Baise à Nice - 2
Histoire gay publiée le 22/07/2021
Salut, c’est Kevin, black d’1m80 qui kiffe toujours autant les rebeus... et les mecs qui ont des bons petits boules 😜 Curieusement, j’avais pas trop la motivation de raconter mes plans depuis le confinement/couvre-feu : les mecs étant confinés, j’avais pas envie de me chauffer inutilement. Mais bon, l'été est revenu et les hormones s'emparent de moi. Je vous avais raconté ma baise avec Sofiane, un rebeu de Paname que j’avais retrouvé à Nice dans Baise à Nice avec Sofiane. Je l’avais bien cartonné et m’étais bien vidé en lui. A la base, ce plan avec lui n’était pas prévu : je l’avais rencontré par hasard et le plan prévu initialement était avec un cefran qui kiffe les renois. Donc, après avoir baisé Sofiane, je rentre chez mon pote, histoire de me reposer et être en forme pour le lendemain soir. La journée se passe, plage et matage de bogosses bien bronzés. 18h arrive, je pars retrouver Yoan (Yo pour les intimes), c’est son nom, à son hôtel. Il m’indique le numéro de sa chambre, je monte et frappe à sa porte. Le mec ouvre : un peu plus grand que moi, cheveux châtain et des yeux verts qui sentent le vice 😏 Je rentre, on se checke et je m’installe sur le lit. On parle de son taf, du sud, de banalités et de politique. Oui, oui mdr Tellement que ça dure une heure et qu’aucun de nous deux ne fait le premier pas. C’est comme si on avait oublié la raison pour laquelle on se rencontrait 😅 Yoan est le premier à se reconnecter et me caresse la cuisse. Je suis un peu down par ma nuit de baise de la veille mais ma teub, elle, se réveille. Yo se rapproche de moi et me roule une bonne pelle. Ca m’électrise et mes mains sont baladeuses. Elles se dirigent vers son beau cul tout rond. Yo se lève et se désape devant moi. Je peux enfin tâter son boule. Bien entendu, je me gêne pas et je malaxe copieusement ses fesses. Lui continue de m’embrasser à pleine bouche. Putain, il sait y faire pour me chauffer. Ma teub bande déjà à fond et j’ai trop envie de sentir son boule tout au bout. Lui ne perd pas de temps et se jette sur ma queue pour la sucer façon Chupa Chups. Il se rde bien ce petit céfran : il commence doucement par le gland puis gobe entièrement mes 19 cm, s’éssouffle avec puis reprend son souffle. 5 minutes à ce régime là et il aspire ma bite comme un fou. Putain il m’a bien fait durcir de ouf. Il faut que je goûte à ce boule. Je le retourne et je lui bouffe la rondelle. Son trou, tout doux, s’ouvre gentiment et m’invite à lui glisser des doigts. Ni une ni deux, je lui fourre mon index puis mon majeur. Il est mûr le Yo. Il se relève, me chauffe avec une bonne grosse pelle, s’allonge sur le dos et me présente sa chatte. Un petit mollard dessus et mon gland se présente à l’entrée. Je puissance un peu et le mec s’ouvre tout seul en poussant un râle. Je n'ai jamais vu un mec gémir autant de plaisir lors de la pénétration. A croire qu’il n’attendait que la bonne teub de Kevin Son trou serre mon zeub juste comme il faut. Ni trop ni trop peu. Hummm l’un des meilleurs culs que j’ai baisés. Je commence à taper dedans, comme si ça faisait 2 heures que je le limais. Le mec gémit de kiff et me balance des “Oh oui” “Vas-y baise moi” Je lui réponds : “T’inquiète, je vais m’occuper de toi” Je passe la seconde et lui donne des bons coups de reins. Il couine et moi je bande à fond sous l’effet de sa chatte serrée. J’essaie de garder le contrôle car je pourrais juter en 5 min. Je ralentis un peu la cadence tout en rentrant et ressortant mes 19 cm. Ca glisse trop bien, pas besoin de lub. On se roule des bonnes pelles histoire de partager notre kiff. Il me choppe les tétons et là, je ne sais plus où je suis. En quelques va et vient, je sens le plaisir monter. Mais je veux pas lâcher la sauce maintenant. Je lui ordonne de me lâcher les tétons sinon je vais le remplir dans les 2 minutes. Heureusement que la clim tourne à plein régime car on est trop chauds tous les 2. Il me roule à nouveau des pelles pour faire redescendre la pression, mon jus arrête son ascension et je peux recommencer le limage de son boule. Yo se remet à me masser la bite avec sa rondelle magique mais je suis fort dans ma tête. Je balance mes meilleurs coups de rein et son cul encaisse tant bien que mal. Le céfran s’agrippe à moi et à mes tétons. Putain le bâtard, il exploite mon point faible. Je suis dur comme du bois et le sperme monte par vagues dans ma queue. Je lui balance : “Où est-ce que tu veux mon jus ?” Il me fait : “Où tu veux” OK mais moi mon truc, c’est remplir un bon cul qui m’a fait kiffer. Il fait rouler mes tétons entre ses doigts et mes couilles sont en ébullition. Je fais encore 5 va et vient et dans un cri bien viril, je me vide dans son cul. Putain ce que c’est bon. Je m’écroule sur son ventre. On transpire comme des bêtes et on reprend progressivement notre souffle. Je sors ma teub, on se lève, je le suis, je lui balance une fessée et on part se doucher. Je me sèche, je me rhabille et, avant de me casser, on se jure de remettre ça, à Nice ou à Paname.