Le rebeu du bar à chicha
Histoire gay publiée le 13/07/2021
Le téléphone venait de vibrer. La nuit était tombée depuis peu, et je m'ennuyais à mourir en cette fraîche soirée d’été. En vacance depuis peu, et mon voyage s’étant annulé à la dernière minutes, je cherchais désespérément une occupation sur cette application de rencontre. Je suis brun à lunette, et comme l'adage le dit : "homme à lunette, homme a quequettes". J'ai toujours été attiré par les mecs un peu virile. Cette virilité s'apparente chez moi par des mecs de la rue, des mecs en TN, Jogging, sportif. Mon téléphone vibrait encore une fois. Un garçon certes sympathique, mais qui ne m’attirait pas, trop bon chic bon genre. Il semblerait que je vais de nouveau finir ma soirée avec la main dans le caleçon, seul. Allongé sur le canapé, je me suis motiver à sortir prendre l’air et dégourdir mes jambes. Alors que je sortais de mon immeuble, je matais allègrement les rebeux et blacks de quartier assis a la terrasse du bar à Chicha, de pure merveille. Je sentais mon cul frétiller à l’envie de me faire prendre. Après 1:00 de balade dans les rues de Paris, je décidais de rentrer chez moi. C’est donc la clope au bec que j’ai de nouveau traverser la terrasse du bar à Chicha. Perdu dans mes pensées, les écouteurs vissées aux oreilles, je n’ai pas aperçu le caïd du quartier me faire des gestes de la main. Alors que je passais à son niveau, il me pris fermement la main, m’effrayant quelques peu. Je me suis arrêté et l’ai regardé de haut en bas. Il portais un survet de running noir under armour, moulant mais pas trop, et laissant apercevoir ses chevilles recouvertent de petites chaussettes blanches, et de belle TN rouge et noir. Sa main n’avait toujours pas lâché mon avant bras alors qu’il me demandait une cigarette. - Tu sais rouler, lui dis-je en essayant de garder tout mon calme - Ouais, vas gros passe moi de quoi Je sortais de mon sac à dos le tabac, les filtres et les feuilles tandis qu’il me proposait de s’assoir à côté de lui. Pendant qu’il roulait, je ne pouvais m’empêcher de regarder son morceau bien trop gros pour l’entrejambe de son jogging et dont on devinait une très belle largeur. Il le remarqua et étendu ses jambes, faisant bouger la bête. Alors qu’il allume sa cigarette, il me dit d’une voix ferme « je finis ma clope et on va chez toi ». J’acquiesçais, relativement timide et espérant que quelques chose de sympa se produirait. A peine quelque minutes après, nous nous retrouvions à attendre le petit assenceur pour monter au dernier étage de mon immeuble. Alors que je m’y engouffrait, il me suivait de près, j’étais toujours dos à lui et sentis son bassin se frotter à mes fesses. Je me retournais pour lui faire face. Oh dieu ! Je ne m’attendais pas à être si proche, sentir son penis gonfler sur ma cuisse et son parfum enivrant. L’espace de quelques secondes, nous nous regardions. Je ne pouvais quitter ses yeux verts et ses magnifiques cheveux bouclés. Je fermais les yeux, et rapprocha mon visage un peu plus proche du siens. Je sentis sa main passer sous mon t-shirt, se poser sur mon bas du dos et me rapprocher fermement de lui. Son autre main se plaça à l’arrière de mon visage, et nos lèvres se sont collés. Sa langue commença à passer entre mes lèvres. Elle s’enroula tout autour de la mienne. Ses mains me tenais fermement. Je m’abandonné à ses baisers. A peine la porte de mon appartement refermée, il me plaqua contre le mur. Je sentais son paquet gonfler à travers le jogging, j’y posa la main pour la caresser. De ses bras puissant il me pris par les hanches tout en me léchant le cou. - Je vais te faire du sale, dit-il en me mordillant l’oreille. Puis, sans crier garde, il me lâcha et alla s’installer sur le canapé. Je restais là, devant l’ouverture, n’osant pas bouger. Il prenait possession de mon appartement, et je ne savais pas comment réagir. Il pris dans mon sac de quoi se faire une autre cigarette, puis s’affaissât sur le canapé, les bras posé sur le dossier. Il me regarda, fit un mouvement de tête et me dit « à genoux ». Je me plaça entre ses jambes, et essaya de descendre son jogg. Il me dit « non ». Interloqué, je me suis arrêté et l’ai regardé. Il prit une taffe, et dans un grand mouvement écrasa ma tête sur son paquet. - voilà c’est bien, fais la grossir avant de la sortir. Je m’appliquais à lécher son membre à travers le tissus, mordiller un peu le gland, et de caresser avec ma joue son entrejambe. Il soupirait. Je baissais son survet, et apparu devant une bite bien épaisse comme j’aime. J’ai approché mes lèvres de son gland et ai commencé à l’entourer de ma langue. Entre deux taffes je l’entendais soupirer. Lentement, j’engloutissais son gros chibre. Une fois au fond, je passais ma langue tout autour, faisant des mouvements de va et viens. Il commençait à me caresser les cheveux tout en gémissant. Après quelques va et vient, je bloquais ma tête, sa bite bien au fond. Alors que je me relevais un peu pour reprendre de l’air, il appuya avec sa main. Il se rapprocha de mon oreille et me chuchota « on va y aller un peu plus rude ». Il se releva, me laissant à genou avec sa queue dans la bouche, puis passa ses deux mains à l’arrière de ma tête. Je sentais son bassin effectuer des petits mouvements. Je ne pouvais plus bouger. Ses mouvements se faisaient de plus en plus vite, et de plus en plus profond. A chaque fois qu’il atteignait le fond de ma gorge, un râle virile se faisait entendre. Je manquais plusieurs fois de m’éssouffler. Ma salive commençait à sortir de ma bouche, et couler le long de mon menton. Il me defoncait littéralement la gueule, et j’aimais ça. A un moment, il se retira, et le regarda, la bave coulant et les yeux rouges. Je ne sentais plus ma bouche tant son énorme bite m’avait limé. - Vas y enlève ton short et tu te couche sur le sol, me dit il en essuyant la bave de son penis. Alonge sur le sol, je courbais un peu mon cul. Je sentis un premier puis un deuxième cracha afin de me lubrifier. Il passa ses doigts pour diriger le liquide dans mon cul, puis entra rudement deux doigts. J’étais tellement mouillé que cela rentra sans problème. Il s’allongea sur moi, son bras plaquait mon cou et ma tête au sol, et avec son autre main, il présenta son gland a l’entre. Il fit quelques mouvements de bassin afin que mon anus s’élargisse. J’étais bien en se début de dilatation, et commençais à gémir mon plaisir. Il le sentis, et s’enfonça d’un coup sans crier garde. Je poussais un râle de soulagement, bonheur. Il resta au fond, puis colla son torse à mon dos. - ça va bébé, me murmura-t-il a l’oreille - Hum… oui ! Il releva totalement son bassin, et s’écrasa dans mon cul, ses boules claquant le miens. Ses mains descendirent pour se placer devant, au niveau de mon penis. Ses mouvements s’accéléraient, le bruit s’intensifiait. Je hurlais de plaisir, tant chaque coup de reins m’explosait et son penis s’écrasait sur ma prostate. Entre plusieurs « oh oui c’est bon » « putain quel boule » et « prends ça, tu kiffes hein ? » il releva mon bassin afin que je sois à quatre pattes. Il s’agrippa a mes hanches, et commença un pilonnage en règle. Ses coups déplaçait mon corps. J’avais du mal à tenir la position. Il finit par hurler son plaisir, et déversa son jus en moi. Il m’écrasa des tout son poids, la bite encore dans mon cul. On restait allongé quelques minutes, lui sur moi, m’embrassant le cou. Il se retira rapidement, et se rhabilla. J’étais toujours sur le sol, le cul remplis et élargis. Mes jambes tremblaient encore. - je dois y aller désolé, on se cale une prochaine fois c’était cool. Il ferma la porte. Il devait être parti depuis 5 minutes quand je me décida de me relever et de prendre une douche.