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Week-end en Syrie 6
Histoire gay publiée le 02/07/2021
Je reprends le récit là où je l'avais laissé la dernière fois...quand j'attendais de trouver quelqu'un qui me ramène à Beyrouth. Pendant qu’Ali et moi sirotions un thé en fumant un joint, une voiture militaire s’arrêta à quelques mètres de nous et du hangar. Deux militaires en descendirent et se dirigèrent vers nous. C’est mon cousin Mustapha me dit Ali en donnant l’accolade au plus jeune des deux, un gars de 25 ans environ, peau mate, d’une beauté à damner, que les top model lui envieront, et lui, c’est le capitaine Reda, ils partent au Liban et t'emmènent avec eux. Mais il y a maintenant un problème, nous dit l’officier, nous partons désormais en service commandé et je ne peux pas emmener de civil…sauf si... j’ai une idée…et il me flanque une gifle magistrale qui me fit tomber dans les bras de Mustafa…Pardon, dit l’officier, mais en te maltraitant un peu, je peux dire que tu es un prisonnier et comme ça tu viendras avec nous en tant que tel. Par contre, je te préviens, dit-il un sourire aux lèvres, mes hommes se lâchent souvent un peu avec les prisonniers...il faut bien qu'ils s'amusent! T’en fais pas, lui répond Ali éclatant de rire, il est capable de s’occuper de tout un régiment. Mais bordel, j’ai rien à dire moi ? je proteste alors et en réponse, je reçois un bon coup de pied qui m’envoie par terre accompagné d’un flot d’insultes. Depuis quand les moins que rien ont leur mot à dire, dit Mustafa en me soulevant de terre et me roulant une pelle. Je ne comprenais plus rien! J‘étais maltraité battu comme un vulgaire brigand et par ailleurs, embrassé par une beauté sous l’oeil envieux de Ali et de l’officier. Bon dit l’officier, tu as envie de t’amuser Mustafa on dirait, alors te gêne pas…je te laisse la petasse pendant que je prends mon colis. Et me voilà emmené dans l’arrière chambre au fond du hangar. Mustafa me roule des pelles, me crache dans la bouche, me malaxe les seins, les fesses, ses doigts cherchant mon trou…il me dessape et m’attire à lui tombe son pantalon me puissance à m’agenouiller devant lui à renifler son sexe à travers son caleçon puis à sortir son engin d’un bon 21/8 qu’il me fait lécher, sucer, pomper…autant que je pouvais le prendre en bouche même si je m’éssoufflais puis sans crier gare, d’un coup de pied me balance sur un matelas et sans ménagement me défonce en me faisant hurler de douleur voire de plaisir…oui, de plaisir! plus on me baisait, plus on me défonçait et plus j’étais content, c’est comme si mon cul était anesthésié…et il y allait fort me plongeant ses doigts en bouche tout en me ramonant le cul, me faisant jouir sans me toucher. Il sort sa bite et la rentre rudement et il allait plus loin à chaque fois et soudain se raidit en me balançant au fond du trou son jus en sept rasades puis sortant sa bite me la donne à nettoyer… Capitaine, dit Mustafa à l’officier en se mettant au garde à vous, vous allez vraiment aimer cette salope, tout ce qu’Ali nous a dit est vrai, rien ne l’arrête et elle encaisse merveilleusement bien. Je n’en revenais pas, on parle encore de moi comme d’un objet sexuel qu’on peut tester, utiliser, jeter et je n’avais rien à dire…tant mieux, répond Reda, s’il peut satisfaire mon unité…peut-être que je le garderai quelques jours pour leur plaisir, ajouta-t-il en rigolant et voyant mon air paniqué, non ne t’en fais pas, il dit, j’ai promis de te ramener au Liban aujourd’hui et à Beyrouth, tu y seras. Une heure plus tard, après les adieux chaleureux de Ali, on m’attache les poignets et en voiture…Nous roulons un petit quart d’heure et arrivons à une caserne militaire…Là on me descend de voiture et un coup de pied m’envoie rouler à terre…On l’emmène avec nous, dit Reda aux hommes qui l’interrogeaient à mon sujet, je dois le remettre aux autorités là-bas…et sans plus d’explication, il leur intime l’ordre de se préparer au départ. Aussitôt dit, aussitôt fait, deux jeeps ou je ne sais quoi et un petit transporteur de troupe s’ébranlent. On m’a fait monter à l’arrière de la voiture de commandement Mustafa au volant, le capitaine à côté, derrière m’encadrant, deux militaires armoires à glaces d’une quarantaine d’années, moustache proéminente qui ricanent en me regardant. Dans la deuxième jeep quatre hommes et six dans le transporteur. J’étais mal à l’aise les poignets attachés maintenant dans le dos et je tanguais de droite à gauche contre mes gardes puis à un moment l’un d’eux m’attrapa par la nuque me poussant jusqu’à sa bite qu’il sortit alors pour me la donner à pomper au rythme des chaos de la voiture. Putain qu’il suce bien ce chien, dit-il, mieux que n’importe laquelle des putes du borj …et pour moins cher dit-il en éclatant de rire...puis je l’entends haleter et dans un grognement en sourdine me balance quelques jets de son jus que, bien entendu, je dus avaler et je me relevais à peine que l’autre se vide à son tour dans ma bouche…juste au moment où nous arrivions à la frontière…Tout le monde à terre cria le capitaine et lui vous le laissez là dit-il en parlant de moi…Plusieurs minutes s’écoulèrent et je ne savais pas ce qui se passait moi à l’intérieur de la jeep fermée transpirant comme un malade, lorsque la porte s’ouvrit et un militaire monta à bord avec une bouteille d’eau. Il me mit le goulot à la bouche pour me faire avaler. Il paraît que tu es une bonne suceuse, dit-il, tu veux bien t’occuper de moi ? et joignant le geste à la parole, retire la bouteille sort sa bite et me la met en bouche…J’ai failli dégueuler tellement elle sentait l’urine le sperme, le pas lavé depuis plusieurs jours mais je ne pouvais rien faire d’autre que pomper ses mains tenant ma tête et lui faisant faire des va et vient sur sa bite jusqu’au moment où il se raidit pour décharger dans ma gorge…tu avales tout, aucune goutte par terre sinon tu vas tout lécher ajouta-t-il. Est-ce que tout était programmé je ne sais pas mais deux hommes montèrent dans la jeep à ce moment et lui dirent de rejoindre sa voiture pour le départ et que c’était à eux de me surveiller pendant le trajet…et c’est reparti, au hasard des virages du chemin, je me balançais entre les deux militaires dont l’odeur de transpiration était très forte…et une fois de plus, ma bouche fut mise à contribution pour leur plaisir éjaculatoire dans ma gorge de salope, de petasse, de…je ne sais même plus de quels noms ils m’ont traité !!! A la douane libanaise, j’ai été étonné d’entendre Reda parler aux douaniers sans respect aucun. A la réflexion je me dis que l’armée syrienne se comportait comme envahisseur et par ailleurs, je n’ai pas eu besoin de sortir ma carte d’identité aux deux frontières… mais c’est vrai, attaché comme je l’étais, je ne pouvais rien faire de mes mains… et c’est comme si je n’existais pas ou que j’étais une vulgaire marchandise…les douaniers savaient-ils que j’étais dans la voiture, je ne sais pas. A Tripoli enfin, Reda me fait descendre de voiture, me fait détacher et m’emmène à l’arrière du campement où nous étions arrivés. Je prends une voiture civile et je t'emmène à Beyrouth dit-il, je suis désolé pour ce que tu as pu subir en chemin…malheureusement pour moi, je ne pouvais pas participer aux jeux de mes hommes mais si jamais on se revoit, je m’occuperai bien de toi. Au bout d'une heure de trajet, il s'arrête aux abords d'un restaurant, on va manger un bout et tu vas reprendre des encouragements, dit-il en me caressant la joue...Après un bon repas où j'étais son invité où nous avons bavardé comme de vieux copains, j'ai envie de toi, me dit-il...et nous voilà partis en voiture jusque dans une forêt à proximité et là il me demande (oui, il me demande) si ça ne me gêne pas de le sucer. Honnêtement, j'étais chaud et je me sentais en manque de bite! je me suis jeté alors sur son bas ventre, j'ai dégrafé son fute et sorti sa bite...un engin qui m'a fait pousser un gémissement de plaisir à le lécher, le sucer, le pomper...je m'y suis tellement bien appliqué que au bout d'une bonne quinzaine de minutes il me largue au fond de la gorge un litre(!) de foutre que je ne peux qu'avaler, puis se retirant il m'ordonne de descendre de la voiture et vient vers moi, m'embrasse goulument me baisse mon short et me fait m'appuyer sur le capot et crachant sur mon trou, commence à y rentrer sa bite qui commençait à reprendre du volume. Putain, on dirait vraiment que tu en as envie...mais oui hurlais-je, je te veux, vas y défonce moi...à croire qu'il n'attendait que ça car il m'a alors ramoné à la cadence d'un marteau piqueur, et plus il y allait, plus j'en demandais en jouissant deux fois sans me toucher...au bout de ce qui m'a semblé être une éternité, mais pas suffisante pour me rassasier, il lâche quelques rasades de son foutre au fond de moi puis se retirant d'un coup me donne sa bite à nettoyer...Ils ont raison de dire que t'es une bonne petasse, me dit-il avec un sourire comblé, je n'ai jamais aussi bien pris mon pied!...En voiture, on papote un peu et enfin à Beyrouth il me dépose du côté ouest (les syriens n'étaient pas bien vu à l'est où j'habitais) en me filant un papier avec son nom, son grade, son régiment et me faisant promettre que si j'avais jamais un problème je l'appellerai sans hésiter... Quelque temps plus tard, les bombardements de l’armée syrienne m’ont empêché de revoir tous ces amants voulus ou imposés…qui sait si un jour je croise un général syrien prénommé Reda qui me reconnaîtrait ou le bel Ali et son cousin Mustapha…En tout cas, le hasard fait que je n’ai plus jamais couché (si je peux dire ça) avec un syrien…