’aime ça salope ». Après m’avoir enfilé le bâillon boule, mes jambes écartées sur les siennes, il m’empala d’un coup sec et précis. Pas besoin de lubrifiant, je mouillais tellement que sa colonne glissait sans problème dans mon conduit … Il me tenait fermement les mains derrière le dos. Le va et vient de sa bite me faisait couiner derrière mon bâillon. Il me ramona pendant une demi-heure avec des pauses pour que je sente bien la puissante virilité qui avait colonisé mes entrailles. C’est dans cette position que Khalid nous surprit. Directement il ouvrit sa braguette, retira mon bâillon, me fit gober ses boules et me baisa la gorge avec une telle fougue que mes yeux se couvrirent de larmes ... Ils jouirent quasi en même temps, remplissant mes deux trous de leur nectar brûlant. Toujours empalé sur la bite de Tom, Khalil me donna une dose de poppers et m’ordonna de me branler. Tom prit la relève afin de me traire à fond, « comme on vide une chèvre » me disait-il ... Quand la jouissance commença à gagner en puissance, je me mis à vibrer de plus en plus en poussant des cris de femelle en plein orgasme. Epuisé, ils me proposèrent de passer le restant de la soirée chez eux et de partager leur lit. J’ai accepté tout de suite sachant très bien que la nuit serait courte. Ils allaient me baiser à tour de rôle …