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Baise à Paname
Histoire gay publiée le 23/07/2021
Salut, c’est Kevin, black d’1m80 qui kiffe toujours autant les rebeus... et les métis il faut croire lol Le premier confinement est terminé depuis un mois et je me connecte sur un site de rencontre gay. Les mecs sont chauds mais, après avoir été sevrés pendant quasi 2 mois, ils veulent de la baise vite faite mal faite. Moi je veux un mec qui veut déguster de la bite. La baise type fast food, c’est pas pour moi. Une fois les choses posées, un métis antillais – Loris, c’est son nom – me contacte. Il est un peu plus âgé que moi mais ça le fait. Le courant passe bien et je le sens bien passif, tendance chaud/vicelard. Il me vend du rêve mais je veux savoir ce qu’il a dans le ventre. Il me sort qu’il veut se faire prendre en main par un bon mâle actif. Oué mais quoi encore ? “Me faire tamponner le boule puis me faire remplir la chatte ou la bouche” OK t’es à la bonne adresse mec ! On se cale un rendez-vous pendant une journée de télétravail. Lui vient chez moi et le mec n’a pas menti : même habillé, il sent le cul à plein nez. Hummm je crois que je vais bien m’amuser 😏 ! Le mec s’installe sur le canap, je nous sers à avaler et on commence à discuter de tout et de rien. Au bout de 10 minutes, il s’approche de moi et me roule une pelle. On s’embrasse pendant 2 bonnes minutes et je sens sa main remonter le long de ma cuisse. Il tombe sur ma bite qui commence à bien durcir. Il commence à la masser à travers le short que je porte, tout cela en continuant de m’embrasser. Le short est bien déformé par mon érection (je ne porte pas de sous-vêtements) et je fais durer le plaisir en attendant qu’il me dessape. De mon côté, je déboutonne sa chemise histoire de le mettre à l’aise. Il m’allonge sur le canapé, retire mon T-shirt et baisse mon short. Il saisit ma teub, l’enfourne direct en bouche et commence à me sucer tranquille. Hummm trop bon ! Il ne se contente pas de monter et descendre dessus, il resserre bien ses lèvres autour de mon zeub pour bien le faire durcir. Il n’y a pas à dire, ce mec se débrouille bien. Il vire le reste de ses vêtements et nous voilà à poil dans le salon, fenêtre ouverte. Il continue sa pipe et moi je lui caresse le dos. Je vais en direction de son boule, généreux à souhait. Je passe un doigt sur sa rondelle qui se met à frissonner direct. Je le retourne et on attaque un 69 en règle. Pendant que lui continue à me polir la teub, moi j’écarte ses fesses et ma langue part à l’assaut de son trou. Son corps tressaute et son anus se détend progressivement. J’y glisse un doigt, puis 2. Le mec assure et pourrait me faire juter rien qu’avec sa bouche. Mais, un tel boule, ça se déguste au bout d’une teub ! Lubrifié comme il est avec ma salive, le mec pivote, me roule une bonne pelle et me dit : “S’te plaît bb, baise moi !” Toi, tu ne veux pas me le répéter 2 fois !! Je le bascule en levrette et mon gland vient tapoter sa rondelle : elle est un peu serrée mais semble pouvoir l’aspirer sans trop de difficultés. Je puissance encore un peu et mes 19 cm rentrent facilement. Oh putain, c’est bon ! Lui aussi pousse un gémissement de kiff. J’attaque doucement le limage de son cul avant de rapidement accélérer. Loris encaisse comme un pro et supporte le rythme sans broncher. Je m’accroche à ses épaules et balance des bons coups de reins. Au bout de 5 minutes, on change de position. Il est debout devant le bar, se retourne et constate que le voisin dans son jardin peut nous mater en scred. Je lui dis : “J’en ai rien à foutre, je veux ton cul !” Ca ne le traumatise pas et il me tend son boule. Je suis trop chaud à l’idée que les voisins pourraient se rincer l’oeil et je repars à l’assaut de sa chatte. Les coups de bite sont bien hard et le kiff est partagé. Je commence à sentir la sauce monter tout doucement alors je me calme. Il me dit : “Baise moi dans ton lit” OK pas de souci ! On va direct dans ma chambre. Il se fout direct sur le dos, je cale ses jambes sur mes épaules et je reprends la sodo là où je l’avais laissée. Je ne suis pas plus tendre dans ma chambre que dans le salon. Je continue à bourriner tout ce que je peux et ma bite tape copieusement sur sa prostate. Le mec jouit du cul et ferme les yeux. Il pose ses doigts sur mes tétons et les fait rouler entre son index et son majeur. Ca a le don de me faire décoller. Je lui balance : “J’ai envie de jouir” Il me répond : “Vas-y bb, remplis-moi !” J’essaie de me retenir de juter le plus longtemps possible mais la sauce remonte ma bite à vitesse grand V. J’arrête de lutter contre le plaisir et dans un râle, je dose mon petit métis à coup de jets bien crémeux. Je m’effondre sur son torse et on reprend notre souffle progressivement. Pas besoin de débriefer notre baise, il est clair qu’on a surkiffé tous les 2. On discute à nouveau de tout et de rien et lui me caresse le torse. Puis sa main descend vers ma teub. Il caresse mes couilles et... je ne sais pas mais je me raidis à nouveau. Putain, j’en veux encore. Lui est chaud aussi. Pas de blabla cette fois-ci. La dose que je lui ai mise l’a bien lubrifié, je peux attaquer direct. Je le fous en levrette et je rentre sans prévenir dans son boule chaud et humide. Son cul, c’est comme certains plats, c’est encore meilleur réchauffé mdr Je suis en mode marteau piqueur et je le démonte de ouf. Son cul fait des vagues sous l’effet de mes coups de bite. J’accompagne ma baise de claques sur ses seuf. Putain, je suis bien chaud. Ca se remet à bouillonner dans mes couilles. Je ne vais pas tarder à larguer à nouveau la sauce. Encore 5 coups de rein bien placés et dans un cri rauque, je le dose pour la deuxième fois. Après un ultime va et vient, je ressors ma teub : un filet de jus s’échappe de son trou et coule le long de ses couilles. Yes ! Ca c’est ce que j’appelle de la baise bien virile ! On file à la salle de bains, on se galoche sous la douche et on se rhabille. Avant que Loris se casse, je lui sors : “Il faut trop qu’on remette ça”. Il me répond : “Quand tu veux bb !” Lui, il n’y a pas de doute, je l’ai rendu accroc à mon zeub.