Histoires de sexe

Histoires de sexe écrites par des clients

Premier jour de stage ouvrier
Histoire gay publiée le 10/09/2021
La fin tant attendue de cette première année en école de commerce est enfin arrivée. Il était temps ! J’en avais marre de passer mes journées le cul sur un banc dans un amphithéâtre à regarder par la fenêtre. J’ai hâte de partir à la Baule pour bronzer au soleil et reprendre la voile. Si Rémi est là, on pourra faire du bateau ensemble et, qui sait, s’amuser avec les cordages comme l’été dernier… Mais un petit détail me sépare de ces vacances rêvées : le stage ouvrier. Je vais devoir passer tout le mois de juillet enfermé entre quatre murs ! Quatre semaines d’ennui total. Quand il a fallu le choisir, j’ai opté pour un garage automobile. Comme il faut quelques compétences techniques, on ne me demandera pas de participer. Je n’aurai qu’à regarder faire. Quand même, la plaie. L’endroit est un peu isolé. Le premier jour, je monte dans ma voiture en traînant les pieds pour me rendre sur le lieu de stage. L’heure de prise de poste était fixée à 7h30. Une fois que je me suis garé sur le parking, je regarde ma montre : 7h45. Je bâille. En voyant mon niveau de fatigue, je suis sûr que le patron aura pitié de moi. Un quart d’heure, ce n’est pas si grave. J’arrive devant la porte qui est grande ouverte. — Bonjour, il y a quelqu’un ? — Qui c’est ? gueule une voix grave dans le fond. — Alex ! C’est pour le stage étudiant. Le mec pose ses outils et approche. C’est un rebeu d’environ quarante ans, aux biceps imposants, en débardeur blanc couvert de traces noires et jean. Plutôt bel homme. Il plante ses yeux noirs droits dans mes yeux. — C’est à cette heure-là que tu te pointes ? — Désolé, je n’ai pas l’habitude de me lever aussi tôt, dis-je en lui montrant mon sourire le plus charmeur. Il se rapproche lentement au point où je sens presque son haleine. — Si tu bossais pour moi, avec un début pareil, tu serais déjà à la porte avant même d’avoir commencé. Dépêche-toi d’aller te changer au vestiaire avant de te prendre une fessée déculottée. Croyant à une blague, je commence à rire. Mais son expression menaçante me persuade de m’arrêter net. Sans mot dire, je le suis à l’intérieur. Conformément à ce que j’avais imaginé, la journée passe très lentement. J’ai échangé à peine quelques mots avec le boss. J’ai appris qu’il s’appelle Ahmed et que sa femme et ses progénitures sont au bled. Je regarde ses deux ouvriers effectuer leurs tâches habituelles. Ils ont comme moi la vingtaine, mais les mains plus rugueuses. — T’as jamais bossé, toi, je suppose, me lance l’un d’eux alors que je le regarde d’un œil vague. — Si, l’été dernier. J’ai vendu des glaces sur la plage. — Mouais. Boulot de planqué. Ils rigolent et se remettent à leur labeur. Pendant ce temps, depuis son bureau aux vitres transparentes, Ahmed travaille sur son ordinateur en nous lançant de temps en temps un regard scrutateur. Mais travaille-t-il vraiment ? Il regarde fixement son écran, l’air captivé, sans bouger sa souris et les doigts de sa main droite sur sa braguette. Est-ce qu’il regarde un porno au boulot ? Ce serait énorme ! J’ai bien envie de le surprendre en pleine action… J’avance donc discrètement vers la porte du bureau en faisant attention à ce qu’il ne me remarque pas. Manque de bol, mon pied produit un craquement en arrivant derrière lui, ce qui lui laisse le temps de fermer l’onglet sur son navigateur avant que j’aie pu voir quoi que ce soit. — Qu’est-ce que tu fous là ? hurle-t-il. Il n’a pas l’air content. Je jubile intérieurement de l’avoir mis mal à l’aise. — Pardon de vous déranger, Ahmed, dis-je hypocritement. Je sais que je suis censé finir à 16h30, mais je crois que j’ai vu assez de choses pour aujourd’hui. J’aimerais bien aller à la piscine et profiter un peu de cette belle journée. Je peux partir un peu en avance ? — C’est hors de question ! Tu fais tes heures, point barre. Faut que t’apprennes ce que c’est que le boulot. Je sens qu’il aurait bien aimé ajouter « p’tit con ». Je veux encore argumenter, mais il vient de me tourner le dos pour bien me faire comprendre qu’il n’y a plus de discussion possible. Un peu dépité, je retourne m’asseoir sur la chaise au milieu du garage. 15h30 à ma montre. Encore une heure à tirer. Ahmed a l’air assez occupé à présent. Il est au téléphone et regarde par la fenêtre. Il me vient tout à coup une idée : et si je me barrais discrètement ? Je rigole d’avance en imaginant la tête qu’il fera quand il le découvrira. Ou peut-être qu’il ne le remarquera même pas d’ici 16h30. J’attends que les deux autres gars aient le dos tourné, je prends mon sac et me dirige rapidement vers la sortie. Une fois sur le parking, je chausse mes lunettes de soleil et je me mets à siffloter. Il fait très chaud. Je prends mon temps pour regagner ma voiture. C’est alors qu’une main ferme se pose sur mon épaule : — Tu t’arrêtes tout de suite. C’est Ahmed. Je sens que je vais passer un sale quart d’heure. Il m’agrippe les deux bras et me secoue en me gueulant dessus : — TU VAS ARRÊTER DE TE FOUTRE DE MA GUEULE PETIT CON !! Ça y est, il est sorti, ce « petit con » qu’il gardait pour lui tout à l’heure. Je sens que s’il perdait le contrôle, il pourrait me faire mal. Je n’ose plus bouger. Je ravale ma salive. — Tu vas l’avoir dans le cul quand je vais parler de ton comportement à ton école. — Oh, vous savez, de toute manière, le stage n’est pas noté, dis-je d’un ton désinvolte. — Ah ouais ? Pourtant, je te garantis que tu vas l’avoir dans le cul quand même. Je ne comprends pas sa menace et me mets à sourire. Soudain, il m’attrape les mains, me retourne et me pousse par terre. Je tombe. Je crie. Je le sens qui déboutonne mon jean à toute allure. Il me l’arrache. En moins de deux, je me retrouve à poil, à genoux sur le béton. — Tu vas te prendre une fessée, mon jeune homme. Une volée de claques me tombe sur mes fesses. Il m’attrape par les cheveux. Je commence à avoir mal. Je dois avoir les fesses rouges ! Puis il finit par s’arrêter. Je crois que c’est fini. Puis je sens deux de ses doigts qui entrent dans mes fesses. — AÏE ! — Je suis sûr que tu aimes ça, pédé. Tais-toi. Je suis complètement dominé, il m’a vaincu avec ses coups. Je sens son gros dard de rebeu qui entre dans mon trou. Putain ! Il aurait au moins pu cracher dessus quoi ! Mais non, il a décidé que j’allais prendre cher. Je ressens une vive douleur quand il puissance mon second sphincter. Il me déchire l’anus. J’encaisse en haletant mais je sens un plaisir qui efface la douleur. Alertés par le bruit, ses deux ouvriers arrivent pour voir la scène, goguenards. Ils se regardent, puis sortent leurs zobs et se mettent à se toucher. Ils se branlent de plus en plus fort. Ils rougissent. L’un d’eux commence à changer de tête : il va jouir. Sans avoir le temps de comprendre ce qui m’arrive, je me prends son jus en pleine face. Puis c’est au tour du deuxième qui m’ouvre la bouche de puissance pour y déverser sa semence. Ils se rhabillent. Quant à Ahmed, il a terminé de me pilonner. — Allez, lève-toi. Et que ça te serve de leçon ! Je me lève et me dirige en boitant vers ma voiture. Je n’ose pas me retourner vers le boss. C’est clair que, maintenant, je filerai droit.