J’étais dans ma période de rut - quoique cette période- ne s’est jamais vraiment arrêtée - Je dialoguais alors avec un mec un poil plus vieux que moi sur une appli de rencontres. Il était du genre trapu, le teint plutôt halé et portait une barbe de 3 jours. Le genre Homme mur de famille à qui on a envie de faire plaisir. On échange quelques banalités, des pics de sa queue et de la mienne. Il a l’air d’avoir un bon calibre. Il me dit qu’il est domi léger. J’ai bien envie de lui faire plaisir, à ce mâle, bien bâti. D’après la géolocalisation on est pas très loin. Effectivement il tient une boutique de fleurs non loin de chez moi. Il me propose de baiser dans la réserve. J’avoue que l’idée est excitante, et puis ça me changera des caves aux odeurs âcres et humides. Ni une ni deux, je me prépare pour rencontrer ce beau fleuriste à la tige large et à la sève fraîche. Je choisi un jock qui met mon cul en valeur, un jean qui me fait un bon cul, un t-shirt avantageux et mes tn. Ça accentue mon côté mec viril. Ça excite bien ce genre de mec, les gars commet moi avec un look viril mais bien lope au lit. J’arrive dans la boutique. Il est occupé avec une cliente mais on se capte du regard et a ce moment là je comprend que mon cul va prendre cher. De toutes façons je suis venu pour ça. Il termine le bouquet avec la cliente et me dit d’aller dans la réserve. Je m’exécute. Il ferme la porte du magasin et appose le petit écriteau « je reviens dans quelques instants » Il se dirige vers la réserve avec le regard vicieux. Il entre dans la réserve. On se roule des pelles profondes. Je touche son sexe à travers son jean. Je sens une bonne grosse queue. Il lit dans mes yeux que j’ai faim de bite. Après ce roulage de pelle, j’ouvre son jean et caresse sa queue à travers son slip. Son membre ne demande qu’à sortir. Je renifle son Teub à travers le slip. L’odeur de mâle rempli mes narines et me rend encore plus affamé. Mon cul mouille. Je passe ma bouche sur son slip. Le fleuriste sors alors sa grosse queue et me la met direct dans la bouche. Sa queue me rempli la bouche et me donne une bouffée de plaisir. Le mec viril que je suis se transforme en lope affamée de queue. Je le suce bien à fond. Il a l’air d’apprécier au vue des râles que le fleuriste pousse. Je commence un va et vient sur sa queue qui présente des veines bien marquées. Je le suce alors de plus en plus profond. Mon regard lui indique que je veux encore plus. Il prend alors ma tête pour mettre sa queue encore plus profond en moi. Il voit que j’aime ça. Il aime ça. Ça pue le mâle en rut au milieu des orchidées. Il me demande si je veux qu’il me prenne. J’attend que ça. Je crois qu’il a lu sur mon visage que je réclamait de la Teub en moi. Je baisse mon jean. L’effet que provoque mon jock sur le fleuriste est immédiat. Ça m’excite comme un âne. Il bande encore plus dur. Il me met direct sa grosse queue entre mes fesses. A ma surprise ça rentre tout seul malgré la taille de l’engin. Comme quoi quand on a envie d’une bonne queue ça rentre tout seul. Même pas besoin de poppers. J’ai les coudes sur l’évier qui sert à nettoyer les fleurs pendant qu’il le mdefonce le cul. Je sens qu’il aime ça. Je l’encourage en lui disant de m’enculer plus fort. Il accélère le rythme et je sens ses couilles taper sur mes fesses. Cette sensation me rend encore plus demandeur. Je suis sur un petit nuage. Mon trou est bien ouvert. Sa queue est bien dure. On est en phase. Je sens sa queue durcir en moi. Il me lime avec un bon rythme. A chaque fois que ses couilles tapent sur mes fesses je pousse un râle de plaisir bien roque Je me sens bien ouvert et bien chienne. Un sentiment de pleinitude m’envahît. Dans un ultime coup de queue, je sens la queue du fleuriste se durcir encore plus et lâcher son jus. Cela provoque une vague de plaisir en moi et je lache une bonne glacée de sperme chaud sur le sol. On se roule une bonne pelle et on se rhabille vite. Il faut réouvrir la boutique, boutique ou un mélange d’odeur florale, de sperme et de transpiration règne désormais …
