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Hassan et sa petite chienne de plaisir
Histoire gay publiée le 14/09/2021
Ce mec de mon quartier je l’avais déjà repéré depuis un petit temps : un beau rebeu, barbe de trois jours, pectoraux de sportif, regard perçant, jean sexy qui moulait parfaitement ses jambes musclées et qui laissait deviner un engin très prometteur. Il s’aperçut très vite que je le matais et, un soir que je rentrais du lycée, il me dit rudement « toi je te tire quand tu veux ». Mon cœur se mit à battre mais, comme j’habite chez mes parents, je lui ai dit que ce n’était pas possible sauf s’il pouvait recevoir. A ma grande joie, il me répondit « passe chez moi ce soir à 21h ». A peine arrivé chez lui, Hassan me plaqua contre la porte : « ouvre ta bouche salope ». Je reçu un puissant mollard puis une gifle « mesurée » mais qui fit immédiatement son effet : une rude érection qui ne se calma pas car ses mains me caressaient l’entre-jambes avec une dextérité rare, sa langue fouinait vicieusement dans mon oreille ce qui me donnait un plaisir de dingue … Je mouillais grave de la chatte au point que je lui ai demandé d’arrêter car je sentais que j’allais me décharger. Il m’entraîna sur le sofa et me dit sans ambages « je cherche une ptite lope à dresser, un vide-couille régulier, ta taille de crevette et ton air d’aguicheuse me conviennent, tu seras ma petasse et je vais bien m’occuper de toi, on va d’abord voir ce que tu sais faire » …. Il écarta les jambes, m’empoigna par les cheveux et plaqua ma bouche contre sa braguette. J’entrepris de sniffer et de tâter, de déboutonner lentement puis de lécher son membre qui prit rapidement une taille impressionnante. Comme je sais y faire, en bonne salope je l’ai d’abord sucé en mode ventouse. Ce qui le fit frémir et pousser des râles virils de satisfaction. En longue session, il m’a défoncé le gosier en marquant des temps d’arrêt pour que je puisse me reprendre. Pour le dessert, il a craché dans ma chatte avant de me mettre sauvagement à califourchon sur lui. Il appelait ça « la chevauchée sauvage ». Pendant une demi-heure, il m’a soulevé pour me pilonner de plus en plus fort jusqu’à ce que je me mette à gémir puis à crier. La cadence était parfaite et je me suis vite habitué à maîtriser cette position de « lope empalée » qu’il raffolait. J’avais donc réussi mon bulletin. Mais très vite nos jeux ne se limitèrent plus à de simples plans de défonces. Il était carrément imaginatif et je raffolais d’être dressé comme une bête, son animal rien qu’à lui ... Il avait pris l’habitude de me mettre à quatre pattes, de me mettre une laisse de chien et de me promener dans son appart : il me caressait en m’appelant sa « brave chienne fidèle », il me faisait avaler dans une écuelle puis s’asseyait et, devant lui, je devais me branler tout en léchant et suçant un bon gros dildo ou même parfois un os en plastique. Ce faisant, Je devais prendre des pauses provoquantes, de petasse, pour l’exciter à fond. Cela se terminait par une éjac faciale ou une défonce impitoyable. Plus je couinais comme une femelle, plus il redoublait d’ardeur. De temps en temps, j’avais droit à de séances de spanking (j’adore ça), de léchage de skets ou alors il me saucait abondamment un slip que je devais porter afin que je sente bien l’humidité de son nectar entre mes cuisses. Pour me faire jouir, souvent, il m’attachait pour me branler : « ça décuple l’orgasme des lopes » me disait-il et … c’est vrai !